Chapitre 47

Trois semaines plus tard, Bridget et l’enfant étaient hors de danger. Bridget pouvait donc rentré chez elle.

« J’ai hâte de rentre à la maison si tu savais »
« Et moi donc. Tu ma manqué. Le lit est vide sans toi »
Bridget sourit
« Je vous promet de me rattraper, Mr Sharpe, des mon retour chez nous » dit t’elle en mettant ses mains autour de son cou pour l’embrasser
« Faite attention à ce que vous dites, Md Sharpe, car je suis capable de vous prendre au mot »
« C’est bien ce que j’espère » dit t’elle en souriant

Au manoir des Forrester

« Deacon a téléphoné : Bridget sort aujourd’hui de l’hôpital » dit Stephanie à Taylor
« C’est une bonne nouvelle »
« Oui excellente, la meilleure depuis longtemps »
« Selon vous, Taylor, comment va le Petit Eric ? »
« Mal je le craint. Oh bien sur il est content que le bébé aille bien mais il se pose des questions sur son avenir, ou va-t-il vivre, avec qui, est ce ses parents l’aiment encore. Il a vraiment peur qu’ils ne lui pardonnent jamais. Bridget en particulier : l’autorisera t’elle à l’appeler « maman » comme il le faisait »
« En avez-vous parlé à Bridget ou à Deacon ? »
« Non pas encore. Ils avaient bien assez de choses à penser, je n’ai pas voulu les tracasser avec cela »
« Il le faudra pourtant, Taylor. Bridget sort aujourd’hui de l’hôpital »
« Vous avez raison mais je crois que je vais d’abord en parler à Deacon »

Chez Rick et Ambre

Rick, venait de partir pour les Créations Forrester lorsque on sonna à la porte. Ambre alla ouvrir
« Brooke, quel mauvais vent vous amène ! »
« Faut que je vous parle » dis Brooke en entrant sans y avoir été invité bousculant Ambre sur son passage
« Où en êtes vous avec Deacon ? »
Ambre soupira
« Nul part »
« Comment cela nulle part ! Hurla Brooke, Bridget sort aujourd’hui de l’hôpital et vous n’avez pas avance d’un iota avec Deacon. Ce minable est encore avec ma fille ! »
« Que voulez vous que je fasse ! Deacon est amoureux de Bridget et elle est amoureuse de lui. Ils vont avoir un enfant ensemble. Ne comptez pas sur moi pour détruire une famille »
« Et le petit Eric, vous pensez à l’avenir de cet enfant ? Si vous réussissez à briser le mariage de Bridget et Deacon, vous aurez plus d’argent que ne vous pouvez en rêver et vous aurez le Petit Eric pour vous seule ainsi que Deacon que pouvez vous espérer de mieux pour démarrer dans la vie ? »
« Et que faite vous de l’amour, Brooke ? Vous passez votre vie à courir après lui, alors pourquoi ne comprenez vous pas les sentiments que partagent Bridget et Deacon l’un pour l’autre et que moi j’éprouve pour Rick »
« Allons donc, vous n’avez épousé mon fils que pour son argent et son nom. Vous avez couché avec ex petit ami Raymond au point de ne pas savoir de qui vous étiez enceinte. Vous avez fait passé l’enfant de votre cousine pour le votre. Est cela que vous appelez l’amour, Ambre Moore »
« Forrester, mon nom est Ambre Forrester, et ce que vous racontez appartient à un lointain passé. Rick est au courant et il ma pardonné. A présent notre couple est bâti sur des bases entièrement nouvelles et ne comptez pas sur moi pour tout détruire. J’aime Rick et j’ai beaucoup d’affection pour Deacon. Il adore Bridget et il ne la quittera pour rien au monde. A présent, excusez moi mais je dois sortir »
« Vous le regretterez, Ambre »
« Vos menaces ne font absolument pas peur. De là d’où je vient on apprend très jeune à se battre si l’on veut s’en sortir. Des femmes comme vous j’en ai côtoyé des centaines. Vous voyez ma mère, c’est peut être une prostituée, mais au moins elle, elle n’as jamais tenté de couché avec le mari de sa fille. A présent allez vous en »

