The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 chapitre 25

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


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Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

chapitre 25 Empty
MessageSujet: chapitre 25   chapitre 25 EmptyJeu 20 Mai - 23:57

Deacon resta interdit.
- Pardon ?
- Oui, Deacon, Lyndsy et moi travaillons pour le FBI.
- Et pourquoi le FBI chercherait t’il à tuer Deacon ? ironisa Bridget.
- Je comprends tes sarcasmes, je me doutais bien qu’il ne sera pas facile pour vous de nous croire sur parole. Pourtant je te promets, c’est la vérité. Dante et moi travaillons pour le FBI afin de vous protégez les enfants et vous.
- Oh, à présent te voila notre ange gardien. Quelle chance, mon Dieu ! Si la situation n’était pas aussi dramatique j’en rirais presque. Seulement voila, ma fille est dans un état critique et tu m’excuseras si je n’ai pas envie de rire.
- Ce n’est en rien une plaisanterie, croyez moi. Lyndsy et moi travaillons en tant qu’agent double.
- Tu te crois où dans un épisode d’Alias ? ironisa Deacon.
Dante soupira.
- Demande à Wilson il te le confirmera.
- Wilson ? Cet inspecteur à deux balles, il était censé nous protéger ma famille et moi : il nous a si bien protégés qu’aujourd’hui ma fille de trois ans se bat pour rester en vie.
- Je reconnais qu’il n’est pas très doué mais il fait ce qu’il peut avec les moyens qu’il a.
Deacon commencé à fulminer.
- Qu’est que tu veux, Dante ? Me tuer c’est cela ? Mon pauvre vieux tu vas devoir attendre, nous sommes dans un lieu public, tu seras rapidement maitriser et je doute fort que ton organisation fasse quoique ce soit pour te tirer de là. Moi mort, tu ne leur serviras plus à rien.
- Deacon, ne dis pas cela.
- Désolé, chérie, dit-il en l’attirant contre lui.
- Tout à commencé au moment de notre départ pour l’Italie : un peu avant…
Ainsi, Dante conta comment Lyndsy et lui commencèrent à travailler en qualité d’agent double du FBI. Lorsqu’il eut fini Deacon et Bridget restèrent un moment silencieux, bientôt rejoint par les enfants revenus de la cafeteria.
Elona fut la première à rompre le silence.
- Alors, vous ne voulez pas faire du mal à mes parents où à mes frères et sœurs ?
- Non, Elona, jamais nous ferons du mal à ta famille.
Alors que personne ne l’attendait, Eric arriva.
- Papa, Maman, comment va Anaëlle ?
- Eric ? Mais que tu fais là ? s’exclama sa mère ?
- J’étais en Californie avec quelques copains lorsque Deacon jr m’a écrit en me disant ce qui est arrivé à Anaëlle. J’ai aussitôt sauté dans le premier vol pour Hawaï.
- Tu n’aurais pas du venir, chéri, tes études vont en pâtir.
- Je pourrai me rattraper, Maman, ne t’inquiètes pas. A présent comment va ma petite sœur ?
Il prit soudain conscience de la présence des Damiano. Surpris il regarda ses parents.
- Que font-ils ici ?
- Bonsoir, Eric, dit Dante.
Eric le toisa d’un regard méprisant.
- Vous êtes venu tuer le reste de la famille ? Ma présence va vous facilitez la tache, ainsi vous n’aurez pas à parcourir le monde pour me trouver.
- Eric, mes parents ne sont pas des meurtriers : bien au contraire ce sont les meilleurs amis de tes parents, ils ont tout fait pour vous protéger toi et les tiens jusqu’à présent.
- Mel, il y’a des trucs que tu ignores et il vaut mieux pour toi ne pas les connaitre.
- Tu te trompes, Eric, je sais tout et je sais des choses que tu ignores.
Ils furent interrompus par l’arrivée du médecin.
- Md et Mr Sharpe, si vous voulez voir votre fille, elle est en chambre 7.
- Comment va-t-elle, Dr ?
- Toujours aucun changement, je suis désolé.
Le médecin s’éloigna.
Deacon et Bridget se rendirent dans la chambre de leur fille. Celle-ci était reliée à des machines.
