The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 Chapitre 38

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


Féminin
Nombre de messages : 2746
Age : 54
Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon
Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

Chapitre 38 Empty
MessageSujet: Chapitre 38   Chapitre 38 EmptyVen 1 Jan - 2:45

- Qu’est ce qui fait là celui là ? hurla Ridge
Bridget le toisa du regard.
- Celui là comme tu dis est mon mari !
- Ex mari tu veux dire !
- Non, maman, c’est mon mari !
- Tu as divorcé ! Il est partit, il ta quitté !
- Je n’ai jamais divorcé. J’aime mon mari.
- Tu aimes un meurtrier !
- Deacon n’est pas un meurtrier !
- Il a tué Charlie, mon Charlie.
- Combien de fois devrais-je te répéter qu’il s’appelait Georges, non Charlie !
- Notre fille a raison, Brooke. A l’époque Ridge et moi avions mené une enquête car nous inquiétions pour toi, et nous avions effectivement découvert qu’il mentit sur son identité.
- Qu’importe son nom aujourd’hui puisque il est mort. Ce qui nous importe est de savoir ce que minable fait ici aujourd’hui ?
- Mon mari n’a rien d’un minable, Ridge !
- Laisse chérie, je vais lui répondre.
- Deacon ?
- Tout va bien n’aie pas peur.
- Que faites-vous ici ? Je croyais ma famille débarrassée de vous pour toujours !
- Je suis revenu car ma femme et mes enfants ont besoin de moi autant que j’ai besoin d’eux. Je les aime et ils m’aiment.
- Vos enfants se portent très bien sans vous. Même Eric à ma grande surprise ressemble de plus en plus à un Forrester. Il s’intéresse de prés à la Haute Couture et tout ce qui tourne autour des Créations Forrester.
Deacon hocha de la tête.
- Bien. Je suis ravi de voir mon fils s’intéressait autant à ce qui fait la vie de sa famille maternelle.
- Je vous rappel qu’Eric n’est pas un Forrester même si certains d’entre vous, à commencer par son père feignent de l’oublier. C’est le fils de ma cousine Becky ! Non celui de Bridget !
- Qu’est qui te prend, Ambre ? Je croyais qu’au bout de toutes ces années tu avais enfin accepté qu’Eric soit mon fils ! Tu sais que je l’aime ! Pas plus tard que ce matin tu nous as vu ensemble. Tu as été témoin de notre complicité.
- Oh oui j’ai vu ! J’ai vu comment tu as manipulé le cerveau de ce pauvre enfant pour qu’il ne jure que par toi ! Durant toute la semaine où tu étais censée être en Italie, au fait où étais tu ? Pendant tout ce temps il ne cessa de parler de toi : c’était du genre « maman a dit », « maman fait ca » « maman, maman, maman »… il n’a que ce mot là à la bouche !
- C’est normal je suis sa mère et je l’aime !
- Tu n’es pas sa véritable mère !
- Stop, Ambre ! Nous avons déjà discuté de cela. Je sais ce que tu espérais mais je suis de retour et j’ai l’intention d’élever Eric avec ses frères et sœurs en compagnie de mon épouse !
- Si vous vous imaginez rester au sein de notre famille vous vous faites des illusions !
- Je me moque de votre acceptation. Cela ne me touche pas. Vous ne m’aimez pas et je ne vous aime pas non plus. Ce n’est pas à moi que vous faites du mal mais à Bridget car vous l’obligez à choisir entre sa famille et moi.
- Dans ce cas là allez vous en ainsi elle n’aura plus à choisir.
- Si Deacon s’en va je pars avec lui et plus jamais vous me rêverez ! J’aime encore mieux mourir plutôt qu’être séparée de lui une fois encore. Je suis morte quand tu es parti
Deacon la serra contre lui.
- Ne t’inquiètes pas mon amour, je ne partirai pas. Plus jamais ! C’est que je suis venu annoncer à ta famille. Peut importe qu’ils m’acceptent ou non si tu peux le gérer moi aussi.
- Deacon mon amour, tout ce que désire c’est être avec toi.
Deacon l’embrassa puis se retourna vers Eric.
- Nous ne serons jamais amis vous et moi, Eric, et j’ai conscience que jamais vous m’accepterez comme un membre de votre famille. Mais sachez une chose : j’aime Bridget, je l’ai toujours aimé et je l’aimerais toujours.
Eric ne répondit pas.
- Bridget : tu ne peux pas me faire cela : tu ne peux pas vivre avec l’assassin de mon mari : de mon Charlie.
Bridget fulmina.
