The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
Soyez sympa, lorsque vous lisez un de nos chapitres de nous laisser un petit commentaire.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 Chapitre 16

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


Féminin
Nombre de messages : 2746
Age : 54
Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon
Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

Chapitre 16 Empty
MessageSujet: Chapitre 16   Chapitre 16 EmptyMer 31 Mar - 0:41

Ils ont des membres partout dans le pays ce qui me laisse présumer que votre voiture fut trafiqué par l’un d’eux.
L’inspecteur marqua une pause.
Je ne voudrai pas vous faire peur mais il y’a fort à parier qu’ils recommenceront. Ils sont un peu comme les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas : un pour tous et tous pour un et maintenant que votre mère fait partie des leurs il y’a fort à parier qu’elle a du leur raconter le meurtre de Georges et ils chercheront à la venger.
- Mais enfin c’était de la légitime défense ! s’écria Bridget.
- Pas à ses yeux, chérie, pas à ses yeux. Pour elle j’ai tué l’homme dont elle était folle amoureuse.
- Amoureuse d’un monstre qui aurait pu te tuer lorsque tu étais enfant, dit Bridget les yeux larmoyant.
Deacon la serra dans ses bras.
- Qu’attendent-ils de moi ?
- Ce que désire votre mère.
- Par pitié, cessez de parler de cette femme comme étant ma mère !
- Comme vous venez de le dire vous-même aux yeux de votre mer… de Nancy Brown, vous lui avez enlevé ce à quoi elle tenait le plus au monde : Georges, son mari.
Deacon se laissa tombait sur le siège le plus proche et prit sa tête dans ses mains.
- Partez ! Allez-vous-en ! Laissez nous seuls ma femme et moi.
- Vous savez où me joindre, dit l’inspecteur en partant.