- Deacon, dit Bridget en plaquant sa tête contre la poitrine de son mari, la voix tremblante.
Celui-ci lui caressa les cheveux.
- Ca ira, mon amour, notre fille s’en sortira : c’est une battante comme ses parents, dit il pour la rassurer alors qu’il n’y croyait lui-même qu’à moitié.
- Deacon ? Bridget ?
Bridget et Deacon se retournèrent vers la porte d’entrée d’où venait la voix.
- Je suis vraiment désolé. Si j’avais su ce qui…
- Fiche le camp, Dante.
- Si j’avais su ce qui allait se produire…
- Fiche le camp !
- J’aurais prévenu…
Dante n’eu pas le temps de finir sa phrase, qu’un crochet du droit le fit s’écrouler au sol.
Lyndsy arriva sur ce.
- Deacon !
Dante se releva, quelques minutes après, sonné.
- Qu’est qui ta pris, aboya Lyndsy.
- Tu voudrais peut être que je m’excuse. Ma fille est entre la vie et la mort et tu aimerais que je m’excuse pour ce qui est peut être au pire un nez cassé ?
- Alors tu n’as rien écouté de ce dont nous avons parlé.
- De quoi que vous êtes des agents secrets travaillant pour le bien du pays ?
- Pas pour le bien du pays : nous ne sommes pas des vrais Policiers. Seulement pour votre bien : pour vous protéger.
- Comment tu as pu faire cela, Lyndsy ? Comment Dante et toi avez pu faire une chose pareille ?! Tu étais ma meilleure amie, presque une sœur. Tu connaissais tout de ma vie, tous mes plus lourds secrets. Et toi, Dante, pour la première fois de sa vie mon mari avait enfin trouvé un ami sur qui comptait. Nos enfants étaient quasiment fiancés. Pourquoi avoir tout foutu tout cela à la poubelle ? Que vous ont t’ils promis ? De l’argent ? Du pouvoir ? C’est forcement l’une de ces raisons sinon pourquoi auriez vous rejoint une organisation criminelle qui sème le désastre et la désolation, et, en ce qui nous concerne, n’a d’autre but que de celui de tuer mon mari tout cela parce que une espèce de folle rêve de venger la mort d’un bourreau d’enfant.
- Rien de tout cela, Bridget. Nous sommes toujours vos amis, rien de tout cela n’a changé.
- Lyndsy, ce n’est pas le moment. C’est encore trop tôt, ils ne sont pas prêts. Rentrons !
- Prêts à quoi, Dante ? A écouté vos fadaises ?
- Ce ne sont pas des fadaises, Deacon, c’est la vérité mais tu refuses de l’entendre. Quand vous serez prêts, vous savez où nous trouver.
Mel? Nous partons.
- Eric, dit-elle…
Eric détourna son regard d’elle et entra dans la chambre de sa sœur avec le reste de sa famille.


Le lendemain, l’inspecteur Wilson vint trouver Dante.
- Puis j’entrer ? Mes hommes ont inspecté les lieux et n’ont trouvé aucune trace de micro.
Dante soupira.
- Vous leur avez tout dit.
- Pour ce que ca à servit ! Ma femme et moi avons non seulement perdu nos meilleurs amis, ma fille a rompu avec son petit ami et pour finir une petite fille de trois à peine lutte pour rester en vie car vous avez été incapable de faire votre travail convenablement.
- Nous faisons ce que nous pouvons avec les moyens que nous avons mais la mafia a toujours une longueur d’avance sur nous.
- Je dirai plutôt, deux longueurs, dit Lyndsy.
- Rendez moi un service voulez vous ? Et cela est dans vos moyens. Allez avouer la vérité à Deacon et à Bridget, vous ils vous croiront, moi pas ! Ensuite oubliez nous !
- La chambre de la petite a été mise sous protection policière. Seules certaines personnes sont autorisées à entrer. Vos noms figurent sur le registre des autorisations.
- Oh ! Trop aimable à vous de nous avoir mentionné. Avez-vous aussi donné l’autorisation à Deacon et Bridget de nous pardonner d’avoir fait semblant de les trahir ? répliqua Dante, sarcastique.
- Pardon ?
- Rien : laissez tomber !
