The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 chapitre 14

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


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Age : 54
Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon
Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

chapitre 14 Empty
MessageSujet: chapitre 14   chapitre 14 EmptyMar 16 Mar - 0:12

Dans les jours qui suivirent, Bridget allait de mieux en mieux et pu enfin quitter l’hôpital.
Deacon ne tint pas sa parole, à la demande de Bridget il ne dit mot à Eric Forrester concernant la guérison de Bridget. A la fin de la semaine Bridget put sortir de l’hôpital et rentrer chez elle. Les enfants s’étaient amusés à faire une banderole où ils écrivirent : welcome home Mumy
Bridget serra ses enfants dans ses bras.
- Mes chéris vous m’avez manqué.
Elle se dirigea vers Anaëlle et la prit dans ses bras.
- Mon petit ange, comme tu as changé. Tu es tellement jolie.
Deacon arriva alors avec les jumelles.
- Chérie.
Bridget le regarda, un sourire illuminant son joli visage. Elle embrassa Anaëlle et la tendit à Deacon jr. Elle prit ses filles dans les bras. Des larmes de joie coulèrent sur son visage.
- Mes bébés, vous m’avez manqué
Elle se tourna vers Deacon et les autres enfants.
- Vous m’avez tous tellement manqué.
- Bon retour chez nous, mon amour.
Il lui donna un rapide baiser sur ses lèvres.
Quand vint le soir Deacon et Bridget se retrouvèrent dans leur chambre. Bridget sortit de la salle de bain revêtue de son pyjama de soie. Elle sourit à Deacon en s’approchant de lui.
- Mon amour.
- Tu ma manqué, mon amour, plus que tu ne l’imagine.
- Je t’aime, Bridget.
- Je t’aime aussi, Deacon.
Ils unirent leurs lèvres avant de se retrouver dans les bras l’un de l’autre, leurs deux corps ne formant plus qu’un.
Vers l’aube ils se réveillèrent. Deacon lui donna un baiser.
- Est-ce ce fut aussi merveilleux pour toi que cela le fut pour moi ?
- Encore plus que cela, ma chérie.
Il lui donna un baiser rapide puis son regard s’égara.
- Tu semble soucieux. Quelque chose ne va pas ?
- Chérie, il va falloir que je dise à ton père la vérité à ton sujet.
- Est-ce bien nécessaire ?
- Mon amour, ton père se fait des soucis pour toi, il a le droit de sa voir que tu vas bien et que tu es rentrée à la maison. Il t’aime.
- S’il m’aimait vraiment alors il accepterait l’homme que j’aime et qui partage ma vie depuis toutes ces années.
Deacon l’embrassa.
- Très bien, mon amour, on fera comme tu voudras. Je continuerai de mentir à ton père si tel est ton souhait.
- Merci.
Ils s’embrassèrent derechef. Puis Bridget sembla soucieuse.
- Qu’est qui il y’a ?
- Je n’arrête pas de penser à l’auteur de ce coup de téléphone la semaine dernière aux Créations Forrester. Qui pouvait bien être cette femme ?
Deacon soupira.
- J’aimerais bien le savoir moi aussi. Je téléphonerai à l’inspecteur Wilson au lever du jour.
- Je n’arrête pas de penser à quelque chose, Deacon, et si l’auteur s’était trompé de cible ? C’est ta voiture qui fut trafiquée non la mienne, cela signifie donc que c’est toi qui était visé, non moi.
Deacon marqua un temps d’arrêt.
- Je ne sais pas, je n’y ai jamais songé. Tout ce qui me préoccupait c’était ta santé : savoir si tu allais t’en sortir où non fut la seule chose à laquelle je songeai. Je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie à l’exception de l’an dernier lorsque Georges te retint en otage. J’éprouvai la même sensation. La peur de te perdre fut la seule chose à laquelle je pensai. Encore aujourd’hui, même après t’avoir serré dans mes bras, t’avoir fait l’amour… j’ai l’impression de rêver et j’ai peur de me réveiller et m’apercevoir que tout ceci n’est qu’un rêve, que tu es encore dans le coma.
Bridget sentit les larmes lui coulaient sur ses yeux en entendant Deacon parler.
- Oh, Deacon, mon amour.
Elle l’embrassa avec passion.
- Je vais bien, mon amour, je vais très bien. Je vais de mieux en mieux chaque jour et le fait d’être enfin chez nous, avec toi et les enfants: c’est mon amour, le meilleur des remèdes.
Ils s’embrassèrent avant de refaire l’amour.

