chapitre 27

« On en finira donc jamais avec tous ces scandales dont ma mère à le secret »
« Calme toi, ne t’énerve pas ainsi c’est pas bon ni pour toi ni pour le bébé »
« Tu as raison mais ma mère a le don de me mettre hors de moi »
« J’aimerais tellement protéger nos enfants des scandales avec lesquels j’ai grandis. Je n’aurais jamais cru que les journaux auraient vent de cette histoire »
« Moi non plus, je pensais que cela serait resté au sein de la famille, d’autant plus que tout le monde me croit mort il n’y avait donc aucune raison à ce que ta mère raconte une telle histoire à la presse »

Las Vegas

« Rick, es tu bien sur de le vouloir ? »
« Plus que sur, depuis le temps que j’attend ce moment. J’ai été assez stupide pour te laisser tomber une fois, je ne referai pas deux fois la même erreur. Il l’embrassa »
« Mais ta famille que va-t-elle pensée ? »
« Stephanie ta toujours beaucoup aimé, elle était réellement navrée lorsque nous avons divorcé, je suis certain que Kristen approuva mon choix, idem pour Thorne : il t’aime bien »
« Tu évite soigneusement de parler de tes parents »
« Je n’ai plus de parents. Après ce qu’ils ont oser faire à ma sœur »
« J’aurais tellement aimé qu’elle soit là »
« Je sais moi aussi, qu’ils soient là tous les deux : que rien de tout ceci ne soit produit »
« Malheureusement c’est arrivé et tous nos souhaits, tous nos regrets n’y changeront rien »
« En effet, tout ce nous pouvons faire c’est espérer que Bridget aille un peu mieux et nous nous devons allé de l’avant. Alors mlle Moore êtes vous prête à passer devant le pasteur et redevenir : Md Rick Forrester ? »
« Elle lui sourit »

Chez Bridget & Deacon

« Parfois j’aimerais être à des milliers de milles d’ici »
« Ne me tente pas »
« Tu veux, dit Bridget surprise »
« Tu sais je n’ai pas d’attache dans cette ville et pour tout te dire le seul bon souvenir que je n’ai est celui de notre rencontre »
Elle lui sourit et l’embrassa d’un rapide baiser sur les lèvres
« Alors pourquoi rester ici, il n’y a aucun avenir pour nous. Nous pourrions partir n’importe où dans une autre ville, un autre État, un autre pays si tu veux peut m’importe du moment que nous sommes ensemble »
Il lui sourit et l’embrassa
« Je t’aime»
« Moi aussi je t’aime »
Il soupira
«Ta proposition est tentante mais on ne peut pas faire ça »
« Pourquoi ne le pourrions nous pas ? Tu ma dis toi-même que tu n’avais pas d’attache dans cette ville »
« Moi non, mais toi oui »
« Tu te trompe. Dis t’elle tout en se dirigeant vers la terrasse »
« Bridget, dis t’il en lui caressant ses cheveux, mon ange regarde moi »
Elle se retourna et lui fit face. Il lui prit la main et la baisa.« Bridget, on ne peut pas faire cela, ta famille est ici »
« Ma famille c’est toi et les enfants. Deacon je t’aime, je veux passer ma vie avec toi. Ici ma famille ne nous laissera jamais vivre en paix»
« Je t’aime moi aussi, dit t’il en la serrant dans ses bras et lui donnant un baiser sur le front »

Las Vegas, la chapelle

Le ministère officiant commença la cérémonie

« Mes biens chers frères et sœurs, nous sommes réunis ici aujourd’hui afin d’unir par les liens du mariage Rick Forrester et Ambre Moore.
Rick voulez vous prendre, Ambre ici présente comme légitime épouse, jurez vous de l’aimer, de la chérir, de la garder malade ou bien portante, dans la richesse comme dans la pauvreté jusqu'à ce que la mort vous sépare »
« Je le veux »
« Ambre, voulez vous prendre, Rick ici présent comme légitime époux, jurez vous de l’aimer, de le chérir, de le garder malade ou bien portant, dans la richesse comme dans la pauvreté jusqu'à ce que la mort vous sépare »
« Je le veux »
« Par les pouvoirs qui me sont conféré par l’État du Nevada, je vous déclare mari et femme. Vous pouvez embrasser la mariée »
Rick embrassa Ambre et la femme du pasteur interpréta à l’orgue la partition de « Love me Tender » d’Elvis presley.