Dante marqua une pause.
- Je démissionne.
- Pardon ?
Vous m’avez bien entendu, je démissionne, je refuse de continuer ce petit jeu une journée de plus. Je ne veux plus faire semblant et peut être ainsi retrouvais je mes amis.
- Vous ne pouvez pas faire cela, aboya l’inspecteur. Il est impératif que vous continuiez. Il en va de l’avenir du pays.
- Pardon ? L’avenir du pays ? Je vous rappelle que je ne suis pas un agent secret : j’ai accepté de m’enrôler dedans uniquement pour aider mes meilleurs amis et pouvoir ainsi les protéger. Au final vous avez pu constater le résultat : une petite fille est dans le coma !
- Nous touchons au but, grâce à vos renseignements nous pourrons bientôt démanteler l’organisation.
- Vous êtes sourd où vous le faite exprès ? Je D E M I S S I ON E. Est ce clair ?
L’inspecteur soupira.
- Très clair.
- J’imagine qu’il en va de même pour vous, Md Damiano ?
- Est-ce vraiment utile que je vous réponde ?
- Vous rendez vous compte de l’embarras dans lequel vous me mettez ? Que vais-je bien pouvoir dire à mes supérieurs.
- C’est vous qui avez eu cette idée de faire rentrer des néophytes dans une organisation criminelle de grande envergure afin, officiellement, je cite « protéger vos amis » vous prétendiez qu’en jouant les agents double, en nous faisons passé pour des agents d’entretien, des choses du genre, ils parleraient ouvertement devant nous et nous devions tout vous répéter. Mais rien n’a fonctionnait comme vous l’escomptiez : non seulement vous n’avez réussi à rien et quand à nous nous avons perdu des amis très chers qui risque de perdre leur petite fille de trois ans.


- As-tu du nouveau sur notre affaire ? dit Nancy.
- Mes hommes sont sur le terrain et font ce qu’ils peuvent. L’endroit est bourré de Policiers.
- Tu es plus fort que ces maudits Policiers quand tu veux.
- Recommence pas, Nancy. J’ai du boulot.
- Parce que ca cela n’en ai pas un pour toi ? Tu pourrais tout avoir si tu le voulais et moi aussi. Vivre à Hawaï, sous les cocotiers. Une fois Deacon éliminé, tu auras son entreprise où tu pourras faire tout le trafic que tu voudras avec une couverture parfaite, moi j’aurai ma maison avec une piscine chauffante et je ne me mêlerai jamais de tes affaires. Gordon pourra t’aider en chimie il s’y connaît. Avec lui tu feras des merveilles et tu auras de l’argent comme tu n’en as encore jamais vu.
- Dis-moi, qu’est qui te pousse à faire cela ? Est ce uniquement pour venger ton Georges ? Où est ce plus profond ? J’aimerais bien savoir si tu ferais cela pour moi si jamais il m’arrivait quelque chose, dit l’homme avec un sourire narquois.
- Je peux faire mieux encore pour toi, dit-elle en déboutonnant son chemisier et se mettant à califourchon sur lui.


A l’hôpital, dans les jours qui suivirent, l’état d’Anaëlle ne s’était toujours pas amélioré. Ses parents restaient prés d’elle jour et nuit et ne s’absentaient uniquement pour rendre visite aux jumelles.
Deacon était dans un mutisme total.
- Deacon, parles moi, chéri. Dis-moi quelque chose.
- Que veux tu que je dise ?
- Ce que tu as sur le cœur.
Deacon soupira et se leva en arpentant la pièce.
- Je la tuerai. Si elle était là devant moi je la tuerais sans hésiter.
- Nancy ?
- Qui d’autre ? C’est elle la responsable de l’état de santé de notre fille. Même la mort est un châtiment encore trop doux pour elle !
Bridget alla vers lui et l’enlaça.
- Ne dis pas cela, mon amour. Tu n’es pas un meurtrier.
Deacon plaqua ses lèvres sur les siennes et l’embrassa.
- Papa, dit une petite voix.
Malgré la faiblesse de la voix Deacon l’entendit. Les yeux de Bridget s’illuminèrent. Main dans la main, Deacon et elle s’avancèrent vers leur fille.