Le lendemain Deacon et Bridget se reçurent la visite de l’inspecteur Wilson.
- Avez-vous du nouveau concernant la femme du téléphone ?
- L’appel provenait d’un motel en Arizona. La chambre était louée par un couple John et Mandy Williams. Cela vous évoque t’il quelque chose ?
- Absolument rien.
- Et vous, Bridget ?
- Non, rien du tout. Je ne connais aucune Mandy.
- Il se pourrait qu’il s’agisse d’un pseudonyme mais nous n’avons aucun moyen de vérifier. Le motel ne possédant pas de cameras de surveillance.
- Indice troublant qui m’amène à penser de plus en plus que les deux affaires sont liées : celle de Gordon et la tentative d’assassinat dont vous fûtes victimes. D’après le FBI, Gordon aurait été vu en Arizona pour la dernière fois.
- Mais enfin pourquoi Gordon voudrait t’il nous tuer ? Cela n’a pas de sens.
- Pas nous, chéri, toi ! C’est toi qui étais visé dans cette tentative de meurtre. Deacon mon amour, c’est ta voiture qui fut trafiquée non la mienne.
- Deacon, êtes vous certain de n’avoir jamais vu Gordon avant qu’il ne travaille pour vous ?
- Combien de fois devrais-je vous le dire ? NON !
- Réfléchissez bien.
- Je n’ai pas du tout besoin de réfléchir, je, ne, connais, pas, cet, homme !
Deacon appuya bien sur chacun des mots.
- Brooke Forrester affirme que vous avez commit un meurtre mais réussi à vous en sortir.
Bridget fulmina.
- Mon mari n’a tué personne !
- Ce n’est pas l’avis de votre mère.
- Je me moque de ce que cette femme peut penser.
- Chérie, calme-toi. Inspecteur, je peux vous tout vous expliquer. Oui j’ai effectivement tué un homme mais j’étais en état de légitime défense. Un homme : mon beau père menaçait ma femme qui retenait en otage. D’ailleurs je ne fus pas poursuivi. Cette affaire est désormais classé, je ne vois pas pourquoi nous en reparlons encore !
- Votre beau père dites-vous ? Avez-vous déjà été marié avant d’épouser Mlle Forrester ?
- Md Sharpe, le corrigea sèchement Bridget.
Deacon soupira.
- Non je n’ai jamais été marié avant Bridget. Lorsque je dis mon beau père, je veux parler du mari de ma mère. Ce dernier me maltraita quand j’étais enfant. Je serais peut être mort il y’a bien longtemps si je m’étais pas enfui de chez moi. Or l’an dernier lui et ma mère refirent surface, ils enlevèrent notre fils ainé, Eric, de manière très sournoise et tentèrent de tuer ma fille, Elona. D’ailleurs ma mère fut condamnée à la prison à perpétuité et effectue une peine de prison à la prison de Folsom en Californie.
- A la prison de Folsom dites-vous ?
- Oui pourquoi ?
- Auriez-vous un fax ?
- Oui, j’en ai un, pourquoi ?
- Voudriez-vous me communiquer son numéro, s’il vous plait ?
- C’est le 5.5.5 9.8 4.1
L’inspecteur Wilson prit son portable et téléphona.
- Allo, Harry, voudrais me faire parvenir le portrait de l’évadée de Folcon que le FBI nous a fourni. Je te donne le numéro. C’est le 5.5.5 9.8 4.1. J’attends ton fax.
Quelques minutes après le fax arriva.
L’inspecteur prit le portrait en main et le montra à Deacon.
- Reconnaissez-vous cette femme ?
- Bien sur. C’est ma mère.
- Vous où êtes certain ?
- Absolument ! Pourquoi.
- Votre mère s’est échappée de la prison.
- Comment ? Quand ?
- Il y’a un mois.
- Un mois ? Cela correspond à…
Deacon ne finit pas sa phrase.
- A la période de la tentative d’assassinat.
- Mon Dieu.
Deacon marqua une pause. Bridget lui saisit la main.
- Vous devez la retrouver. Cette femme est dangereuse. Très dangereuse.
- Le FBI, fait tout ce qu’il peut pour la retrouver. Cependant cela confirme mes soupçons à propos de l’affaire des formules : le vol des formules et la tentative de meurtre dont vous fûtes victimes sont liées, à présent il n’y a plus de doute possible.
- Pourquoi dites vous cela ? demanda Bridget.
- Pour s’évader, votre belle mère bénéficia de l’aide d’un complice, lui-même évader de prison il y’a quelques mois. Son évasion remonte à l’ouverture de votre maison de couture. Sans le savoir vous avez embauché un fugitif !
- Seigneur, ce n’est pas possible, c’est un cauchemar, dit Bridget.
- Je vais demander à ce qu’on renforce la protection autour de chez vous. Vous comprenez maintenant pourquoi j’aurais préféré que tous vos amis et famille eussent pensé que votre femme fut morte. Ainsi le meurtrier se serait cru libre et nous aurions pu l’attraper depuis bien longtemps.
- Il était hors de question que je mentisse à mes enfants au sujet de leur mère.
- Ouais, bon, ce qui est fait est fait de toute façon.