- Deacon ? dit Bridget en s’approchant de lui.
- On va leur donner ce qu’ils veulent, ils nous ficherons la paix après cela.
- Leur donner ce qu’ils veulent ? Que veux-tu dire par là ?
- Sharpe Design. Nous allons le vendre, ensuite nous irons récupérer nos enfants et nous partirons loin d’ici pour toujours et nous recommencerons une nouvelle vie.
- Il n’en est pas question ! Deacon je refuse de vendre, je refuse de céder.
- Bridget, nous n’avons pas le choix ! Je préfère vendre et lui donner tout l’argent qu’elle veut plutôt que de te perdre.
- Non ! Deacon, il est hors de question de vendre notre société ! Sharpe design est bien plus qu’une simple société pour nous et tu le sais : c’est notre rêve devenu réalité et un jour nos enfants se joindront à nous, après eux leurs enfants et les enfants de leurs enfants. Nous raconterons à nos petits enfants et arrières petits enfants comment nous avons fondé cette entreprise en partant de rien et surtout ce qu’elle représente pour nous. Combien et comment nous avons combattu pour rester ensemble alors même que tout le monde était contre nous et rêver de nous voir divorcer, mais nous avons mené une bataille contre tous et nous avons gagné : cette maison en est la preuve. Nous n’avons pas le droit d’abandonner, nous ne l’avons jamais fait et nous ne le ferons jamais.
- Bridget, mon amour, notre ennemi n’est plus ici une menace contre notre amour, car là crois moi, je me bâterai envers et contre tous et je gagnerai comme nous avons déjà gagné. Je ne laisserai rien ni personne s’élever contre notre amour. Je t’aime, chérie, et c’est pour la vie. Mais ici la menace est bien plus grave car il s’agit d’une question de vie ou de mort. Ta vie, mon amour ! C’est de ta vie dont il est question. Nancy est persuadé que je lui ai pris l’amour de sa vie et pour cela elle veut se venger en se prenant à ce à quoi je tiens le plus au monde : toi. Car je t’aime, Bridget, je t’aime plus que ma propre vie, s’il t’arrivait un malheur je ne pourrais pas le supporter et encore moins le pardonner sachant que cette fois ci cela sera de ma faute car je ne prêtai pas attention aux menaces. Comme tu la dis toi-même, cette maison de couture associée à de la parfumerie haute gamme respectant, des critères très sélectifs tout en restant à des prix modérés était un merveilleux rêve et nous l’avons réalisé, mais les rêves, mon amour, ne dure qu’un temps.
Le principal est d’être ensemble avec nos enfants, et en vie. Nos enfants comprendront et lorsqu’ils seront adultes ils feront ce dont ils ont envie de faire.
- Nos enfants rêvent de travailler avec nous et tu le sais. Eric adore le stylisme. Tu sais à quel point notre désire travailler à tes cotés. Elona, Elona, mon Dieu, Deacon, tu n’auras jamais plus grand fan que notre fille ni meilleur publicitaire. Quand à Deacon jr tu as vu à quel point il s’intéresse au commerce, au marketing. Mon amour, cette maison de couture est tout pour nous. Nous n’avons pas le droit de la vendre. Pour finir, au sujet de ce que tu disais, que cette fois c’est notre vie qui est menacée, la mienne tout particulièrement, que ce n’est pas la même chose qu’avec les Forrester, tu te trompes, mon amour, tu te trompes lourdement car c’est exactement la même chose. Lorsque cette Épée de Damoclès pesait sur nous lorsque mon père menait bataille afin de nous faire divorcer, j’éprouvai la même sensation de terreur, s’il avait réussi, il y’a longtemps que je serai morte. Peut être pas au sens propre du terme… Deacon, ma vie : c’est toi.
D’un geste impulsif, Deacon la serra dans ses bras et l’embrassa.
- Je t’aime, mon amour. Ok, tu as gagné, nous ne vendrons pas Sharpe Design et nous battrons contre Nancy, Gordon et tous leurs amis. Je ne sais pas encore comment mais nous ne les laisserons pas gagner !
Il regarda Bridget et lui sourit.
Tu es la meilleure chose qui ne me soit jamais arrivée. Je ne sais pas ce que je deviendrais si tu n’étais pas là.
Bridget sourit.
- Inutile de te poser la question car tu ne le sauras jamais. Je suis là et je serai toujours là !
- Je t’aime, Bridget.
- Je t’aime aussi, Deacon.
Ils s’embrassèrent.
- Allez au boulot, Mr Sharpe! Nous avons une société à faire tourner. Je dois descendre au labo parler avec le chimiste, je dois voir avec lui deux ou trois petits choses concernant notre nouvelle ligne.
- Ok, chérie, de mon coté je vais appeler l’inspecteur Wilson et lui faire part de notre décision concernant Sharpe Design.
- Ok, à tout à l’heure.
Elle lui donna un rapide baiser sur ses lèvres et sortit du bureau.
Deacon décrocha le téléphone et appela l’inspecteur Wilson.
- Deacon Sharpe à l’appareil. Pourriez-vous passer à mon bureau dans la journée ? Ma femme et moi avons prit une décision.
- Je peux être là dans une heure, ca vous va ?
- Parfait je vous attends.
Une plus tard l’inspecteur Wilson se trouva chez Sharpe Design.
- Vous m’avez dit au téléphone avoir prit une décision. De quoi s’agit-il ?
- Bridget et moi avons discuté et nous sommes tombés d’accord de ne pas vendre Sharpe Design. Bien au contraire, nous affrontons Nancy, Gordon et les autres.
- C’est du suicide !
- Nous refusons d’abandonner. Sharpe Design signifie beaucoup pour Deacon et moi.
- Et votre vie ? Elle ne signifie rien pour vous ?
- C’est votre travail non de nous protégés ? Tout en arrêtant ces bandits.
- Cela fait des années que nous essayons en vain d’en finir avec cette mafia mais ils sont très forts. Trop fort ! Ils disposent de moyens financiers que la police n’a pas ! Pas même le FBI.
- Il doit bien exister un moyen de les arrêter.
- Il y’a longtemps que nous l’aurions fait si nous avions pu.
- Est-ce là que vous conseillez à toutes les personnes qui sont sous votre protection ? De céder aux criminels ? demanda Bridget sur un ton sarcastique. Est-ce ainsi que vous comptez faire reculer la criminalité en leur donnant ce qu’ils veulent ?
- Md Sharpe, vous ne semblez pas vous rendre compte du danger que représente cette organisation.
- Je ne suis pas stupide et je ne doute pas un instant de la dangerosité de ces criminels. N’oubliez pas que j’en fus une victime, mais je refuse de m’abaisser devant eux en leur cédant ce qu’ils désirent.
- De plus cela ne servirait à rien, même si je leur vendais Sharpe Design, Nancy ne sera satisfaite qu’en voyant Bridget morte. C’est à vous de nous protéger.
- Je vais faire tout mon possible.