- Anaëlle, ma puce, tu m’entends ?
- Papa, dit-elle faiblement.
- Mon ange, dit-il en souriant, tu es enfin réveillée !
- Mon bébé, dit Bridget, comment te sens tu ? Est-ce tu as mal ?
La petite secoua la tête en signe de négation.
Quelques minutes plus tard l’équipe médicale arriva. Deacon et Bridget sortirent de la chambre.
- Elle va s’en sortir à maintenant ? dit Deacon.
- Oui, mon amour, le plus dur est derrière nous.
Elle l’enlaça son mari avant de l’embrasser.

Dans les jours qui suivirent, l’état d’Anaëlle allait en s’améliorant. Elle pu enfin sortir de l’hôpital.
La maison avait été réparée. En voyant leurs parents arrivaient avec leur petite sœur les enfants s’élancèrent à l’extérieur pour les accueillir.
Quelques heures plus tard lorsque les enfants étaient endormis, Eric, pensif, resta au salon avec ses parents.
- Cela ne va pas, chéri ?
- Non, tout va bien, Maman.
- Qu’est qui ne va pas, Eric ?
- Rien, Papa.
- Tu es déçu pour Harvard. Mon ange, il n’est peut être pas trop tard, tu es un bon élève, de plus tes camarades t’ont envoyé les cours par internet…
- Cela n’a rien à voir avec cela, Maman, l’interrompit t’il. Je n’étais pas prêt pour Harvard.
- Rien ne t’oblige à retourner en ce cas. Tu peux parfaitement intégrer celle d’Hawaï, ou retourner au lycée si tel est ton désir.
- Merci, Papa. J’aimerais terminer mon année de lycée, oui.
- Aucun problème. Je téléphonerai demain au proviseur. Je suis certain qu’il acceptera de te reprendre.
- Merci, Papa.
Bridget le regarda.
- Si tu nous disais plutôt ce qui te tracasse réellement.
Eric prit une profonde inspiration.
- Je pensais à Melanie et à ses parents. Papa, Maman, si nous étions trompés à leur sujet ? S’ils disaient la vérité ? Ils semblaient vraiment inquiets pour Anaëlle. Vous étiez si amis avant : les meilleurs amis du monde.
Bridget regarda Deacon.
- Est-ce tes frères et sœurs pensent la même chose ? demanda Deacon.
- Je crois, oui.
- Cela n’ait t’il pas plutôt en rapport pour ce que tu éprouves pour leur fille ?
- Je l’aime, oui, je l’aime de la même façon dont tu aimes Maman.
- C’est différent. Même si tes grands parents ne portent pas dans leur cœur, ils n’appartiennent pas à une organisation criminelle. Mais nous avons déjà eu cette discussion il me semble.
- Oui, Papa, mais s’ils disaient vrai ? S’ils avaient réellement intégrer l’organisation suite à la demande de l’inspecteur Wilson.
- Eric !...
- Eric, tu veux bien nous laisser seuls, j’aimerais parler à ton père.
- Bien sur, Maman. Je serais dans ma chambre si vous avez besoin de moi.
Une fois Eric hors de la pièce, Bridget enlaça son mari par la taille.
- Chéri, ne crois tu pas que nous pourrions leur accorder le bénéfice du doute. Ne serais que pour le bonheur de notre fils : il aime cette jeune fille de la même manière dont nous nous aimons.
- J’n’en sais rien, chérie. Si nous leur accordions à nouveau notre confiance et que nous ayons tord ?
- Je connais une personne qui pourra nous aider à y voir clair.
- Wilson ?
Bridget hocha de la tête.
Deacon sourit.
- Que ferais-je sans toi ? dit-il en la serrant dans ses bras pour l’embrasser.
- Inutile de te le demander car tu ne le sauras jamais, dit t’elle en souriant avant de l’embrasser.
Deacon rit.
Bridget décrocha le téléphone et appela l’inspecteur.
- Inspecteur Wilson ? Bridget Sharpe à l’appareil. Pourriez-vous venir à notre domicile ?... Oui maintenant !... Ok, nous vous attendons !
Bridget raccrocha.
- Il vient ?
- Oui, il vient !