Maison de la plage

« Comme c’est bon d’être enfin de retour à la maison »
« A présent, Md Sharpe, vous allez me faire une promesse » dit Deacon en l’attrapant par la taille, son visage face au sien
« Tout ce que vous voudrez, Mr Sharpe, demandez moi ce que vous voulez et vous l’aurez »
« Je veux que tu me promette de ne plus remettre les pieds dans cet hôpital, tout du moins en tant que patiente, jusqu'à la naissance de notre enfant »
Un sourire illumina son visage
« Je te le promet »
« Je t’aime Bridget »
« Je t’aime moi aussi »
Il l’embrassa langoureusement sur ses lèvres.
« Si je m’arrête pas je serais capable d’aller plus loin »
« J’ai envie de toi moi aussi, mon amour, au moins autant que tu as envie de moi et je suis désolée de te faire attendre »
« Hey, Hey, tu n’as pas être désolée. Nous referons l’amour très bientôt et ce sera formidable »
« Je t’aime, Deacon »
« Je t’aime moi aussi, Bridget »
Ils s’embrassèrent amoureusement un long moment et restèrent ainsi blottit dans les bras l’un de l’autre. La tête de Bridget sur l’épaule de Deacon »
« Parle moi d’Eric, tu ma rien dit à son sujet durant ces trois semaines. A chaque fois que j’aborde le sujet tu changes de conversation. Pourquoi ? Comment va-t-il, croit t’il encore que nous l’allons l’envoyer en pension ? Ou alors… Deacon tu ne me caches rien au moins, Eric va bien ? »
Ils furent interrompus par l’arrivée de Taylor
« Hello, vous deux »
« Taylor, je suis contente de te voir »
« Comment va tu ? Je suis désolée n’avoir pu venir ces derniers jours mais j’ai eu beaucoup affaire au cabinet »
« Ce n’est rien »
« Veut tu une tasse de café ? »
« Oui, merci, Bridget »
Bridget se dirigea vers la cuisine. Aussitôt qu’elle fut éloignée, Deacon se retourna vers Taylor
« Ça tombe bien que vous soyez là. Bridget me demandait justement de ses nouvelles. Taylor, je ne sais quoi lui répondre. Comment va mon fils, as t’il enfin raconter ce qui c’est produit le jour de l’accident »
« Deacon, je ne sais comment vous dire cela… »
« Quoi parlez, Taylor, je vous en supplie dites moi ce qui ce passe. Je m’inquiète à son sujet »
« Est-ce Bridget vous a raconté ce qui c’était passé ce jour là »
« Non, elle me ma rien dit. Et Eric vous as t’il dit quelque chose, à vous ou à Stephanie ? »
« Oui, et à ce propos j’aurais quelques questions à vous poser à Bridget et vous. Pour commencer : Comment as t’il réagit face à la grossesse de Bridget ? »
« Très bien au début. Il était très heureux à l’idée d’avoir un frère ou une sœur. Mais tout a basculé le jour où toute la famille a appris l’événement »
« Comment cela ? »
« Et voila, le café est prêt » dit Bridget en revenant
« Que ce passe t’il de quoi étiez vous entrain de parler » dit t’elle en voyant l’air grave de Deacon et Taylor
« Chérie, nous étions entrain de discuter au sujet du Petit Eric. Mon amour il faut que je sache, Eric est t’il lié de près ou de loin à ton accident ? »
Bridget baissa les yeux
« Bridget, il est important que nous le sachions »
« C’était un accident, un stupide accident »
« Chérie, es tu bien sur que tu ne me cache rien »
« Et toi, es tu sur de ne rien me cacher ? Comment va notre fils ? »
« Il va mal, Bridget, c’est justement la raison de ma présence ici. Je voulais m’entretenir avec toi et Deacon à son sujet »
« Je dois le voir, je dois lui parler. Ou est t’il, chez toi ? »
« Non pas en ce moment, je ne le vois qu’en consultation mais je ne suis pas spécialisée dans la thérapie des enfants. De plus je risque de manquer d’objectivité, mais si vous le souhaitez je peux vous donner l’adresse d’un de mes confrères »
« Taylor, ne le prenez pas mal, mais avant de consulter un thérapeute, je pense qu’il a avant tout besoin de ses parents »
« C’est aussi ton avis, Bridget ? »
« Oui, je partage l’opinion de mon mari »
« S’il n’est pas chez vous alors ou est t’il, chez Stephanie ? »