Chez Bridget & Deacon

« Papa », dis le petit Eric qui avait rejoint ses parents sur la terrasse
« Oui chéri, qui y’a-t-il »
« Papa, tu me le promet ce n’est pas toi le papa du bébé de Grand-mère Brooke, maman et toi n’allez pas encore vous séparer, on continuera d’être une famille, tu n’aura des enfants qu’avec maman promet le s’il te plait ? »
« Mon ange, dis Deacon en prenant son fils dans les bras, tu n’as rien à craindre mon trésor, je ne suis pas le père du bébé qu’attend ta grand mère Brooke, et non ta maman et moi n’allant plus nous séparer, je l’aime et elle-même aussi et oui tous tes futurs frères et sœurs sont ceux que j’aurais avec ta maman et personne d’autre. Je te le promet »
Bridget avait les larmes aux yeux en écoutant parler son fils celui-ci s’en aperçu
« Pourquoi pleure tu maman ? »
« Pour rien mon ange, pour rien, allez vient un peu dans mes bras, très bientôt je ne pourrais plus te porter, ton père en aura alors toute l’occasion possible dit t’elle en riant à travers ses larmes »
Deacon se mit à rire tout en lui donnant l’enfant
« Eric, fait nous confiance à papa et moi, d’accord. Nous n’allons plus nous séparer, je te l’ai promis lorsque je t’ai emmené voir papa lorsque il était encore malade tu t’en souvient ? »
Le petit Eric hocha de la tête
« Bien je t’ai dit la vérité, j’aime ton papa et il m’aime, nous n’allons plus nous quitter »
« Eric, mon grand, à l’avenir quelqu'un te dit quoique ce soit sur maman, moi, ou sur tes grands parents, oncles et tantes, ne le garde pas pour toi, vient nous en parler. D’accord ? »
« D’accord papa »
« Bon allez maintenant descend des bras de ta mère et va jouer dans ta chambre, nous viendront te voir un petit plus tard »
« Maman, papa, est ce je vais bientôt revoir Thomas, Stephy, Phœbe et Zende ? »
Deacon regarda Bridget
« Peut être chéri, allez va jouer maintenant »
Bridget se blottit dans les bras de Deacon

Chez Taylor

« Maman »
« Oui, Thomas »
« Maman, quand reverrons petit Eric, quand va-t-il revenir jouer à la maison comme avant ? »
« Je ne sais pas, Thomas, j’en sais vraiment rien du tout »
« Est-ce il est fâché après nous ? »
« Pourquoi dis tu cela, Phœbe ? »
« Parce que, c’est un peu à cause de papa, si son papa est mort »
« Oui, mais nous on l’aimais bien, oncle Deacon, dis Stephy »
« C’est vrai, il a toujours été très gentil avec nous, répliqua Thomas »
« Je sais bien les enfants. Je ne crois pas une seconde que votre cousin soit fâché après vous»
« Alors c’est, Tante Bridget, qui est fâchée ? »
« Non, je ne crois pas qu’elle soit fâchée, où du moins pas après vous, mais elle est triste, elle aimait beaucoup votre oncle Deacon et il doit lui manqué »
« Maman ? »
« Oui, Phœbe ? »
« Avec Thomas et Stephy on se demandaient si Petit Eric était encore notre cousin ? »
« Bien sur qu’il est encore, pourquoi cette question »
« Parce que Brooke, dis qu’il ne l’ai pas car il n’est pas le vrai fils de tante Bridget »
« Et vous qu’en pensez vous ? Est cela change quelque chose au fait que le petit Eric ne soit pas réellement le fils de votre tante Bridget ? »
« Bien je ne sais pas, Zende n’est pas le véritable fils de Tante Kristen et pourtant c’est notre cousin »
« oui mais c’est différent, oncle Tony et Tante Kristen l’ont adopté et il n’est pas le vrai fils d’oncle Tony non plus, contrairement au petit Eric »
« Moi je me fiche de ce qui dit Brooke. Petit Eric est mon cousin qu’elle le veuille ou non, c’est le fils d’Oncle Deacon et il est le mari de Tante Bridget ! répliqua Thomas »
« Il n’est plus son mari puisque il est mort »
« Phœbe, dis Taylor, ça change beaucoup de chose pour toi le fait que ton Oncle Deacon soit mort ? »
« Je ne sais pas c’est que dis Brooke en tout cas et papa aussi, ils ne veulent plus qu’on l’appelle « Oncle Deacon », ils disent qu’il n’as jamais fait partit de notre famille »
« C’est faux ! C’est Brooke qui ne fait partit de notre famille et elle a détruit la notre »