Apres le départ de l’inspecteur, Bridget se blottit dans les bras de Deacon, qui l’enlaça et l’embrassa.

Quelques heures plus tard, Deacon vint la trouver.
- Ma chérie, j’ai bien réfléchi et prit une décision. Je vais avertir ton père que tu es sortie de l’hôpital, ensuite les enfants et toi irez chez lui.
Bridget fulmina.
- Quoi ? Il n’en est pas question ! Jamais, tu entends, jamais je n’irai habiter là bas !
- Cela ne serait que provisoire, le temps que le FBI arrête Nancy.
- Je n’irai pas, ni un jour, ni même une heure. Est-ce clair ?
- Bridget, je dois vous protéger toi et les enfants. A présent que nous connaissons l’auteur de cette tentative de meurtre et je crois connaître ses motivations, il est hors de question de te laisser risquer ta vie où celle des enfants.
Les bras croisés, Bridget soupira.
- Je suis d’accord pour protéger les enfants en les éloignant, mais moi je reste avec toi.
- Bridget…
- Je peux te poser une question ?
- Bien sur.
- Si la situation avait été différente, si la menace venait de mon coté. Me quitterais-tu ? Irais-tu t’exiler Dieu sait où afin de ne pas être blessé.
- Dois-je vraiment répondre à cette question stupide ?
- Inutile tu viens de le faire.
Elle sourit, passa ses bras autour de la taille de Deacon et l’embrassa.
- Deacon, mon amour, je t’aime. Lorsque nous nous sommes mariés j’ai juré de t’aimer, te chérir pour le meilleur et pour le pire. Nous affrontons Nancy et son ou ses complices ensemble.
Deacon lui sourit, l’attira vers lui et l’embrassa.
- J’avais oublié à quel point tu peux être têtue par moment.
- Seulement lorsque le jeu en vaut la chandelle.
Ils pouffèrent et s’embrassèrent. Ils étaient sur le point de faire l’amour lorsqu’ils furent interrompus par l’arrivée inopinée des enfants.
- Papa, Maman, le grand père de Melanie nous invite dans sa maison en Italie. Je peux y aller ?
- Eric, de quoi parles-tu ? Expliques toi.
Eric reprit son souffle.
- Le grand père de Melanie, le père de Dante va repartir en Italie demain et toute la famille Damiano va y aller et Mr Damiano ma demander si je voulais y aller...
- Ya pas qu’a toi qu’il a demandé, l’interrompit sa sœur, il a demandé à tout le monde. Même pour les petites et Sam. Il aimerait qu’on y aille tous. On peut y’aller ? Dites oui, s’il vous plait, Maman, Papa.
- De plus cela me permettra de perfectionner mon italien.
- Avec Melanie, je suppose, dit Bridget en riant.
Deacon et le reste de la famille rirent aussi.
- Maman, dit Eric en rougissant presque.
- Excuses moi, je n’ai pu m’en empêcher, dit t’elle hilare.
- Alors nous pouvons y aller ? demanda Deacon jr.
- Vous êtes certain qu’Umberto vous a invité ? Cela ne serait pas plutôt Melanie, Shirel et Enzo qui le firent ?
- Papa ! Comment peux-tu soupçonner une telle chose, s’exclama Deacon jr horrifiée.
- Parce que je vous connais bien, bande de petits chenapans. De toute façon, vous n’irez pas.
- Quoi ? Pourquoi ?
- Baisse le ton avec moi, jeune homme, veux-tu.
- Je ne me tairai que si j’en ai envie.
- Deacon jr ! Depuis quand parles tu ainsi à ton père ?
- Mais, Maman.
- Il n’y a pas de mais, je t’interdis à toi de parler à ton père de la sorte. Et ceci est aussi valable pour vous tous, dit t’elle en les toisant. Est-ce clair ?
- Oui, Maman.
- Si tu m’avais laissé finir ma phrase, tu aurais compris, ainsi que tes frères et ta sœur, pourquoi vous n’irez pas en Italie. Vous allez partir quelque temps à Los Angeles chez votre grand père et Stephanie.
- A Los Angeles ? Pouah ! dit Eric. Je croyais que tu n’entendais pas avec lui.
- Deacon ? Je peux te parler un instant en privé ?
- Bien sur.
Ils s’éloignèrent quelque peu des enfants.
- Chéri, si les enfants disent vrai, si Umberto les a réellement invités c’est une occasion inespérée pour les protéger sans pour autant les envoyer chez mon père.
- Tu préférais qu’ils aillent chez des étrangers plutôt que la famille.
- Oh je t’en prie, chéri, on ne peut décemment pas qualifier les Damiano d’étrangers.
- Pas Dante et Lyndsy mais Umberto oui.
- C’est le père de Dante et j’ai toute confiance en eux. Bien plus qu’en ma propre famille. Au moins Umberto ne leur montera pas la tête contre toi.
Deacon sourit et l’embrassa.
- Tu es une femme exceptionnelle.
Bridget sourit en retour et prit le téléphone pour appeler Dante.