- Mr Sharpe ? Votre fils, Eric sur la une.
- Salut, chéri comment vas-tu ?
- Je vais bien, Papa, et comment allez-vous Maman et toi ?
- Nous allons bien, Maman est là justement, je met le haut parleur comme cela elle t’entendra.
- Bonjour, mon ange, comment vas-tu ?
- Je vais bien, Maman mais tu me manques. Toi aussi, Papa. Vous nous manquez à tous.
- Chéri, vous nous manquez aussi à Papa et moi.
- Maman, Papa, je vais rentrer à la maison. Deacon jr, Julian, Elona et les jumelles resteront encore ici quelque temps mais moi je vais rentrer. Vous me manquez terriblement tout les deux, notre maison, le travail chez Sharpe design me manque aussi ainsi que mes copains du lycée et le surf. Ici personne ne surfe. Même Sam s’ennuie.
Deacon et Bridget se regardèrent. Bien sur ils mouraient, l’un et l’autre, d’envie de revoir leur fils mais la peur qui puisse lui arriver quelque chose… ils se devaient le protéger en laissant de coté leurs sentiments et leurs envie.
- Quelque chose ne va pas ? Chéri ? Tu t’es disputé avec Melanie ?
- Maman, non ! Tout va bien avec Mel, je t’assure, nous sommes très amoureux autant que Papa et toi mais j’aimerais rentrer à la maison c’est tout.
- Pourquoi si vite ? Dante et Lyndsy ne sont pas sympas avec toi ?
- Papa ! Comme je viens de le dire à Maman, tout va bien ! Lyndsy et Dante sont très gentils mais ce ne sont pas mes parents et l’Italie n’est pas mon pays, cette maison n’est pas ma maison. Je veux rentrer parce que je m’ennuie de vous tout simplement, je veux aussi voir la nouvelle collection, je ne veux pas rater cela.
- Tu sais, chéri, ce n’est pas encore pour tout de suite. Papa et moi devons encore y travailler.
- Bien justement je pourrai vous aider. A nous trois nous serons les meilleurs ! On parlera de Sharpe Design dans les plus grandes revues de mode, cela sera super !
- Chéri, cela serait dommage d’abréger ainsi tes vacances et puis tu ne sais pas quand tu reverras Melanie par la suite. C’est dur d’être séparé de l’être aimé.
- Maman, dit t’il en riant, Melanie et moi resterons en contact par mail et sur webcam, rassure toi on ne va se séparer et ceux jusqu’au jour où elle reviendra à Hawaï pour y faire ses études universitaire et après cela nous nous marierons. Nous avons tout prévu, tout programmé. Ils se pourraient bien que Papa et toi soyez grand père et grand-mère assez jeune.
Bridget et Deacon rirent.
- Laisse nous encore quelques années de répit ok, ta mère est encore bien jeune pour être grand-mère et même si j’ai quelques années de plus qu’elle je ne vois pas être grand père aussi vite.
Eric rit.
- Rassurez vous, Mel et moi n’avons pas l’intention de nous marié avant trois ou quatre ans. Par la suite Melanie aimerait travailler avec nous si vous êtes d’accord. Elle est très douée en ce qui concerne la mode, elle a du flair sur ce qui se fera ou non cette année.
- Eric, mon ange, cette société est à nous, elle nous appartient à toute la famille ! Si un jour, si Dieu le veut, Melanie et toi vous marierez alors il est bien évident que Sharpe Design sera aussi un peu à elle. Tu sais bien que c’est notre rêve à Papa et moi de vous voir tous travailler pour notre société et de vous voir la transmettre un jour à vos enfants et vos enfants à vos enfants.
C’est important pour moi et encore plus pour ton père qui comme tu le sais n’a jamais eu de vraie famille.
- Oui, je le sais, Maman. Mais à présent il nous a.
Deacon attira Bridget contre lui et l’embrassa sur le cou. Mais avant qu’il n’eu le temps de répondre leur fils reprit la parole
- Alors vous êtes d’accord pour que je rentre ?
- Eric, pour le moment nous n’avons pas trop de travail au bureau.
- Qu’est qui ce passe ? Pourquoi ne voulez vous pas que je rentre à la maison tous les deux ?
- Chéri, tu es encore tres jeune, profite de tes vacances dans ce pays magnifique qu’est l’Italie, qui plus est auprès de l’élue de ton cœur.
- Maman, Papa, qu’est que vous me cachez tous les deux ?
- Nous ne te cachons rien du tout.
- Maman, tu n’as jamais su mentir, sauf lorsque il s’agissait de nous faire une surprise à Papa ou l’un d’entre nous. Alors dis moi ce qui ce passe ! Vous vous êtes disputé Papa et toi ?
- Qu’est que tu vas imaginer ? Ta mère et moi ne nous sommes pas disputés.
- Je ne vous crois pas. Puisque vous trouvez tous les prétextes possibles pour ne pas me voir rentrer à la maison c’est qu’il se passe quelque chose.
- Eric, je t’assure, tout va bien entre Papa et moi… mais la communication se coupa, Eric n’ayant plus de batterie.
- Allo, Eric !
Ca c’est coupé.
- Qu’est qui a bien pu lui passer par la tête pour s’imaginer que nous avions des problèmes dans notre couple ?
- Je n’en sais rien, chérie. Je hais cette satanée femme qui m’oblige à tenir éloigné nos enfants de leur maison afin de les protéger de cette Jézabel !
Bridget, les larmes aux yeux, serra Deacon contre elle.