Terrasse du Lair

« Qu’allons nous faire, Deacon ? »
« nous n’avons pas beaucoup de possibilités, ma chérie, soit on s’enfuit de Los Angeles, toi, le petit Eric et moi, soit nous disant toute la vérité à ta famille »
« Hum, j’opterai pour la première solution, cela serait le rêve »
Il se mit à rire et l’embrassa d’un rapide baiser sur les lèvres
« Moi aussi, j’adorais t’avoir tout à moi, rien qu’a moi, loin de tout ce stress, loin de toute cette pagaille, mais on ne peut pas, je plaisantais en parlant de cela »
« Moi pas, on peut partir, où tu veux, quand tu veux, ça m’est égal tant qu’on est ensemble. Vivre ensemble avec nos enfants dans un endroit où le nom des Forrester serait totalement inconnu, nous serions que Madame & Monsieur Deacon Sharp, une famille tout ce qu’il y’a de plus ordinaire »
« A moins d’allé vivre au Pole Nord, site moi un endroit sur Terre où le nom des Forrester est inconnu et encore je te parie que même la bas ils sont connu»
« Ça m’étonnerai, ma mère préfère créer des nuisettes plutôt que des doudounes pour Inuits »
Il la regarda et partirent tout deux d’un grand éclat de rire
« Bridget, tu n’as pas idée jusqu à quel point je peux t’aimer »
« Je crois que si au contraire, je le sais car j’éprouve exactement la même chose pour toi »
Ils s’embrassèrent un long moment
« Tu as froid ? Tu frissonne »
« Oui un peu »
« Tient met cela sur tes épaules tu aura moins froid, dit Deacon en mettant son blouson de cuir sur elle »
« Merci, cela va déjà mieux »
« Vient, rentrons à l’intérieur, nous serons mieux pour discuter »