- Es tu certaine que nous avons raison d’agir de la sorte ?
- Chéri, nous devons savoir, nous devons en avoir le cœur net : pour nous et pour Eric. Notre fils ne pourra avancer dans sa vie tant qu’il se posera des questions. Si nous nous trompions, si Dante et Lyndsy disaient vrai ? Notre fils renoncerait à l’amour de sa vie pour des mauvaises raisons. De plus rien ne nous dit qu’elle était au courant des agissements de ses parents, même si ceux-ci ne sont pas ce qu’ils prétendent être.
Deacon plaqua ses lèvres sur les siennes et l’embrassa.
- Tu es une femme extraordinaire et j’ai la chance de t’avoir pour épouse.
Bridget sourit.
- Je t’aime.
- Je t’aime aussi.
Il la serra dans ses bras.
Quelques minutes plus tard on sonna à la porte. Bridget alla ouvrir.
- Inspecteur, Wilson : entrez !
- De quoi voulez-vous me parler ?
- Comme si vous l’ignoriez !
- Nous voulons savoir, Inspecteur Wilson, quel rôle les Damiano jouent t’ils dans cette affaire ? demanda Deacon.
L’inspecteur garda le silence.
- Quel rôle ?! hurla Deacon.
L’inspecteur prit une profonde inspiration avant de répondre.
- Des agents doubles, dit-il tout bas.
- Pardon ? fit Deacon mine d’avoir rien entendu.
- Des agents doubles, dit-il plus fort. Ils ont infiltré la mafia à ma demande. Je me suis servi d’eux pour obtenir plus de renseignement sur cette organisation : je pensais ainsi mieux vous protéger et cela a fonctionné à pas mal de reprises, j’ai grâce à leurs renseignements pu déjouer quelques attentats mais pour le dernier, personne n’a rien vu venir : tout c’est passé dans le plus grand secret. J’ignore pourquoi.
Bridget hocha de la tête tout en fulminant.
- Vous rendez vous compte de tout le mal que vous avez provoqué ?! Les Damiano, sont/étaient, nos meilleurs amis ! Notre fils de seize ans et leur fille sortaient ensemble depuis notre arrivée et parler même de mariage ! A cause de vous et de vos manigances tout est fichu ! Les dégâts sont irréparables : le mal est fait !
- J’ai agi ainsi dans le seul but de vous protéger !
- Faux ! Vous avez agi ainsi dans le but de vous faire bien voir par votre hiérarchie et pouvoir ainsi monter de grade.
- Où est le mal ?! Tout le monde n’a pas la chance de naitre avec une cuillère en or dans la bouche, Mlle Forrester.
Bridget fulmina.
- C’est Md Sharpe!!! Md Deacon Sharpe! Et le mal, je vais vous le dire où il est : allez expliquer à une jeune fille de 16 ans, pourquoi son petit ami a pensé que ses parents voulaient tuer les siens car ils étaient rentrés dans une organisation criminelle voulant leurs peaux ! Allez-lui expliqué pourquoi il a cru une chose pareille.
Allez aussi expliquer à Dante et Lyndsy pourquoi nous ne les avons pas crus lorsqu’ils nous avouèrent la vérité.
Avec vos mensonges, vos manipulations de toute sorte, non seulement vous avez réduis à néant une belle amitié : briser le cœur de deux adolescents et pour finir…
- Pour finir notre fille de trois ans a failli mourir ! Tout cela parce que vous étiez plus occupé à votre promotion personnelle plutôt que de faire votre travail en protégeant des innocents.
J’irai parler à votre supérieur : à partir d’aujourd’hui, je ne veux plus que vous occupiez de notre affaire.
- Vous ne pouvez pas faire cela, aboya t’il. Il en va de ma carrière.
- Votre carrière ? Votre carrière ?! Ma fille de trois a manqué de mourir à cause de votre fichue carrière, alors comprenez bien que je m’en fiche !
Fichez le camp !
L’inspecteur Wilson s’en alla.
Deacon et Bridget restèrent un moment silencieux. Bridget se blottit dans les bras de Deacon, celui-ci l’embrassa sur sa tête.
- Peut être devrais je appeler Lyndsy.