En Italie, Eric était perturbé par la conversation qu’il venait d’avoir avec ses parents. Il était persuadé que quelque chose n’allait pas dans le couple de ses parents. Il était plongé dans ses pensées lorsque Melanie entra.
- Hey, ca va ?
- Je viens d’avoir mes parents.
- Oh. Tu pars quand ? dit t’elle tristement.
- Des que j’aurais trouvé un billet de train pour Rome où je ferai escale à New York et de la bas je prendrai une correspondance pour Honolulu.
- Tu me manqueras, Eric.
- Tu me manqueras aussi, Melanie, mais je dois rentrer chez moi. Et encore plus maintenant
- Pourquoi ? Que ce passe t’il ? Ta mère ne va pas bien ?
- Mes parents ne vont pas bien.
- Ils sont malades ?
- Non, mais il y’a un problème dans leur couple. Il bat de l’aile.
- Quoi ? C’est absurde ! Voyant, Eric, tes parents forment le couple le plus solide que j’ai jamais rencontré.
- Quelque chose à changé : je ne sais pas quoi mais il y’a quelque chose qui ne va pas. Ils étaient bizarres au téléphone.
- Comment cela bizarre ?
- Lorsque je leur ai dit vouloir rentrer à la maison ils firent tout ce qui était en leur pouvoir pour m’en dissuader. Ils ne veulent pas me voir rentrer à la maison.
- Cela me surprend de la part de tes parents. J’aurais cru qu’ils allaient sauter de joie au contraire. D’autant plus que tu pourrais les aider pour Sharpe Design.
- Justement ils disent que ce n’est pas nécessaire, que le travail tourne au ralenti, qu’on ne se reverra plus avant au moins les prochaines vacances, que je ferais mieux d’en profiter… comme tu vois ils ont trouvé tout un tas d’excuses afin de me dissuader de rentrer.
- C’est étrange. Cela ne ressemble pas à tes parents d’agir ainsi.
- Non, en effet. C’est pourquoi je dois partir le plus tôt possible. Tu voudrais me laisser utiliser ton ordinateur ? Ma batterie est totalement déchargée.
- Bien sur, mais je dois avouer que tu me manqueras, Eric. Pendant toutes ces années nous avons grandis cote à cote et voila que maintenant nous allons être séparé par un tout un océan.
- Tu me manqueras aussi, Mel, dit-il en la serrant dans ses bras, mais cela ne sera que provisoire. On restera en contact par mail, on s’écrira tous les jours et nous nous verrons via la webcam.
- Je sais bien mais ce n’est pas pareil.
- Bien sur c’est différent. Si seulement tes parents revenaient vivre à Hawaï. Pourquoi a-t-il fallu qu’ils aillent vivre en Italie.


Deacon prit un cadre se trouvant sur son bureau où figurait toute la famille.
- Je ne la laisserai pas nous détruire. Elle a détruit mon enfance et mon adolescence, je ne la laisserai pas détruire nos vies et celle de nos enfants !
- Elle n’y arrivera pas, elle n’y arrivera jamais.
- Comment peux-tu le savoir ?
- Nous ne la laisserons pas faire.
- Tu parles, elle a déjà réussi ! Nos enfants sont loin de nous, Bridget, nous avons du les exiler à l’autre bout du monde afin de les protéger et nous ne savons pas combien de temps encore cette situation va perdurer, et n’oublie pas qu’elle a bien failli te tuer.
- Mais elle n’a pas réussi et à l’époque nous ignorons à qui nous avions à faire : qui était notre ennemi. Aujourd’hui nous le savons.
- Et qu’est cela change ?
- Nous sommes plus prudent, nous prenons nos précautions.
- Et si cela ne suffisait pas ? Si elle arrivait quand même à nous détruire. A dire vrai nous ignorons au juste ce qu’elle veut. Cela a commençait avec le vol des formules chimiques, si c’était de l’argent qu’elle voulait elle aurait très bien pu les vendre à la contrebande, dans son milieu elle doit en connaitre des centaines si ce n’est plus. Mais non, cela ne lui a pas suffit, il a fallu qu’elle intente à ta vie, ce qui me laisse à croire que contrairement à Georges ce n’est pas l’argent qu’elle recherche mais autre chose.


- Il y a un train pour Naples dans une heure. Si je fais vite je pourrais être à la gare de Catanzaro dans moins de 10 minutes. Une plus tard je serai à Rome où j’embarquerai dans le premier vol pour New York demain matin. J’ai regardé il y a encore de la place. Une fois aux Etats-Unis il ne me restera plus qu’à sauter dans le premier vol pour Honolulu.
- Il n’y a pas d’autre solution, tu en es sur ?
- J’aimerais, Melanie, crois moi j’adorerais pouvoir être à la fois avec toi et mes parents comme avant, malheureusement c’est impossible. Tes parents veulent vivre à Catanzaro et ta place est auprès d’eux comme la mienne est auprès des miens jusqu’au jour où nous serons adultes et nous pourrons nous marier.
- Je t’aime, Eric, dit-elle les larmes aux yeux.
- Moi aussi je t’aime, Mel.
Pour la première fois depuis leur enfance ils échangèrent leur premier baiser d’adulte.
Une heure plus tard Eric était à la gare. Melanie l’accompagna jusqu'à l’arrivée du train.
- Je t’enverrai un mail tous les jours.
- Tu vas beaucoup me manquer, Eric.
- Tu me manqueras aussi.
- Tiens-moi au courant pour tes parents mais je suis sur que tu te trompes. Deacon et Bridget forme un couple solide et ils s’aiment comme nous nous aimons. Un jour lorsque nous serons marié et parents à notre tour j’espère qu’on leur ressemblera.
- Puisse tu avoir raison, Mel.
Eric regarda la pendule de la gare.
- Le train va partir.
Ils s’embrassèrent derechef puis Eric monta dans le train.