Chez Taylor

« Thomas, c’est un peu plus compliqué que tu ne le pense, Brooke n’est pas entièrement responsable de l’échec de mon mariage avec ton père
« Si c’est sa faute, d’ailleurs c’est aussi ce que dis Grand mère »
« Stephanie n’est pas objective des qu’il s’agit de Brooke et de ton père »
« Si c’est pas la faute de Brooke alors c’est la faute à qui, demanda Stephy »
« Ce n’est la faute de personne, Stephy, je crois qu’il ne faut pas chercher un coupable car il n’y en a pas. Entre votre père, Brooke et moi le conflit n’est pas récent croyez moi, il date d’il y’a des années, bien avant votre venue au monde »
« Est-ce il y’a des chances pour qu’un jour, papa, revienne à la maison avec nous ? »
« Tu es trop bête, Stephy, papa ne reviendra jamais, maintenant Brooke et lui vont avoir un bébé qui va être notre petit frère, répliqua Phœbe »
« Un frère ? fit Taylor surprise, alors c’est un garçon que Brooke attend »
« Oui c’est ce que papa nous a dit, mais c’est juste que pour moi il ne sera jamais mon frère, j’ai pas de frère »
« Ne dis pas cela, Thomas, ce petit bébé n’est pour rien dans ce qui c’est passé entre ton père et moi et je suis certaine que tu va beaucoup t’amuser avec un petit frère toi qui n’as que des sœurs »
« En tout cas, moi, je ne veux plus allez chez papa et Brooke plus jamais et je ne veux plus jamais revoir papa ! »
« Pourquoi dis tu cela, Phœbe, il s’est passé quelque chose d’anormal chez ton père et Brooke pour que tu ne veuille plus y’ aller et ni revoir ton père. Si c’est à cause de notre divorce, je viens de dire… »
« Non c’est pas à cause de votre divorce »
« Chut, Phœbe, cela devait être un secret tu te rappelle pas, Thomas, toi et moi on s’étaient promis de ne rien dire »
« Attendez une minute tout les trois, de quoi êtes vous entrain de parler ? »
« Elles parlent d’Oncle Deacon et de Tante Bridget. On sait pourquoi Oncle Deacon est mort »
« Oui, je sais bien, je vous l’avez expliqué, je vous ai dit qu’Oncle Deacon était malade et c’est pour cela qu’il est mort »
« Non, si il est mort c’est parce que papa a fabriqué des fausses preuves pour lui faire croire que Tante Bridget ne l’aimait plus et à cause de cela, il a bu de l’alcool, alors que sa maladie le lui interdisait »
« D’où tient tu tout cela, Thomas ? demanda sa mère »
« J’ai entendu papa en discuter avec Brooke, un soir où l’on a Stephy, Phœbe et moi on a dormis chez eux »
« Maman, est cela veut dire que papa va allez en prison parce que il a tué Oncle Deacon ? »
« Non, Stephy, ton père n’ira pas en prison car il n’as tué personne »
« Pourtant il a fait du mal à Oncle Deacon, c’est à cause de lui qu’il est mort », dis Thomas furieux