- Rien ne t’y oblige. Ils nous ont tout de menti, ils n’ont pas été franc avec nous et certains de leurs propos furent vexant, et cela rien ni personne ne les ont forcés à le dire.
- Je le sais, mon amour, mais il y’a notre fils, il est fou amoureux de Melanie et…
- Et tu ferais n’importe quoi pour nos enfants, dit-il en souriant.
Bridget lui sourit puis alla décrocher le téléphone.
- Allo.
Bridget marqua un temps d’arrêt.
- Allo!
- Lyndsy, c’est Bridget.
- Bridget?!
Dante relava la tête en entendant le prénom « Bridget »
- Tu es bien la dernière personne que je m’attendais à avoir au bout du fil.
- J’en suis consciente.
- Que désires-tu ?
- J’aimerais te parler, Lyndsy… Deacon et moi aimerions vous parlez à tous les deux ? Pourriez-vous venir nous voir ?
- Quand ?
- Maintenant, c’est possible ?
- Ok, nous arrivons.
Cinq minutes plus tard Dante et Lyndsy se trouvaient chez Deacon et Bridget.
- Je vous remercie d’être venus, dit Bridget en ouvrant la porte.
- Ton appel nous a beaucoup surpris.
- Je m’en doute.
- Deacon, dit Dante.
- Dante.
- Allons au salon nous serons mieux pour discuter, dit Bridget.
- Wilson sort d’ici, dit Deacon pour rompre l’embarras qui régnait dans la pièce.
- Il y a du nouveau au sujet de l’enquête, comment va Anaëlle ? dit Dante.
- Anaëlle va très bien, c’est une petite fille très courageuse elle s’est battue et a réussi.
- J’en suis ravie pour elle, pour vous.
- Merci, Lyndsy.
- Wilson nous a tout avoué : comment il vous a convaincu de vous enrôler dans cette organisation.
- Nous voulions vous aider, rien d’autre.
- Nous le savons, Lyndsy. Maintenant.
- Alors vous nous croyez ?
- Oui, nous vous croyons.
- Cela signifie t’il que nous sommes à nouveau amis. Comme avant ?
- Oui, dit Bridget en souriant après une pause.
- Vous ne pouvez pas savoir comme vous nous avez manqué.
- Vous nous avez manqué aussi.
- Je vous garanti que plus jamais je me laisserai embarquer dans ce genre de boulot : être agent double n’est pas franchement ma tasse de thé. Je ne suis pas fait pour ce job.
- Ce fut très dur de vous espionner et d’aller transmettre des fausses informations à la mafia, dit Lyndsy.
- Wilson est un imbécile doublait d’un incompétent, dit Bridget.
Tout le monde rit.
- Demain j’irai voir son supérieur afin qu’il lui retire le dossier des mains. Cela fait plus d’un an maintenant qu’il planche sur cette affaire, depuis l’accident de Bridget. Il eut plusieurs fois l’occasion d’arrêter Nancy et Gordon mais à chaque fois il les a laissé filer.
- Ou en est l’entreprise ? demanda Dante.
- Je vais la vendre : c’est le seul moyen d’éviter la faillite.
- Deacon, non !!! C’est trop bête, s’écria Lyndsy.
- Bridget et moi en avons beaucoup discuté. Nous avons tourné et retourné cent fois le problème dans tous les sens, nous avons cherché toutes les solutions possible mais c’est le seul moyen. De plus, je n’ai pour le moment ni le temps ni l’envie de m’occuper de stylisme alors même que ma vie et celle de ma famille est menacée. Je me dois de rester le plus possible autour d’eux et de tout faire pour les protéger.
- Et de quoi vivrez vous ? demanda Dante.
- Nous avons quelques économies à la banque, de plus, je vais chercher un travail, soit comme styliste soit commercial. J’ai de l’expérience en ce domaine : aux Créations Forrester c’était mon travail. Eric et Ridge étaient les stylistes.
- Et toi, Bridget, tu vas également chercher un emploi ?
- Je n’ai pas le choix.
- Pouvons faire quelque chose pour vous aider ?
- Il n’y a malheureusement pas grand-chose que vous puissiez faire, dit Deacon.
