The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 Chapitre 3

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


Féminin
Nombre de messages : 2746
Age : 54
Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon
Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

Chapitre 3 Empty
MessageSujet: Chapitre 3   Chapitre 3 EmptySam 16 Jan - 0:48

L’homme, un sexagénaire entra dans le bureau. Il avait le visage bien rond, les cheveux un peu dégarni, une moustache et une barbe.
- Mr Thomson ? Deacon Sharpe et voici ma femme : Bridget.
- Enchanté. Puis je me permettre Md Sharpe vous êtes absolument éblouissante ! Votre mari a bien de la chance de vous avoir à ses cotés.
- Merci, dit Bridget avec le sourire.
Deacon sourit également.
- Croyez moi j’en suis conscient. Bien si nous en venions à l’objet de notre rencontre. Votre curriculum vitae indique que vous êtes chimiste de métier. Votre parcours professionnel est éloquent mais avez-vous déjà travaillé avec les normes que nous exigeons ?
- Jamais ! Je l’avoue. Bien peu de dirigeants sont aussi scrupuleux que vous l’êtes en matière de protection animal et d’environnement.
- C’est pour nous une condition sine qua non. Le chimiste que nous engagerons devra s’y tenir !
- Je comprends, Bridget, puis je vous appeler Bridget ?
- Md Sharpe, je préfère.
- Entendu, Bri…je veux dire Md Sharpe.
- Mr Thomson, ma femme vient de vous expliquer que ces règles est sine qua non pour nous, sans cela pas d’emploi. La question est : seriez-vous prêt à changer vos habitudes pour vous adapter à nos règles ?
- Bien sur, Mr Sharpe.
- Vous avez cessé vos activités professionnelles depuis longtemps déjà qu’est qui vous pousse à vous remettre au travail de surcroit dans des conditions aussi différentes de celles auxquelles vous êtes habitués jusqu'à lors ?
- L’argent, madame. J’ai besoin d’argent.
Deacon et Bridget se regardèrent.
- Est-ce votre numéro de téléphone qui est noté ?
- Oui, monsieur.
- Entendu nous vous rappellerons. Je ne vous cacherai pas que nous devons encore voir d’autres candidats.
- Je comprends, Monsieur, et vous remercie pour votre franchise.
- Julie ? Vous voulez bien raccompagner Mr Thomson à la sortie ?
Une fois l’homme parti, Deacon se tourna vers Bridget.
- Qu’en penses-tu ?
- Tu veux la vérité ?
- Bien sur.
- J’en n’en sais trop rien en fait. Son Cv est bon, il est même excellent !
- Mais ?
- Je ne sais pas, il y’a quelque chose qui m’arrête. Peut être est ce du à ces matières un peu bourrues auxquelles je ne suis pas habituée. Depuis petite j’ai l’habitude des hommes distingués et raffinés. Peut être suis-je devenue snob.
Deacon rit.
- Toi snob ? Mon amour tu es la personne la moins snob que je connaisse. La preuve tu ma épousais.
- Et si c’était à refaire je le referai sans hésiter, dit t’elle en se levant pour l’embrasser.
Deacon la couvrit de baisers qui devinrent de plus en plus entreprenant, plus passionné. Voyant que sa jeune épouse ne résistait pas il l’entraina jusqu’au canapé, la déshabilla avant d’en faire autant et fit l’amour avec elle.
- Comment te sens-tu ? demanda t’il lorsque il eu finit.
- Merveilleusement bien.
- Tu ne regrettes pas d’avoir fait l’amour dans notre bureau ?
- Non, mon amour.
- Tu es donc consciente que nous n’avons rien fait de scandaleux ? Bridget, nous sommes mariés et je t’aime.
- Je t’aime moi aussi.
Ils refirent l’amour.
Plus tard dans la journée ils récurent d’autres candidats mais aucun n’avait les qualités de Gordon Thomson.
- Chérie ? Es tu certaine de vouloir engager cet homme ? Il n’est pas trop tard nous pouvons encore chercher un chimiste.
- Non, mon amour. J’en suis sur. Il est temps de mettre en route notre rêve.
Deacon sourit et l’embrassa.
- Tu es une femme exceptionnelle !
Il décrocha le combiné et appela le chimiste. Lorsque il raccrocha il s’approcha de Bridget, la souleva et la fit tourner dans les airs avant de l’embrasser.
- Je vous aime, Md Sharpe.
- Répète-le encore.
- Je t’aime.
- Non. L’autre, la suite
- Md Sharpe.
- Voila c’est ce passage que j’adore.
- Et moi c’est toi que j’adore.
Ils s’embrassèrent lorsque deux personnes entrèrent dans le bureau.
- Excusez nous, dit l’homme.
- Oui ?
- Votre secrétaire n’était pas à son bureau, nous avons frappé mais personne n’a répondu.
- Que désirez vous ? demanda Deacon
- Nous venons pour l’offre de créateur de mode et de responsable chargé des relations publiques avec la presse. Mon nom est Dante Damiano et voici ma femme Lyndsy.
- Ah oui, fit Deacon se rappelant soudain son RDV, pardonnez nous pour cette rencontre bien peu protocolaire.
Bridget le regarda et sourit.
- Ce n’est rien, dit Dante en riant, jeune mariés ?
- Presque. Nous sommes mariés depuis dix ans mais amoureux comme au premier jour.
- Je comprends cela. Lyndsy et moi sommes dans le même cas.
- Vraiment ? dit Bridget. Je suis Bridget Sharpe, ravie de vous rencontrer comme vous l’aurez comprit cet homme n’est nul autre que mon mari : Deacon.
- Ravi de vous connaître, dixit Dante.
- Moi de même, dit Deacon.
Sans trop savoir pourquoi le courant passa immédiatement entre les deux couples qui devinrent aussitôt les meilleurs amis du monde.