Bridget se réveilla au milieu de la nuit en se retournant elle ne sentit pas Deacon auprès d’elle.
- Deacon ?
Elle sentit comme un frisson. Elle regarda autour d’elle puis le vit devant la baie vitrée, le regard perdu dans le vague. Elle se leva tout en enfilant rapidement sa robe de chambre puis se dirigea vers son mari. Elle passa ses deux mains autour de sa taille et embrassa son épaule nue. Celui-ci se retourna alors.
- Pardon moi, mon amour, je ne voulais pas te réveiller.
- Que ce passe t’il ?
- Je réfléchissais.
- A 3 h du matin ? Chéri, ils vont la retrouver et elle finira sa vie en prison. Elle paiera pour tout le mal qu’elle t’a fait.
Deacon secoua la tête.
- Non, mon amour, elle a gagné, elle a déjà gagné.
- Je t’interdis de dire une telle chose ! Ok elle a marqué des points mais elle n’a pas gagné la guerre et elle ne la gagnera pas ! Son complice nous a volé des formules ? Ok, qu’il aille au diable avec elles ! Nous avons tout recommencé ! Soit nous traversons des moments difficiles mais nous en sortirons. L’important est d’être ensemble et c’est ensemble que nous les affronterons.
Deacon la serra dans ses bras.
- Je t’aime tellement, Bridget, surtout n’en doute jamais.
Il l’embrassa.
- Pourtant il m’arrive de penser que ta famille n’avait pas tord que tu aurais certainement été plus heureuse si je n’étais jamais entré dans ta vie.
Bridget fulmina.
- Ne répète plus jamais une chose pareille, Deacon !
- Réfléchi donc à ce qu’aurais été ta vie si nous ne nous étions jamais rencontré.
- Je ne me donnerais pas cette peine car je n’imagine pas ma vie sans toi.
- Alors je vais te la décrire : Tu travaillerais dans un grand hôpital où tu serais unanimement reconnu par tes pairs pour ton travail et ton dévouement. Tu aurais épousé un de tes collègues médecin ou peut être un avocat ou autre : en tout cas un homme de ton rang social qui n’aurait pas fait honte à ta famille avec laquelle tu n’aurais pas perdu le contact.
- Et dont je ne serais pas amoureuse car mon cœur attendrait désespérément quelqu'un d’autre. Un bad boy au cœur d’or qui par un beau matin croisa mon chemin en renversant une tasse de café sur ma robe. Depuis ce jour il a volé mon cœur à jamais.
Deacon, mon amour, je t’aime, et je suis très heureuse de la vie que je mène. J’aime travailler avec toi, j’aime nos enfants, notre chien, notre maison et plus que tout au monde, je t’aime toi : Deacon Sharpe.
Les larmes aux yeux, ils se blottirent dans les bras l’un de l’autre.
- Je t’aime moi aussi, Bridget.
Ils s’embrassèrent puis Deacon la souleva du sol et la porta dans leur lit avant de lui faire l’amour.
- Tu es tellement belle.
- Je t’aime, Deacon.
- Je t’aime moi aussi.


Dans l’avion qui le conduisait à New York, Eric réfléchissait : qu’est qui a bien pu arriver à ses parents. Ils s’entendaient si bien. Leur couple était si solide. Qu’est qui avait bien pu se produire. Eric passait en revue des milliers de possibilités sans en trouver une valable. Epuisait il finit par s’endormir.