- Bien, assez parler de choses sérieuses : il est temps de faire la fête afin de célébrer notre réconciliation. Lyndsy, pourrais tu appeler Mel et lui demander de venir ? Je vais chercher les enfants.
Sur ces mots Bridget disparu de la pièce. Deacon sourit en la voyant ainsi : il aimait tellement cette femme : sa femme !
Bridget expliqua à Eric ainsi qu’au reste des enfants leur réconciliation avec les Damiano, ce qui suscita la joie d’Eric qui descendit en courant les marches des escaliers afin d’aller serrer Melanie dans ses bras.
Deacon serra sa femme dans ses bras et l’embrassa.
- Tu es une femme exceptionnelle et je t’adore.
- Je t’aime moi aussi, dit-elle tout en plaquant ses lèvres sur celle de Deacon.
Au milieu de la soirée, pendant que la fête battait son plein, Deacon se retrouva face à Dante, seul à seul. Bridget et Lyndsy prenait l’air sur la terrasse pendant que les enfants jouaient avec Sam.
- Cette fête est très réussie. Tout le monde semble bien s’amuser : même Sam ! Il n’a pas l’air trop mecontent que nous l’empêchions de dormir.
Deacon rit.
- Oui, Sam adore faire la fête. Dante ? J’aurais quelque chose à te demander.
- Je t’écoute de quoi s’agit-il ?
- S’il devait m’arriver quelque chose, j’aimerais que tu prennes soin de ma famille : ma femme et mes enfants. L’idéal aurait été qu’elle retourne vivre à Los Angeles où sa famille pourrait l’aider mais je connais bien ma femme, jamais elle ne retournera la bas.
- Tu penses vraiment qu’ils pourront encore te faire quelque chose après ce qui est arrivé à ta fille ?
- Nancy n’arrêtera pas tant qu’elle n’aura pas obtenu vengeance. Soit ma mort.
- Tout cela pour ce type qui te battait durant ton enfance ? Elle aimait donc tant que cela ce bourreau d’enfant ?!
- J’ignore si elle aimait vraiment où si tout ceci n’est qu’un prétexte. Elle a enfin trouvé un moyen d’en venir à ses fins avec moi.
- Mais bon sang, Wilson aurait du vous mettre sous protection policière depuis longtemps et pas simplement la chambre de la petite à l’hôpital.
- Wilson est un incapable et de toute manière seule sa carrière le préoccupe.
- Compte sur moi, si jamais il t’arriverait quelque chose, je m’occuperai de ta femme et de tes enfants. Je m’occuperai même de ton chien, dit-il pour détendre l’atmosphère.
Deacon rit avant de lui tendre la main.
- Merci, mon ami.
Dante lui serra avant de lui faire une accolade.
- Ca va bien vous deux ? demanda Lyndsy lorsque elle se rapprocha d’eux avec Bridget.
Les deux hommes prirent leurs femmes respectives dans les bras. Deacon embrassa Bridget sur ses lèvres.
- Tout va bien, dit Dante, mais il se fait tard nous devrions rentrer.

Une fois dans leur chambre, Dante confia à Lyndsy la requête de Deacon.
- Tu as dis ce qui fallait dire, dit t’elle en l’embrassant.

- De quoi parliez vous, Dante et toi pendant que Lyndsy et moi étions sur la terrasse ?
- Je lui ai demandé s’il voulait bien s’occuper de toi et des enfants au cas où il m’arriverait quelque chose.
- Deacon, tu sais que je n’aime pas t’entendre parler comme ca !
- Mon amour, soit réaliste : Nancy veut va mort et tôt ou tard elle finira par l’obtenir.
- Il lui faudra d’abord me passer sur le corps.
Deacon sourit et la serra dans ses bras.
- Tu es tellement belle. Je t’aime.
- Je t’aime moi aussi.
Ils se couchèrent sur le lit et laissèrent la passion les submergé avant de faire l’amour.


Le lendemain, ils étaient tous les deux dans le parking de Sharpe Design, s’apprêtant à rentrer chez eux. Ils prirent place dans leur voiture quand soudain une main gantée surgit par derrière et la posa sur la bouche de Bridget. Celle-ci évanouie aussitôt.
- Bridget !!! hurla Deacon mais une seconde main l’assomma par derrière.


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