chapitre 6

Fic corrigée par Mary

A la maison de la plage chez Deacon & Bridget le lendemain

Bridget venait de partir pour la fac en emmenant Eric avec elle, il devait passer la journée chez Stephanie qui organisait un pic nique autour de la piscine pour les enfants. Deacon resta chez lui car pour une raison obscur il sentait que quelque chose allait arriver ce jour là.
Il ne cessait de repenser aux menaces de son beau père et ne pouvait s’empêcher de les prendre au sérieux. Eric Forester était un homme puissant à Los Angeles il lui suffisait de claquer des doigts pour que ses ordres soit exhausser. Mais que pouvait il bien lui réserver comme punition au fait qu’il ai refusé de quitter Bridget pour de l’argent. Bridget comme il pouvait aimer cette femme, sa femme, la mère de son enfant et de tous les enfants qu’ils auraient ensemble plus tard. De toutes les femmes qui il avait connu pas une ne ressemblait à Bridget à sa beauté autant extérieure qu’intérieur. Il ne pouvait plus imaginer sa vie sans elle. Il était ainsi perdu dans ses pensées lorsque on sonna à la porte.

Brooke se trouvait sur le pas de sa porte, il poussa un soupir de mécontentement en la voyant
« Brooke, que faite vous ici si vous venez encore me dire d’annuler mon mariage cela n’en vaut pas la peine de vous dérangez Eric s’en ai déjà chargé. Il connaît ma réponse j’aime Bridget et quoique vous ayez à me proposer cela m’intéresse pas… »

Sans qu’il eu le temps de finir sa phrase Brooke lui sauta dessus et l’embrassa sur les lèvres en le poussant vers l’intérieur de la maison, surpris le jeune homme se retrouva sur le fauteuil avec Brooke à cheval sur son gendre. Quelques secondes s’écoulèrent avant qu’il ne reprenne ses esprits et la repoussa violemment tout en se levant.

« Mais enfin que faite vous donc, auriez vous perdu l’esprit, dit t’il sur le ton de la colère »
« Deacon, Deacon j’ai envie de vous, j’ai terriblement envie de vous comme vous avez envie de moi, vous avez besoin d’une femme d’une vraie et je peux je veux être cette femme je saurais vous donnez ce qu’aucune autre ne vous donnera jamais, aimez moi Deacon aimez moi et vous ne regretterez pas, Bridget est bien trop jeune et trop prude elle ne comprend pas les besoins sexuel d’un homme tel que vous, Deacon je vous aime »
« Vous me donnez envie de vomir, vous prétendez m’aimer mais vous ne savez même pas ce qu’il signifie »
« Vous êtes mon âme sœur Deacon, je sais que vous inquiétez pour Bridget et vous voulez lui être fidèle mais pensez à vous, à moi à nous combien votre vie sexuelle s’épanouirai avec moi…
« Taisez-vous!! Hurla t’il, vous m’écoeurez, votre comportement est celui d’une prostituée comment se peut-il que Bridget ai une mère comme vous? Elle qui est un ange de douceur et de bonté, c’est quelque chose que je ne m’expliquerai jamais. Elle vous aime, dit il en soupirant, d’où la raison pour laquelle je ne lui raconterai pas ce qui vient de ce passé je ne veux pas la voir souffrir je l’aime trop pour cela, mais partez, partez avant que je ne change d’avis ! »

Soudain on entendit le bruit d’une voiture s’arrêtait devant la maison, Brooke jeta un rapide coup d’œil par la fenêtre lorsque elle vit sa fille quand soudainement elle se jeta de nouveau dans les bras de Deacon en le renversant sur le sofa. Vêtue d’une simple nuisette et l’embrassa sur la bouche lorsque Bridget entra elle trouva ainsi sa mère dans les bras de son mari.
Bouche bée elle était incapable de prononcer une parole. Pris au piège Deacon n’arrivait pas à se débarrasser de Brooke dont ses bras l’agrippait celle-ci faisant semblant de ne pas s’apercevoir de la présence de Bridget à la maison continuait à faire semblant de jouir.
Désemparée par la scène à laquelle elle venait d’assister elle pris la fuite les larmes ruisselant sur son visage elle démarra sa voiture à une vitesse folle.
Lorsque enfin Deacon réussit à se détacher de Brooke en l’envoyant d’un geste brusque une nouvelle fois au sol il sortit en courant sur le parvis de la maison

« Bridget », hurla t’il
Sans plus ce soucier de Brooke étalée sur le sol il pris sa voiture et engagea une course poursuite afin de retrouver sa femme. Il prit son portable et composa son n°
« Bridget répond moi stp c’est moi il faut que l’on parle »
Mais Bridget ne pouvait chasser de son esprit l’image qu’elle avait vue en entrant chez elle : son mari l’homme qu’elle aimait plus que tout avec sa mère entrain de faire l’amour. Comment les deux personnes qu’elle aimait le plus au monde avaient t’ils pu lui faire une telle chose ?
Pendant ce temps là Deacon avait finit par retrouver sa trace et ne cessait de l’appeler
« Bridget je t’en prie décroche il faut que nous parlions, je t’en supplie écoute moi je t’aime ma chérie stp décroche ce téléphone » disait il tout la gorge nouée par l’émotion.

Pendant ce temps là Bridget dans sa voiture se remémorait les moments de bonheur passait en compagnie de l’homme qu’elle aimait plus que tout. Il lui avait dit qu’il aimait, qu’il voulait passer le reste de sa vie avec elle ne l’avait t’il pas redemander en mariage alors qu’elle croyait leur mariage finit, ces moments ces moments merveilleux passait en compagnie de Deacon avec leur fils ou seuls tout les deux en amoureux, tout ces petits moments anodins de la vie quotidienne qui font que le bonheur existe lorsque on est à deux pour les partager. Mais cette scène cette scène horrible à laquelle elle avait assisté lui revenait sans cesse en mémoire. Pendant qu’elle revivait tout cela un camion arrivé en sens opposé sans qu’elle le voie. Deacon le voyant tenta de la prévenir en l’appelant une énième fois mais c’était déjà trop tard …. Le camion venait de la percuter et la voiture roula sur elle-même avant de s’arrêter sur le bas coté de la route. En voyant cela Deacon poussa un cri de bête à l’agonie.
« "BBBBBBBBBBBBBBBBBBBBRRRRRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIIIDDDDDDDDDDDDDDGGGGGGGGGGGGGGTTTTTTTTTTTTTTT »
Il sortit alors de sa voiture et se précipita au devant de Bridget, elle était inconsciente le visage recouvert de sang.