A Catanzaro Lyndsy et Dante se rendirent compte de la disparition d’Eric. Ils interrogèrent Melanie.
- Il est rentré chez lui.
- A Hawaï ?
- C’est là où il vit non ?
- Mel, mais enfin pourquoi ne nous as-tu pas prévenu ?
- Eric devait rentrer, ses parents ont des problèmes.
- Nous le savons.
- Vous le saviez ? Mais depuis quand ? Pourquoi ne faites vous rien pour les aider ? Deacon et Bridget sont vos amis non ?
- Que pouvons-nous faire. Chérie, lorsque ton père et moi avons décidé de venir vivre prés de ton grand père nous avons remit notre démission à Deacon et il a accepté.
- Mon ange, nous savons que Gordon n’a pas encore été retrouvé…
Mel coupa la parole à son père.
- Démission ? Gordon ? Mais qu’est cela à avoir ? Moi je vous parle d’un couple de vos amis, vos meilleurs amis, à ma connaissance, un couple qui s’aime mais pourtant est entrain de se déchirer.
- Quoi ? s’exclama Lyndsy surprise.
- Oui, Maman, tu as bien entendu : Deacon et Bridget vont surement divorcer et vous qui vous prétendez leurs amis vous ne faites rien pour les aider. Pourtant sans eux il y’a longtemps que vous n’auriez plus été ensemble.
- Tu mens ! Mes parents ne vont pas divorcer : ils s’aiment ! s’écria Elona furibonde que personne n’avait encore aperçut.
La fillette sortit en courant de la maison. Melanie courut derrière elle suivi de Lyndsy et Dante.
- Elona, attend ! Ma puce, je ne savais pas que tu étais là, dit Elona lorsqu’elle la rattrapa la fillette en larmes.
- Pourquoi tu dis des tels mensonges, Melanie ? Mes parents sont amoureux, ils ne vont pas divorcer, pourquoi tu dis ca ?
- Oh ma puce, si tu savais à quel point tu puisses être dans le vrai. J’aime tes parents autant que les miens.
- Alors pourquoi tu dis qu’ils vont divorcer ?
- C’est ce que ton frère ma dit.
- Eric, t’a dit ca ? dit-elle en s’essuyant les larmes.
- Oui.
- Melanie, Elona, nous devrions rentrer à l’intérieur pour pouvoir mieux discuter.
- D’accord, Maman.
- Melanie, j’aimerais que tu nous expliques exactement ce qu’Eric ta dit.
- Je vais essayer, Papa. Comme vous le savez Eric voulez rentrer chez lui depuis un certain temps ; c’est pourquoi il téléphona à ses parents afin de leur apprendre sa décision de rentrer à la maison, or au lieu de sauter de joie, comme nous le pensions tous, Deacon et Bridget ont au contraire tout fait pour le dissuader de rentrer à la maison. Ils ont même été jusqu'à lui dire que Sharpe Design ne fonctionnait pas si bien.
- C’est peut être vrai.
- Peut être mais pourquoi ne veulent t’ils pas revoir Eric ? Ce là na pas de sens.
- Je ne te crois pas, mes parents ne vont pas divorcer ! Moi aussi je veux rentrer chez moi ! Je ne veux plus rester ici !
- Tu veux rentrer à la maison ? Pourquoi ? Les vacances ne sont pas encore terminées. Umberto a encore pas mal de leçons de pêches à me donner. Pourquoi veut tu rentrer si tôt ? Je croyais que tu aimais bien l’Italie, et puis si tu t’en vas-tu ne reverras plus Shirel avant longtemps. En as-tu conscience, Elona ?
- Deacon jr, Melanie prétend que Papa et Maman vont divorcer ! Elle dit aussi que c’est Eric qui lui a dit ; d’ailleurs Eric est déjà parti.
- Quoi ? Divorcer ? Ce n’est pas possible ! Nos parents s’aiment voyant, Elona.
- C’est que je leur ai dit. Tu trompes, Melanie, tu te trompes ! Eric et toi vous vous trompez ! Vous vous trompez tous ! Je veux rentrer chez moi ! dit la fillette en pleurant.
- Moi aussi je veux rentrer.
- Calmez-vous les enfants.
- Qu’on se calme ? Lyndsy, nos parents vont peut être se séparer et tu aimerais qu’on se calme ? Je vais appeler mon frère et lui demander de nous payer le voyage ; mes sœurs, Julian et moi nous rentrons à la maison.
- A la maison ? dixit Julian qui venait d’arriver. Pourquoi rentrons nous si tôt ? Je croyais que Papa et Maman nous avaient donné l’autorisation de rester en Italie jusqu'à la fin des vacances.
- Melanie prétend que Papa et Maman vont divorcer.
- Quoi ? Si c’est une plaisanterie elle est loin d’être drôle.
- Ce n’est pas une plaisanterie, Julian. C’est que ton frère ma dit. D’ailleurs il est actuellement en route pour rentrer à Hawaï. D’ailleurs à l’heure qui il est il doit probablement survoler l’Océan Atlantique. Il arrivera demain soir à Hawaï.
- Alors nous aussi devons rentrer : notre place est avec nos parents.
- Nous pouvons faire prélever l’argent sur le compte de Maman et Papa. C’est prévu de toute façon, cela sera juste fait plutôt que prévu.


- Mel, chérie, je me doute que cela ne doit pas être une situation facile pour toi : ton petit ami est rentré chez lui et tu sais que tu ne le reverras pas avant longtemps, mais il vous reste les emails et vous pourrez toujours vous parler via la webcam.
- Ce n’est pas cela, Maman. A quoi sert de continuer si un couple aussi uni que Deacon et Bridget se séparent.
- Chérie, nous ne savons pas ce qui c’est passé.
- Bridget est ton amie non ? Elle ne ta rien dit ?
- Non, elle ne ma strictement rien dit. De plus ces derniers temps nous n’avons pas beaucoup parlé.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi n’avez-vous pas parlé ?
- Je l’ignore.
- Quand Papa et toi avez eu des problèmes dans votre couple, Deacon et Bridget vous ont bien aidé, non ? Pourquoi ne pas les aider à votre tour ?
- Ce n’est pas si simple, mon ange, tu le sais bien.
- Pourquoi ?
- Voyant, chérie, nous n’habitons plus à coté.
- Justement pourquoi êtes vous partis ? Hawaï c’était chez nous !
- Ton père a voulu faire plaisir à son père.
- Mais ce n’est pas chez nous ici !
- Je sais qu’Hawaï te manques, qu’Eric va te manquer…
- Oui, oui, il va me manquer ! Beaucoup même ! Mais Eric n’est pas le seul qui me manques, tout me manque ! Eric, la maison, mon lycée, mes amis, ma vie quoi ! Et en plus là vos meilleurs amis sont sur le point de divorcer et vous ne faites rien ! Qu’est vous prend à Papa et toi d’agir ainsi ? Ta meilleure amie a failli mourir à cause d’un fou qui tenta de l’assassiner et à peine est t’elle sortie de l’hôpital vous êtes partis vivre à des milliers de miles. Vous aviez un travail pourtant la bas ; Papa et toi aimiez ce que vous faisiez. Ici Papa rentre à la maison contrarié car il n’aime pas son travail et toi tu t’ennuie.
Aucune d’elles ne remarqua la présence de Dante dans la pièce.