- Grand Dieu, Maman ! Quand vas-tu t’enfoncer dans le crane que Deacon n’a tué personne ! Ce n’est pas un meurtrier. Georges m’avait enlevé en me piégeant : il prétendit avoir enlevé mon petit garçon : Eric : mon bébé. Comme une idiote je le cru et je fonçai tête baissée et tombai dans son piège. Il comptait me tuer ainsi que mes enfants de façon à voir Deacon souffrir. En dépit du mépris que j’éprouve pour lui, je lui reconnais au moins une chose : lui au moins cru en l’amour de Deacon pour moi. Bien sur il tourna cela contre nous : il se servit de notre amour pour nous faire du mal mais au moins lui ne nia pas les sentiments qu’éprouve Deacon pour moi.
Viens, mon amour on s’en va !
- Reste ici, Bridget ! hurla Eric
Bridget se retourna
- Es tu prêt à accepter Deacon comme un membre de notre famille ?
Eric ne répondit pas.
- Très bien : j’ai ma réponse.
- Bridget, ton père n’a encore rien dit.
- Inutile, Stephanie, son silence est éloquent.
Main dans la main avec Deacon elle sortit.
Quelques semaines plus tard Deacon assis sur le sofa réfléchissait lorsque sa femme vint le rejoindre en souriant. Deacon sourit à son tour. Sa femme avait le don de lui faire retrouver sa bonne humeur même dans les pires moments.
- Je te donne 1$ pour chacune de tes pensées.
- 1 $ pas plus ? L’air faussement peiné.
- Je t’en donnerai bien d’avantage si je pouvais mais je suis fauchée.
Deacon éclata de rire et l’attira contre lui pour l’embrasser.
- Je t’aime.
- Je t’aime moi aussi.
Deacon semblait mal à l’aise. Il soupira.
- Ca ne va pas mon amour ? Quelque chose te préoccupe ?
- Oui ! Mon amour j’ai beaucoup réfléchi à notre vie à tout deux : notre avenir et celui de nos enfants. Bridget, mon amour : je ne gagnerai jamais ma vie ici. Ton père fait la pluie et le beau temps à Los Angeles c’est pourquoi je ne trouverai jamais de travail en restant ici. J’en suis arrivé à une conclusion mais qui va te demander un énorme sacrifice.
- Deacon ne me dis pas que tu vas encore repartir ? Tu sais bien que je ne pourrai pas le supporter…
- Chut, calme-toi. Je n’ai pas l’intention de te quitter : Bridget mon amour tu es ma vie : toi et les enfants représenté tout pour moi.
- En ce cas pourquoi parles-tu de sacrifice ?
D’une main il lui caressa les cheveux et déposa un baiser sur ses lèvres.
- Ma chérie, sais tu seulement à quel point je t’aime ? Notre mariage a changé ma vie.
Bridget lui sourit.
- Où veux-tu en venir mon amour ?
Deacon sourit en lui prenant sa main dans la sienne.
- J’y viens. Chérie, j’aimerais démarrer une nouvelle vie dans un nouvel endroit loin de Los Angeles, loin de la Californie où nous pourrons être heureux tous les deux avec nos enfants. Mon amour j’aimerais ouvrir ma propre maison de couture et j’aimerais plus que tout au monde que tu travailles avec moi.
- Ouvrir ta maison de couture ?
- Apres avoir travaillé toute ces années pour ton père je pense avoir l’expérience nécessaire pour me lancer. N’y voit rien de prétentieux surtout.
- Mon amour, tu es l’homme le moins prétentieux que je connaisse et je serai très heureuse et très fière de travailler pour toi.
- Pas pour moi, mon amour, avec moi !
Bridget lui sourit et l’embrassa.
- Où veux-tu lancer Sharpe design ?
- Sharpe design ?
- Je me suis dit que c’était un joli nom pour notre maison de couture puisque c’est notre nom à tout les deux et celui de nos enfants, mais s’il ne te plaît pas nous pourrons toujours en trouver un autre.
- Non ! Il est parfait. Tu es parfaite.
Bridget lui sourit.
- Où aimerais tu fonder ta…pardon, notre maison de couture ? À New York ?
- Non. En réalité j’ai pensé à un endroit plus exotique : à Hawaï.
- Hawaï ?
- Oui chérie, Hawaï.
- Pourquoi Hawaï ?
- Je me suis dis que nous pourrions lancer quelque chose de nouveau : quelque chose d’inexistant : a chaque robe son parfum aux senteurs d’Hawaï. Tout serait en fibre naturelle.
- Deacon, mon amour ! Je trouve ton idée extraordinaire. J’ai hâte de me lancer dans cette aventure !