- Allo ?
- Dante ? C’est Bridget. Pourrais-tu passer nous voir quelques minutes, Lyndsy ou toi ?
- Est-ce les enfants vous ont parlé de l’offre de mon père ?
- C’est justement de cela dont nous voulons te parler.
- Ok, j’arrive.

- Vous vouliez me parler ?
- Oui, Dante. Entre !
- Les enfants vous ont parlé de l’offre de mon père ?
- Pour le voyage en Italie ? Oui ils nous l’ont dit.
- Vous êtes d’accord ? C’est une opportunité pour eux de découvrir un nouveau pays si jeune.
- C’est donc bien ton père qui leur proposa ? Bridget et moi n’étions pas certains que cela fut le cas.
- Mes parents ont une très grande maison en Italie. Ma mère sera ravie d’avoir des jeunes enfants autour d’elle. Sans compter qu’entre Eric et Melanie cela devient sérieux.
Deacon et Bridget se toisèrent.
- Dante, je me dois d’être honnête envers toi puisque nous sommes amis et collègue. Tu dois savoir à quoi tu t’engages si nous acceptions ton offre.
Nous avons du nouveau concernant l’enquête de la tentative de meurtre dont nous fûmes victimes Bridget et moi. De toute évidence il s’agirait d’un coup monté par ma mère et son complice : Gordon.
- Ta mère ? s’exclama Dante surprit. Je croyais ta mère en prison ?
- Elle s’est évadée. Je ne connais pas tous les détails mais de toute évidence elle aurait commandité cette tentative de meurtre, et pour cela nous avions pensé envoyer les enfants chez leurs grands parents à Los Angeles afin des les protéger.
- Les Forrester ? s’exclama Dante horrifié.
- A ce jour, ce sont leurs seuls grands parents malgré tous leurs défauts, ils n’en demeurent pas les seuls grands parents qu’ils auront jamais. Cependant Bridget n’est pas très chaude à cette idée.
- Je veux bien croire. Je connais peu les Forrester mais les rares fois où je les vis ils ne firent pas une bonne impression. Deacon, comment peut tu envisager d’envoyer tes enfants chez eux ?
- Dante, nous n’avions pas d’autre possibilité. C’était où les Forrester où exposer nos enfants au danger. Ce n’est pas de gaité de cœur que nous avons choisi cette solution.
- Parce que tu étais d’accord, toi aussi ?
- Oui.
- Je croyais que tu ne t’entendais pas avec ta famille ?
- C’est vrai mais pour protéger ma famille je ferais n’importe quoi. Deacon voulait au début que j’y aille aussi mais j’ai refusé. Je tiens à rester avec mon mari.
- Je comprends. Mais maintenant vous avez une autre possibilité.
- Et nous acceptons avec plaisir.
- Lyndsy et toi serez aussi du voyage ?
- Oui. A ce propos, je tenais à vous parler directement. Vous trouverez sur notre bureau notre démission.
- Votre démission ? Pourquoi ? s’exclama Deacon.
- Nous partons en Italie et nous ignorons quand nous serons de retour. De plus depuis le vol des formules chimiques et l’hospitalisation on ne peut pas dire que les affaires marchent fort.
Deacon soupira.
- Je suis navré, il est vrai que je ne me suis pas occupé des affaires ces derniers temps. Je passai tout mon temps avec Bridget ou les enfants et je laissai l’entreprise péricliter.
- Tu avais d’autres priorités.
- Pourquoi voulez vous démissionner ? Vous pourriez prendre un congé sabbatique Lyndsy et toi.
- C’est gentil à toi de nous proposer cela, Bridget, mais, en réalité nous ignorons si nous reviendrons un jour aux Etats-Unis. Nous avons vendu la maison. Nous n’avons encore rien dit aux enfants, pas même à Melanie et c’est pour cela que nous avons pensé que ce serait une bonne idée si vos enfants venaient passer quelque temps en Italie. La séparation serait moins brusque.
- Je comprends et je te remercie d’y avoir pensé.
- Quand partez vous ? demanda Bridget.
- Cet après midi. Lyndsy est entrain de faire nos baguages. Tu pourrais passer la voir si tu le souhaites. Elle sera contente de te voir.
- A quelle heure décolle l’avion ?
- Vers 17 h 00 je pense mais mon père a un jet privé donc nous pouvons décoller quand nous le souhaitons.
- Ok. Je passerai lui dire adieu des que j’aurais terminé de m’occuper des bagages des enfants.
- Très bien. Je vais vous laisser à présent. Lyndsy doit avoir besoin de moi.
- Une dernière chose, Dante.
- Oui ?
- Elona affirme que notre chien, Sam, serait du voyage. Est-ce vrai ?
Dante rit.
- Oui, Deacon, c’est vrai. Mes parents ont une maison remplit de chiens, un de plus ne ferra aucune différence.
- Sam à l’habitude de dormir dans la chambre d’Elona.
- Je sais, Bridget. Ne t’inquiète pas tout ira bien.