Les semaines puis les mois s’écoulèrent. Eric comme convenu venait travailler une fois par semaine dans l’entreprise de ses parents. Deacon jr semblait vouloir suivre le même chemin que ses parents et son frère car il adorait dessiné quand à Elona elle prenait un malin plaisir à jouer les tops modèles. Quand à Julian il semblait plus intéressé par le journalisme. Anaëlle était âgée de deux ans et demi, Maeva et Odéya avait à présent six mois. Toutes trois étaient des ravissantes fillettes. A l’instar de leurs parents ils étaient très amis avec les deux enfants du couple Damiano : Chiara et Enzo.
Tous avaient travaillé dur pour le lancement de la première ligne pour enfant dessiné par Deacon. Bridget et lui avaient monté le concept du début à la fin. Ce fut Deacon qui trouva le nom de la ligne inspiré par Bridget et ses enfants : « Angel » lorsqu’il en fit part à Bridget celle-ci fut immédiatement conquise par le nom de la ligne.
Ce jour là Bridget parlait avec un de ses enfants par téléphone.
- Ok. A ce soir mon ange.
- J’ai trouvé ! annonça-t-il soudainement lorsqu’elle raccrocha.
- De quoi parles-tu ?
- Du nom notre première ligne. Que penses-tu d’ « Angel »
- Mon amour c’est magnifique !
- C’est grâce à toi : c’est toi qui m’inspiras. Comme toujours tu es ma source d’inspiration. Je ne sais pas ce que je deviendrais si tu n’étais là.
- Inutile de te poser la question car je suis là et je n’irai nulle part.
Ils s’embrassèrent langoureusement.
Deacon était perdu dans ses pensées lorsque Bridget sortit de la salle de bain revêtue d’un simple peignoir de bain et d’une serviette sur ses cheveux. Lorsque il la vit il sourit, se leva, se dirigea vers elle, l’allongea sur le lit, l’embrassa tout en lui ôtant son peignoir de bain et la serviette avant de lui faire langoureusement l’amour.