- C’est vrai ? Tu aimes cette idée ?
- Je l’adore !
- je craignis que tu ne trouves cette idée trop fantaisiste.
Bridget secoua la tête.
- Elle est géniale au contraire. Tu es génial et je t’aime à la folie.
- Moi aussi je t’aime.
Ils s’embrassèrent.
- Merci.
- De quoi me remercies-tu ?
- Du sacrifice que tu t’apprêtes à faire.
- De quel sacrifice parles-tu ?
- Tu ne pourras plus revoir ta famille avant bien longtemps.
- Quelle famille ? Deacon ? Deacon mon amour c’est toi ma famille : toi et les enfants ! Vous êtes toute ma vie.
Deacon l’embrassa langoureusement.
- Il va falloir prévenir les enfants.
- Je suis certaine qu’ils seront aussi excités par l’aventure que je le suis.
- Il existe un moyen de s’en assurer.
Deacon se leva et alla dans la chambre d’Eric où les enfants jouaient.
- Les enfants ? Vous voulez bien venir au salon s’il vous plait. Votre mère et moi devons vous parler.
Quelques minutes plus tard les enfants se trouvaient au salon.
- Qu’est qui ce passe, Papa ? Nous avons fait une bêtise ?
Deacon rit face à l’innocence de sa fille.
- Non, chérie, non. Vous n’avez fait aucune bêtise. Ce n’est pas pour cela que nous avons demandé de venir.
- Pourquoi alors ? S’enquit Eric.
- Comme vous le savez la famille de votre mère ne porte pas particulièrement dans son cœur. Votre grand père ma renvoyé de sa société et il me bloque pour trouver un emploi ici à Los Angeles. Mais cela n’a pas d’importance car en réalité j’ai un rêve depuis longtemps : pour être précis depuis que je connais votre mère et ce rêve est sur le point de devenir réalité si vous êtes d’accord.
- De quoi s’agit t’il Papa ?
- J’aimerais ouvrir ma propre maison de couture où je travaillerai avec votre maman et peut être un jour, si vous le souhaitez, vous pourrez vous aussi travailler avec nous.
- Ce serait super Papa ! J’adorais devenir styliste un jour. Lorsque tu n’étais pas là je travaillais avec grand père et Ridge… oh pardon, je n’aurais pas du évoquer ce moment. Maman a énormément souffert de ton absence.
- Ca ne fait rien Eric chéri, tu as le droit de parler de ce moment : même si ce fut la période la plus difficile que j’ai jamais vécue.
- Ta mère a raison, Eric. Même si ce fut la période la plus noire de notre vie nous ne pouvons agir comme si elle n’eu jamais existé. Mais elle appartient au passé, désormais votre mère et moi sommes ensemble et c’est pour la vie !
- C’est long la vie, Papa ?
Deacon sourit à sa fille.
- Tu vois l’âge de grand père et grand mère Stephanie ? Eh bien même lorsque nous aurons leur âge et plus vieux encore votre maman et moi seront toujours ensemble et plus tard lorsque nous serons au Ciel tous les deux là aussi nous serons ensemble. Ais je répondu à ta question mon ange ?
- Maman et toi vous ne vous quitterez jamais, jamais.
- Jamais ! Mon petit cœur. Comme Papa viens de te l’expliquer lui et moi nous ne quitterons jamais !
- Je suis contente.
- Moi aussi, ma puce. Moi aussi.
La fillette passa ses bras atour de ses parents qui l’embrassèrent.
- Tu ne nous as toujours pas dis pourquoi ton rêve dépendait de nous, Papa ? Ce serait génial si Maman et toi ouvriez votre maison de couture.
- Julian a raison, je ne comprends pourquoi tu dis avoir besoin de notre accord.
- Parce que nous allons devoir déménager très loin d’ici.
- Déménager ? Où ca ? demanda Eric
- Hawaï.
- Hawaï !
- Vous comprenez pourquoi j’ai besoin de votre accord ?
- Mais pourquoi si loin ?
- Pour plusieurs raisons, Deacon jr. Pour commencer le projet que nous envisageons maman et moi nécessite l’installation sur cette ile mais aussi parce que je rêve d’être enfin heureux avec votre mère et si nous restons ici tes grands parents nous mettrons toujours les battons dans les roues pour nous empêcher de réaliser nos rêves. Nous devrons nous battre constamment et votre mère mérite mieux que cela.
- Est-ce Sam viendra avec nous ? Sam étant le labrador de la famille, demanda Elona.
- Bien sur ma puce. Sam fait parti de la famille.