Quelques heures plus tard les enfants et leur chien embarquèrent avec les Damiano dans le jet en partance pour l’Italie

Le crépuscule tomba sur Hawaï. Bridget se tenait sur la terrasse le regard perdu dans le vide. Deacon arriva et la serra dans ses bras tout en l’embrassant. Elle sourit.
- La maison est bien vide n’est ce pas ? Ils reviendront bientôt mais cela te donne un aperçu de ce que fut la maison lorsque tu n’étais pas là et ceux même si nos enfants étaient tous là et en parfaite santé ils avaient perdu leur joie de vivre. Ils passaient leur temps entre l’école et l’hôpital.
- Nous avons des enfants exceptionnels. Je suis tellement fière d’être leur mère. Je n’aurais jamais connu ce bonheur sans toi.
Deacon l’embrassa.
- Je te propose quelque chose : lorsque tout ceci sera fini, que le FBI aura remit la main sur ma mère et Gordon, qu’ils pourriront en prison. Nous irons chercher nos enfants en Italie et nous en profiterons pour faire de ce voyage une seconde lune de miel. Nous prendrons l’avion jusqu’à Paris et après quelques jours passé dans la ville lumière nous partirons pour l’Italie à bord de l’Orient express, nous visiterons : Rome, Milan, Florence, Pise et Venise bien sur où l’on s’arrêtera à la place St Marc et nous ferons une visite de la ville à bord d’une gondole et enfin nous partirons jusqu’en Sicile chercher nos enfants. Qu’en dis tu, mon amour ?
- Cela sera merveilleux et j’ai hâte de voir ce jour arriver. Mais pour le moment, même si nos enfants me manquent déjà je n’étais pas entrain de penser à eux.
- Ah non ? Alors à quoi pensais-tu ?
- A Sharpe Design. Deacon, mon amour, nous ne pouvons laisser cette entreprise péricliter. C’est plus qu’une entreprise pour nous, c’est notre rêve : notre rêve de bâtir quelque chose à léguer plus tard à nos enfants. Nous n’avons pas le droit de l’abandonner.
Deacon soupira.
C’est trop tard, chérie. Le vol des formules a porté un coup très dur à nos finances. Ce parfum de fleurs d’Hawaï associé à chaque collection, mon amour, tu as eu une idée formidable, cela fit l’originalité de notre maison de couture. Grace à cela, Sharpe Design ne fut pas simplement qu’une autre maison de couture, une de plus, elle était originale.
- Et elle est toujours ! Deacon, mon amour, nous ne devons pas nous laisser abattre, nous relèverons la pente ensemble. Nous trouverons un autre chimiste et cette fois nous prendrons tous les renseignements nécessaires, nous ne nous ferons plus avoir. Chéri, nous pouvons, nous allons réussir j’en suis sure. Mon amour, dit oui, s’il te plait.
Deacon rit. L’enthousiasme de sa femme déteignait sur lui.
- D’accord, chérie. Des demain nous irons au bureau et nous parlerons à notre personnel. Nous allons remonter le navire.
Il souleva Bridget du sol et la fit tournoyer dans ses bras avant de l’embrasser.
- Je vous aime, Md Sharpe.
- Je t’aime aussi, mon amour.
Ils s’embrassèrent derechef avec plus de passion avant que Deacon ne la porta jusqu'à dans leur chambre où ils firent l’amour avec passion.