Pendant ce temps au laboratoire de Sharpe Design Gordon Thomson était occupé à ses éprouvettes lorsque Lyndsy entra au labo.
- Gordon ? Je voulais voir avec vous si…
En entendant la voix de Lyndsy Gordon laissa tombé son tube d’éprouvette qui se cassa en plusieurs morceaux.
- Madame Damiano vous m’avez fais une de ses peur ! Ne refaite plus jamais cela !
- Je suis désolée, je venais juste voir si tout sera prêt pour le jour j.
- Madame Sharpe ma posé la même question pas plus tard qu’hier, bon dieu laissez moi faire mon travail et occupez vous du votre !
Intriguée par le comportement du chimiste Lyndsy sortit du laboratoire et rejoignit Dante à son bureau.
- Dante ?
- Oui ?
- Tu n’as rien remarque de particulier dans le comportement de Gordon ?
- Le chimiste ? Non pourquoi ?
- Je ne sais pas, je viens de passer le voir au labo pour savoir si tout serait prêt pour le jour j il m’a carrément envoyé balader. Il a même cassé un tube d’éprouvette en laissant tomber sur sol. Il a semblait très surpris, voir effrayer de ma présence.
- Tu la surpris voila tout. Ces gens là aiment travailler entourer de mystère.
- Non. Il n’y a pas que cela. Il est bizarre: ce n’est pas la première fois que je le constate.
- En as-tu parlé à Deacon ou à Bridget ?
- Pas encore parce que je n’ai aucune preuve et ils sont bien assez stressé avec le lancement de leur première ligne. Lyndsy sourit. Ils ont trouvé un nom pour la ligne ils t’ont en parlé ?
- « Angel » oui je sais, dit Dante en souriant.
- C’est beau je trouve. Bridget ma raconté dans quelle circonstance Deacon a trouvé ce nom.
- Oui je sais Deacon m’en a parlé également.
- Je les admire : malgré toutes les épreuves qu’ils ont vécues ils ont résisté et cela a renforcé leur amour. Peu de couple aurait survécut.
- C’est vrai mais ils sont exceptionnels.
- Je suis d’accord. J’espère vraiment que nous resterons amis pour la vie : je les aime beaucoup tous les deux.
- Moi aussi.
- Et c’est totalement réciproque, lança Deacon en arrivant sa main autour du cou de Bridget.
- Vous êtes là tout les deux ! dit Lyndsy en riant
- On ne vous a jamais apprit que ce n’était pas beau d’écouter aux portes, dit Dante sur la même intonation.
Deacon regarda Bridget et tous deux pouffèrent.
- Non, répondit celui-ci.
Tout le monde se mit à rire.
- Est-ce tout est en place ? demanda Deacon recouvrant son sérieux.
- Oui. La presse s’impatiente. Je n’ai rien laissé passer, aucune fuite !
- Merci, Lyndsy.
- Je n’ai fais que mon travail.