La terrasse du Lair

« Qu’est qu’on va faire ? » Dis Bridget en mettant sa tête sur son épaule
Il embrassa le haut de sa tête, « On a pas le choix, ma chérie, il va falloir dire la vérité à ta famille
« Deacon, non ! Si ils ont leur dit que tu es vivant c’est signé l’arrêt de mort de notre mariage »
« Calme toi, dit t’il en la serrant contre lui, ce n’est pas bon pour toi de t’énerver comme tu le fais et ce n’est pas bon non plus pour notre bébé. » il l’embrassa
« Je ne veux pas te perdre de nouveau »
« Moi non plus je ne veux pas te perdre »
« Si mes parents ou Ridge apprennent que tu es en vie, ils mettront tout en œuvre pour nous séparer de nouveau »
« Mais ils n’y arriveront pas, pas cette fois, ils ne pourront rien contre nous à moins de me tuer, cette fois ci ils ne pourront plus nous faire du mal, je te le promet »
« Ne dis pas cela, tu as bien faillit mourir une fois à cause d’eux tu as déjà oublié ? »
« Je n’ai rien oublié, dit il en soupirant, mais chérie, les choses ont changé. A l’époque nous ignorons ce qu’ils étaient capables de faire pour nous séparer. Aujourd’hui nous le savons. De plus je ne crois pas qu’ils le referont, eux aussi ont eu une leçon, ils ont vu de quoi tu étais capable lorsque on s’en prend à moi, cela fait plus de deux mois, maintenant, que tu ne leur as pas adressé la parole. Tu ne crois pas que l’heure est venue de sortir le drapeau blanc ? »
Elle ne répondit pas et se blottit contre lui
« Bridget ? Tu ne ma pas répondu »
Elle le regarda de ses grands yeux bleus et lui sourit. Il la regarda et se mirent à rire tous les deux
« Tu sais bien que je ne peux rien te refuser, dis t’elle en lui souriant, alors d’accord, d’accord, j’irai leur parler puisque tu y tient. Je le ferai pour toi »
« Non ma chérie, tu le fera pour nous et pour nos enfants, en particulier pour celui qui grandis en toi, d’ailleurs je suis certain que ton père finira par m’accepter lorsque il apprendra qu’il va devenir grand père »
« Tu es optimiste »
« Et j’ai des bonnes raisons de l’être, je vais bientôt être père de nouveau et aussi et surtout j’ai une femme merveilleuse, dont je suis fou amoureux, qui partage ma vie et qui m’aime à la folie elle aussi. Je ne sais pas ce que je fais au Ciel pour mériter qu’un ange tel que toi entre dans ma vie mais je l’en remercie pour cela. Je t’aime, Bridget »
« Je t’aime aussi, Deacon »
« Alors tu me le promet, tu dira toute la vérité à ta famille »
« Es tu certain qu’il n’y a aucune autre solution ? »
« Ma chérie, je ne vais pas pouvoir faire passer pour mort plus longtemps. De plus tu attend un bébé, ne croit tu pas qu’il aura le droit de connaître un jour ses grands parents ? »
« En sachant que ses grands parents ont tout manoeuvré pour séparer ses parents, j’en suis pas certaine »
Il l’embrassa
« Comment peut tu leur pardonner aussi vite, moi j’en suis incapable »
« Je n’ai pas dit que je leur avez pardonné, en particulier ce qu’ils t’ont fait, je n’ai pas oublié le temps où tu étais à l’hôpital à lutter pour rester en vie »
« Alors s’il te plait, Deacon, s’il te plait, mon amour, je t’en supplie, ne m’oblige pas à tout leur dire, pas maintenant c’est trop tôt, c’est beaucoup trop tôt » En pleurant elle se jeta dans ses bras.
« Ça va allez, dit t’il en lui caressant ses cheveux, ça va allez ma chérie, tu as raison c’est trop tôt, on n’as pas de compte à leur rendre, on le ferra quand tu en aura envie et si tu as envie. Pardonne moi de t’avoir mis la pression, je n’aurais pas dû. J’ai pense à mes rêves d’enfant à ce que je désire pour les nôtres avant de pensé à toi et au mal que cela te ferais. Tu me pardonne, dis ? »
« Bien sur, je te pardonne. Deacon, je t’aime plus que tout au monde, je ne veux pas te perdre, pas encore une fois, je ne le supporterai pas »
Il la serra dans ses bras
« Tu ne perdra jamais, je t’aime », dit t’il en l’embrassant
« Je t’aime aussi »
« Allez vient rentrant à la maison, allons parler à notre fils »
Elle lui sourit, en s’enlaçant ils rentrèrent et allèrent droit dans la chambre du Petit Eric.

Chez Taylor

« Thomas, non, ne dis pas une chose pareille ! »
« Pourquoi, c’est la vérité »
« Thomas, Deacon était malade, le mal dont il souffrait est une maladie très particulière. Ton père n’y est pour rien »
« C’est pas vrai et tu le sais ! Comment peut tu le défendre après ce qu’il a fait ! »
« Chéri, je sais que tu ressent, tu es en colère car ton père n’habite plus à la maison. Il te manque, c’est normal »
« A cause de lui, notre famille est détruite même Tante Bridget ne nous adresse plus la parole »
« Ta Tante Bridget doit être encore extrêmement malheureuse, lorsque elle ira mieux je suis sure qu’elle reviendra nous voir »
« Maman »
« Oui, Stephy ? »
« Et si on allaient les voir, elle et Petit Eric avant de partir chez Grand Père »
« Oh maman, dis oui, s’il te plait», dit Phœbe
« Comme ça, Tante Bridget et Petit Eric seront qu’on les oublient pas ni eux ni Oncle Deacon, repris Stephy »
« C’est une excellente idée les enfants. Nous irons les voir demain.