- Alors c’est d’accord pour moi.
- Si cela peut vous permettre à Maman et toi d’être enfin totalement heureux je suis d’accord aussi.
- Merci, Deacon jr.
- Je suis d’accord moi aussi, dixit Julian.
- Moi aussi je suis d’accord. Je trouve cette idée géniale !
- Merci les enfants. Votre père et moi ne doutions pas de votre accord mais nous voulions vous l’entendre nous le dire. Et toi mon trésors tu es d’accord toi aussi ? dit t’elle en jouant avec Anaëlle laquelle émit une risette qui fit rire toute la famille.
Deacon et Bridget se regardèrent.
- Eric : nous avons quelque chose à te demander avant de partir pour Hawaï.
- Je t’écoute, Maman, de quoi s’agit-il ?
- Mon ange, aimerais tu aller rendre visite à tes grands parents maternel à Furnes Creek ?
Eric resta un moment silencieux.
- Suis-je obligé ?
- Non, Eric ! Ni ta mère ni moi ne te forcerons jamais. C’est ta décision et quelque soit nous la respecterons.
- Je sais qu’Ambre insistait beaucoup sur ce point. Elle me parlait beaucoup de Becky : ma mère biologique. Seulement… Je ne me souviens plus du tout d’elle. Elle ne me manque pas du tout. Est-ce mal ?
- Non ! bien sur que non. Eric, tu n’étais qu’un tout petit bébé lorsqu’elle est morte. Ensuite tu vécu quelques temps chez ton oncle Rick et ta tante Ambre mais tu vins très rapidement vivre avec Bridget et moi après notre mariage.
- Et Bridget devint ma mère.
- Oui, mon ange, je suis devenue ta mère mais je veux que tu saches que je comprendrai si tu veux rendre visite à tes grands parents avant de quitter Los Angeles où même aller te recueillir sur la tombe de ta mère.
- Papa a dit que cela dépendait de moi est ce vrai ? Quelque soit ma décision vous la respecterai et vous n’essaierai pas de me faire changer d’avis ?
- C’est promis mon ange.
- Dans ce cas ma réponse est non ! Je n’ai pas envie d’aller rendre visite à ces gens. Ils sont peut être mes grands parents biologique mais ils me laissent indiffèrent. Je suis désolé que Becky soit morte si jeune mais elle ne me manque pas. J’ai déjà une mère et je l’aime.
Bridget lui sourit.
- Moi aussi je t’aime mon ange.
Deacon sourit à son tour.
- Alors quand partons-nous ?
Tout le monde éclata de rire.
- J’ai d’abord quelque chose à faire. Chérie, j’aimerais que tu viennes avec moi. Eric ? Peut tu garder tes frères et sœurs une heure ou deux.
- Bien sur Papa.
- Ou allons-nous ? dit Bridget en prenant la main de Deacon.
Deacon conduisit jusqu’au cimetière et sortit de la voiture. La main de Bridget dans la sienne. Il s’arrêta devant la tombe de Georges.
- Salut Georges ! J’espère que tu passes un bon séjour en enfer et tu goutes enfin à tout ce que tu me fis endurer durant ton séjour sur Terre. Comme tu le vois je suis venu accompagner de ma femme. Et oui ma femme ! Ma femme Bridget. Celle que tu voulu m’arracher mais Dieu merci tu échouas. Bridget et moi sommes plus unis et plus amoureux que jamais. Tu ne pourras plus jamais me faire du mal ni à aucun membre de ma famille. Adieu Georges ! J’espère que tu pourris en enfer.
Bridget sourit.
Main dans la main ils sortirent du cimetière et montèrent dans la voiture lorsque Bridget eu un malaise.
- Chérie, que ce passe t’il ?
- Deacon emmène à l’hôpital s’il te plait.
Deacon fonça jusqu'à l’hôpital universitaire où Bridget fut conduite aux urgences. Deacon était comme fou à attendre les résultats de l’examen lorsque Mark vint le trouver.
- Deacon ?
- Mark ! Comment va-t-elle ?
- Elle veut vous voir.
- Mais qu’a-t-elle ? Est ce grave ?
- Elle vous le dira elle-même.
Fou d’inquiétude Deacon entra dans la chambre de Bridget. Celle-ci lui sourit.
- Mon amour que ce passe t’il ? Mark n’a rien voulu me dire.
- Deacon mon amour : nous allons avoir un bébé.
- Un bébé ? Tu en es certaine ?
- Oui, mon amour, certaine.
Deacon l’embrassa langoureusement.
- Je t’aime.
- Je t’aime moi aussi.
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