Le jour j arriva enfin : le lancement de la première ligne de Sharpe Design. En entrant dans leur bureau, Deacon enlaça Bridget, qui devant le miroir terminé de se maquiller, par sa taille et l’embrassa sur sa tête.
- Tu es magnifique mon amour. De tous les mannequins qui vont défiler aujourd’hui, aucune ne t’arrive au bout du plus petit de tes orteils
Bridget mit ses mains sur celles de Deacon et sourit avant de se retourner pour l’embrasser.
- Nous y sommes parvenus, mon amour. Aujourd’hui tes efforts vont être récompensés.
- C’est à toi que je le dois.
- Non, mon amour, tu ne me dois rien du tout.
- Si chérie, tu es mon inspiration et toute ma vie. Si je ne t’avais pas rencontré aujourd’hui je serai encore gérant d’un bar entrain de me souler.
- Ne critique pas cet homme là car c’est de lui dont je suis tombée amoureuse.
- C’est vrai ? dit t’il en l’embrassant
- Oui, dit-t’elle le souffle coupé par les baisers de Deacon.
Deacon la renversa sur le fauteuil et continua à l’embrasser de plus en plus passionnément.
Tout en répondant à ses baisers Bridget le reprit.
- Deacon mon amour, tu sais que j’ai envie de toi moi aussi mais nous nous devons à notre public.
Deacon rit. Sachant que son épouse était dans le vrai. Soudain son visage s’assombrit, devint plus grave.
- Que ce passe t’il, Deacon ?
- Et si c’était un fiasco ?
- Deacon, non ! Tu as travaillé très dur pour réussir !
- Ce n’est peut être pas suffisant ? Peut être vont t’ils détesté…
- Et alors nous recommencerons !
- Non, Bridget, nous ne pouvons pas. C’est aujourd’hui ou rien. Toute ta famille est là, en première ligne et ils m’attendent au tournant. Tu sais ce qu’ils pensent de moi. De plus, j’ai mis toutes nos économies dans cette société et pour cette collection. Je sais j’ai eu tord mais je n’avais pas d’autre solution…
Bridget le serra dans ses bras.
- On va y arriver. Mon amour ta collection sera un succès.
Elle l’embrassa passionnément.
- Viens ! Allons-y.
Dans les coulisses, Deacon et Bridget passèrent voir les mannequins et s’assurèrent que tout ce passait bien avant d’aller rejoindre Lyndsy et Dante.
- Comment est l’ambiance dans la salle ? demanda Deacon.
- Tout le monde est surexcité, la presse comme le public.
- Est les Forrester sont t’ils là ?
- Oui, Deacon.
Bridget l’embrassa.
- Ca va aller mon amour, tu vas tous les éblouir.
- Je me suis assurée que tous les invités reçoivent un flacon aux senteurs d’Hawaï.
- Merci, Lyndsy, tu as fais un super boulot. A présent c’est à nous de jouer.
- Nous y allons ?
- Non, mon amour, va y seul, c’est à toi de jouer. C’est ton œuvre, ton bébé. C’est toi, c’est pour toi qu’ils sont tous venu.
- Bridget, non ! Je ne me serai jamais lancé dans cette aventure sans toi !
Bridget lui sourit et l’embrassa.
- Je ne serai pas loin. Va mon amour.
Deacon quitta les coulisses et se dirigea vers le podium.
- Mesdames et messieurs de la presse, mesdames et messieurs stylistes et responsable de marketing, chers futurs clients, je vous remercie d’avoir accepté mon invitation et d’être là ce soir. « Angel » qui vous sera présentée ce soir a été réalisé entièrement avec des tissus locaux. Tout du début jusqu'à la fin est entièrement autochtone, idem pour « senteur d’Hawaï », notre collection de parfum accompagnant « Angel » ma femme, Bridget et moi-même nous sommes assurés qu’aucun produit de « Senteur d’Hawaï » n’ait été testé sur les animaux et le flacon est en verre recyclée et bien sur entièrement recyclable. C’est un principe auquel nous tenons beaucoup mon épouse et moi-même !
Bien assez parlé. A présent place au défilé! Musique! s’il vous plait.
En souriant Deacon se retira sous le regard acerbe d’Eric et Ridge Forrester, présent en premières lignes mais dont Deacon feint d’ignorer la présence.
Le défilé commença sous les feux des projecteurs.
Deacon regagna son bureau et retrouva Bridget devant l’écran de la télévision regardant la présentation. Lorsque elle le vit elle lui sauta au cou pour l’embrasser.
- Tu as été génial, mon amour !
- Vraiment ?
- Bien sur! Tu t’en es très bien sorti avec ton discours improvisé. Je suis fière de toi.
- Merci, mon amour.
Ils s’embrassèrent.
La musique continuait de jouer accompagnant les mannequins sur la scène, cependant un silence inquiétant régnait dans la pièce dont ils ne manquèrent pas de s’apercevoir.
- Ils détestent, marmonna Deacon, c’est un fiasco ! J’aurais du m’en douter ton père et Ridge avaient raison : on ne s’improvise pas styliste ainsi. Pour qui me suis-je pris ? Je ne suis qu’un minable. Même Georges me le signifia. Mais je refusai de le croire.
- Deacon non ! Je t’interdis, tu m’entends ? Je t’interdis formellement de traiter de minable!
- C’est pourtant ce que je suis, Bridget, un minable qui s’est prit pour un styliste.
- Tu n’es pas un minable et tu es un bon styliste. Tes modèles sont super !
- Ce n’est pas ce que semble penser le public, dit t’il en éteignant le poste.
- Les gens d’ici ont adoré tes créations et moi aussi sinon je n’en porterai pas.
- La population a été séduite parce que tout fut fait dans les artisanats locaux et non pas parce que ils ont adoré quand à toi tu perds toute objectivée des le moment où je suis concerné.
- Je t’assure que non.
Deacon lui sourit et l’embrassa.
- Tu ne l’admettras jamais mais pourtant c’est vrai.
- Tu te trompes. Ta collection est sublime.
- Je t’en prie, Bridget cesse de ménager, je ne suis pas un des enfants !
- Je n’ai jamais dit que tu l’étais !
- Alors dis la vérité !
- Quelle verité ? Que ta collection est nulle ? Que tu es un minable qui ne parviendra jamais à rien ? C’est cela que tu veux m’entendre dire, Deacon ? Et bien c’est fait, je l’ai dit ! Tu es satisfait ?
- Oui !
- Tant mieux !
Deacon rit.
- Ca te fait rire ? Ton orgueil de male est t’il satisfait d’entendre ta femme te dire ce que tu veux entendre alors qu’elle n’en pense pas un traitre mot.
Deacon rit de plus belle et l’embrassa.
- Je suis un idiot.
- Ah en plus d’être un minable te voila doublé d’idiot à présent ? Quel autre qualificatif vas tu encore t’attribuer parce qu’une bande de snobs ne sont pas fichu de reconnaître quelque chose d’exceptionnel ?
- Aucun, dit-t’il en riant, aucun je te le promets. Il l’embrassa, tu as raison : cette collection est superbe et si ces snobs n’aiment pas bien tant pis ! De toute façon elle n’est pas ?
Bridget lui sourit.
- Non en effet.
Il l’embrassa derechef.
- Ravie de constater que tu as retrouvé tes esprits.
Il n’eu pas le temps de répondre lorsque ils furent interrompu par Lyndsy.
- Mais enfin que faites vous ? Cela fait plus d’une heure que je vous cherche partout !


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