Deacon et Bridget se réveillèrent dans les bras l’un de l’autre. Deacon lui caressa le visage avant de l’embrasser.
- C’était bien, dit Bridget.
- Bien ? fit Deacon amusé. C’est tout ce que tu trouves à dire ?
Bridget rit.
- D’accord, c’était merveilleux, fantastique, extraordinaire. Ca te suffit où je continue ?
Deacon rit et l’embrassa.
- C’est toi qui es extraordinaire : je t’aime, Bridget.
- Moi aussi je t’aime.
Ils s’embrassèrent.
- A quoi penses-tu ? demanda Bridget à son mari en le voyant songeur.
- A nous, notre famille, notre bonheur que Nancy menace.
- Mon amour, nous nous battrons. Jamais elle ne détruira ce que nous avons construit. Crois moi elle ne gagnera pas ! Jamais !
Deacon l’embrassa.
- Oui mon amour, nous ne la laisserons pas gagner mais pour cela nous devons rester uni et faire front commun ensemble : tous ensemble !
- A quoi penses-tu ?
- Mon amour, est un voyage à Catanzaro te tenterais ?
Les yeux de Bridget brillèrent.
- Deacon, mon amour, Essaie tu de me dire que nous allons aller chercher les enfants ?
Deacon sourit.
- Je sais que ce n’est pas exactement le voyage que je t’avais promis : pas d’escale à Paris, pas d’Orient express…
- Ca m’est égal ! Deacon mon amour, tout ce qui compte c’est être ensemble : tous les deux et retrouver nos enfants !
Deacon l’embrassa.
- Je vais donc réserver deux billets d’avion pour Naples. Une fois à Naples nous louerons une voiture et nous nous rendrons à Catanzaro.
- Je t’aime tellement.
- Moi aussi je t’aime.
Ils s’embrassèrent et firent l’amour derechef.


L’avion d’Eric se posa sur le sol de JFK airport. Sa correspondance pour Honolulu n’aurait lieu que dans deux heures. Eric était épuisé. Il regarda l’horaire à la pendule de l’aéroport : 11 h 30. Il était donc 6 h 30 à Hawaï. Peut être ses parents n’étaient pas encore réveillé, si toutefois ils habitaient encore ensemble. Il regarda sa montre resté à l’heure italienne : 17 h 30. Il décida d’appeler Melanie.
- Pronto?
- Shirel? C’est Eric.
- Eric! Ou tu es ?
En entendant le nom d’Eric, Melanie se précipita vers le téléphone.
- Passe le moi, toi de ton coté va jouer avec Elona.
- Elona ne veut pas jouer, elle fait ses bagages pour rentrer chez elle.
- Shirel, ma puce, laisse ta sœur parler au téléphone et si Elona ne veut pas jouer va voir ton frère.
- D’accord, Papa.
La fillette disparue aussitôt.
- Eric, tu m’appelle d’où ?
- Je suis à l’aéroport de New York j’attends ma correspondance pour Honolulu.
- As-tu eu tes parents ?
- Non ! Il est trop tôt à Hawaï.
- Tu ne sais donc rien de plus depuis hier.
- Non. J’ai peur si tu savais, Mel, je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie. Je n’imagine pas ma famille brisée.
- Je comprends, mais peut être qu’en te revoyant cela les résoudra et ils renonceront au divorce.
- Je l’espère.
- Tu me manques, Eric. Cela ne fait même pas 24 h que tu es parti et déjà tu me manques.
- Tu me manques aussi, Mel. J’aimerais t’avoir prés de moi.
- J’aimerais l’être aussi.
« Les passagers à destination d’Honolulu par le vol Continal Airlines 315 sont priés de se rendre au terminal 8 pour un décollage immédiat »
- Je dois te laisser, Mel, l’avion va partir. Je t’enverrai un mail aussitôt arrivé que j’aie du nouveau. Je t’aime.
- Je t’aime aussi.
Ils raccrochèrent.