Le lendemain matin ils étaient sur le point de partir au bureau lorsqu’Eric Forrester fit irruption chez eux.
- Espèce de sale menteur !
- Eric ! De quel droit faites-vous irruption chez moi de cette façon ?
- Où est ma fille ? fulmina-t-il. Je reviens de l’hôpital où l’on m’informa que ma fille était sortie depuis environ 2 semaines et vous n’avez rien dit ! Vous n’avez pas tenu votre promesse, mais j’aurais du m’en douter venant d’une crapule telle que vous. Votre parole ne vaut rien !
- Je t’interdis de traiter mon mari de la sorte, fulmina Bridget qui arrivait dans le salon.
- Bridget, comment vas-tu, ma petite fille ? Ta mère et moi étions très inquiets à ton sujet. Nous avons aussitôt prit l’avion aussitôt nous avons appris pour l’accident.
- Deacon me la dit. Comme tu peux le constater je vais très bien, je suis en pleine forme alors tu peux reprendre ton jet et retourner à Los Angeles.
- Toi et tes enfants venaient avec moi.
- Nous ne partirons nulle part. Pourquoi es tu venu ? Nous nous étions tout dis avant mon départ pour Hawaï et lors de ta visite pour le lancement d’Angel.
- Ta mère, Stephanie et moi étions très inquiet pour toi.
- Vous auriez pu téléphoner.
- De toute façon le problème n’est pas là. Ce minable individu, dit-t’il en désignant Deacon du doigt…
Bridget fulmina
- Je t’interdis de traiter mon mari de la sorte.
- Il promit de m’appeler aussitôt tu serais réveillée mais il n’en a rien fait.
- C’est moi qui lui ai demandé de se taire. J’espérais que tu te serais lassé d’attendre et tu aurais fini par rentrer à Los Angeles.
- Bridget, tu es ma fille ! Comment voulais tu que je rentre sans savoir si tu allais bien ?
- Je ne suis plus une enfant désormais et je n’ai pas besoin que ni toi ni Maman ne vous inquiétiez pour moi. Particulièrement, Maman, dit-elle avec une intonation méprisante. J’ai enfin la vie dont je rêvais depuis toujours alors maintenant, pour l’amour du Ciel, rentre à Los Angeles. Rentrez tous et ne revenez jamais. Laissez-moi vivre ma vie avec mon mari et mes enfants.
- Le jour où te réveilleras et t’apercevra enfin avec qui tu es mariée, ce jour là il sera trop tard : tu n’auras plus de famille pour t’accueillir.
- Ce jour là, il neigera en enfer.
Eric les toisa avec mépris puis s’en alla.
Deacon la serra dans ses bras.
- Ca va, chérie ?
Elle sourit.
- Oui, mon amour.
Deacon l’embrassa.
- Te sens-tu d’attaque pour aller au bureau ? Nous pouvons remettre cela si tu préfères.
- Hors de question, Mr Sharpe.
Deacon la regarda et rirent tous deux.


Une plus tard ils partirent au bureau et convoquèrent tout leur personnel.
- Merci à tous d’avoir répondu présent à cette convocation, j’en conviens des plus inhabituelles.
Vous êtes tous au courant de l’accident qui faillit couter la vie à ma femme. Il est tout aussi vrai qu’à cause de cela je délaissai l’entreprise. Or comme vous pouvez le constater mon épouse est Dieu merci, sortie d’affaire. Nous avons décidé de remettre à flot notre entreprise et pour cela nous avons besoin de l’aide de vous tous.


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