Lyndsy était dans la cuisine entrain de préparer le diner lorsque Dante la rejoignit.
- Oh non ! dit-elle en laissant tomber le saladier au sol.
Dante le ramassa.
- Ca va ?
- Ca va super! Pourquoi ca n’irait pas? Ma meilleure amie est sur le point de divorcer, ma fille vient de séparer pour combien de temps, Dieu seul le sait, de son petit ami, Trois jeunes enfants sont prêts à partir à l’aventure en prenant pour rentrer chez eux et retrouver leurs parents, nos deux plus jeunes enfants vont perdre leurs meilleurs amis mais à part cela tout va pour le mieux !
Dante sourit et Lyndsy fulmina en le voyant sourire.
- Et toi cela te fait sourire !
- Tu as oublié deux choses à ton énumération des événements : tu t’ennuie en restant à la maison et je fais un travail qui ne plait pas.
- C’est censé me remonter le moral ?
- Non.
- Bien ! Tant mieux car je ne suis pas d’humeur à rire !
- Ce n’était pas le but.
- Quel était t’il alors !?
- Lyndsy, que dirais tu de monter faire nos bagages et ceux des enfants, prendre le premier train pour Naples ensuite nous prendrons le jet jusqu'à Honolulu. Nous pourrions même rattraper Eric, voir le devancer.
- Tu veux repartir à Hawaï ? dit Lyndsy interdite.
- Lyndsy ce n’est pas une vie pour nous ici, nous avons essayé mais nous nous ne plaisons pas en Italie. Comme tu la dit : les enfants sont malheureux et nous aussi. Tu t’ennuie toute la journée à la maison et quand à moi je fais un travail qui ne plait pas. A Hawaï nous avons notre maison et nous pouvons faire le travail pour lequel nous sommes faits.
- Mais la société de ton père ? Tu sais à quel point il aimerait que tu reprennes les reines un jour.
- Andrea s’en sortira très bien sans moi, il s’en sortait très bien avant et cela continuera. Il adore ce travail contrairement à moi.
- Dante, je ne sais quoi dire.
- Dis simplement que tu es d’accord et que tu vas monter faire les bagages des enfants pendant que je m’occuperai des nôtres.
Lyndsy sourit.
- Tu le dis aux enfants où je leur dis ?
A cet instant Deacon jr parut.
- Nos bagages sont prêts, Lyndsy, tu veux bien nous accompagner à la gare ?
- Non, Deacon jr.
- Lyndsy, nous devons voir nos parents ! Nous sommes sur qu’ils s’aiment encore on ne veut pas qu’ils se séparent !
- Si tu ne nous accompagne pas nous prendrons le bus, dit Elona.
- Deacon Jr, Elona, ce n’est pas que nous refusons de vous accompagner à la gare… en fait nous y allons tous : Lyndsy, vous, Melanie, Shirel et Enzo. Mon frère Andrea nous conduira à Naples puis nous prendrons le jet jusqu'à Hawaï.
- Papa, tu es sérieux ?
- Oui, Mel, je suis on ne peut plus sérieux. Nous repartons chez nous. Si vous faites vite dans moins d’une heure nous envolerons pour Hawaï
- Je monte faire mes baguages ! s’écria t’elle euphorique.

Une demi-heure plus tard tout le monde était dans le jet. Dix minutes plus tard l’avion s’envolait.

Neuf heures du matin : Hawaï. Bridget préparait les bagages lorsque Deacon vint la trouver.
- Je regrette, chérie, mais tous les vols pour Rome sont complets pour la journée. Il n’y a rien avant demain soir. J’ai donc réservé deux places et encore en classe économique, il n’y avait rien en classe affaire.
- La classe m’importe peu, tu le sais bien. L’essentiel étant de retrouver nos enfants.
Deacon lui sourit en la serrant dans ses bras avant de l’embrasser.
- A quoi penses-tu ? demanda Bridget à son mari qui sembla soudain soucieux.
- Rien d’important ne t’inquiète pas.
- Tu t’inquiètes du silence de Nancy.
Deacon sourit.
- Tu lis en moi comme dans un livre.
- Uniquement parce que je t’aime.
- Je t’aime moi aussi. Oui ce silence m’inquiète. Je me demande ce qu’elle manigance.
- Quoique elle fasse elle ne pourra pas nous atteindre tant que nous serons unis : notre famille fera fasse ensemble. Le FBI ainsi qu’Interpol sont à sa recherche. Ils finiront bien par l’attraper.
Pour parler de choses plus plaisantes je n’ai pas réussi à joindre notre fils ni même Lyndsy. Je suppose qu’ils sont sortit et qu’Eric ne devait plus avoir de batterie.
Deacon sourit.
- C’est surement le cas.
- Je réessayerai plus tard.
- Ok. Pour le moment que dirais tu d’aller faire un tour au bureau et régler les affaires courantes avant le voyage ?
- Excellente idée, mon amour.


A la fin de la journée Bridget ne réussit toujours pas obtenir ni son fils ni les Damiano.
- Toujours aucune nouvelle ?
- Toujours rien, je commence sérieusement à m’inquiéter. S’il était arrivé quelque chose à l’un des enfants.
- Je suis certain que Dante ou Lyndsy nous auraient prévenus. Attendons encore un peu et je suis sur que nous aurons de leurs nouvelles tres vite.
Voyant l’angoisse sur le visage de sa femme, Deacon l’attira contre lui et l’embrassa lorsque la porte s’ouvrit.
- Maman ! Papa ! Je vous en prie ne divorcer pas !
Surpris Deacon et Bridget se retournèrent en direction de la porte.
- Eric ? Mais qu’est tu fais là ? demanda Deacon surprit.


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Chapitre 16
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