« Non pas pour le moment, Stephanie est en voyage chez sa sœur en Europe. Le Petit Eric est chez Ambre pour le moment. Elle s’est proposée de le garder pendant que je me suis absentée quelques jours pour allée voir mon père »
« Oh non pas la bas ! Deacon s’il te plait » s’exclama Bridget
« Oui, chérie, je sais. Ne t’inquiète pas, nous allons aller le chercher »
« Mais de quoi parlez vous tous les deux, il y’a quelque chose qui ne va pas ? »
« Oui et non, bien sur vous ne pouviez pas le savoir : j’aurais du vous prévenir, vous ou Stephanie, mais j’avoue n’avoir pas pensé. J’étais préoccupé par la santé de Bridget et du bébé »
« Me prévenir de quoi ? »
« Taylor, Ambre veut nous prendre notre fils, ou plutôt devrais je dire, elle veut ME le prendre sous le seul prétexte que je ne suis pas sa mère biologique. Elle tente de dresser mon fils contre moi »
« Comment ? dit Taylor abasourdie par les révélations de Bridget. J’ai du mal à croire qu’Ambre puisse faire une chose pareille »
« Que voulez vous dire ? Que ma femme est une menteuse ! »
« Non, Deacon, bien sur que non. Ne vous énervez pas ainsi. Loin de moi cette idée »
« Pourtant tu vient de dire que tu ne crois pas qu’Ambre veuille me prendre mon bébé. Car c’est exactement ce qu’il est pour moi. Il est autant mon enfant que celui qui grandit en moi. Je l’aime tout autant. Cela peut te paraître égoïste alors que j’ai tout ce dont j’ai toujours rêvé : un mari formidable, un bébé à naître, une maison confortable… alors qu’Ambre à perdu son bébé et risque de ne plus jamais en avoir, mais je l’aime autant que si il avait été de ma chair et de mon sang et je ne veux pas le perdre »
Sur ces mots, elle éclata en sanglot et se jeta dans les bras de Deacon. Ce dernier lui caressait les cheveux.
« Calme toi, mon amour, personne ne te prendra notre enfant. Nous allons partir aujourd’hui même le récupérer »
« Bridget, cela n’as rien d’égoïste : bien au contraire, c’est même très noble de ta part d’aimer autant cet enfant. Je connais bien peu de femme qui en serait capable. Moi-même je ne sais pas si le je le pourrais »
«Le Petit Eric est un enfant merveilleux, et c’est le fils de Deacon : mon mari, l’homme que j’aime. Comment pourrais je ne pas aimer quelque chose qui vient de lui alors que je l’aime tellement. Et le Petit Eric est la meilleure part de lui »
Deacon lui sourit et l’embrassa sur ses lèvres
« Et vous, Deacon, qu’éprouvez pour le Petit Eric ? »
« Je vous demande pardon ? Taylor, vous oubliez que c’est mon fils »
« Qu’éprouviez vous pour sa mère biologique ? »
« Ce que j’éprouvez pour … Becky ? Pourquoi cette question ? »
« Deacon je dois savoir, si je veut être en mesure de vous aider ce que vous éprouvez pour votre enfant alors qu’il n’est pas de la femme que vous aimez à moins que... Deacon, étiez vous amoureux de Becky »
« Bridget est l’unique amour de ma vie. Mais cela ne veut pas dire pour autant que je n’aime pas mon fils. J’adore mon enfant ! »
« En êtes vous certain ? Deacon, si mes souvenirs sont bon, lorsque vous êtes arrivé à Los Angeles, vous avez tenté de vendre votre enfant aux Forrester »
« Ça remonte loin tout cela, Deacon a beaucoup changé depuis cette époque »
« Bridget, laisse Deacon répondre s’il te plait »
« Que voulez vous que je vous dise. Oui je n’aimais pas Becky, pour moi elle n’était qu’une femme parmi tant d’autre. J’étais loin d’imaginer qu’elle allait tomber enceinte. Mais cela ne veut pas dire pour autant que je ne suis pas ravi d’avoir le Petit Eric »
« Deacon, Bridget et vous allez avoir un bébé à présent. Votre bébé : celui que vous allez avoir avec la femme que vous aimez plus que tout. Beaucoup de mes patients change dans ce genre de situation et font une préférence envers l’enfant qu’il partage avec la femme dont ils sont amoureux »
« Mais je ne suis pas un de vos patient, Taylor ! J’aime mon fils autant que j’aime l’enfant que nous attendons Bridget et moi »
« Lorsque vous posez les yeux sur lui, ne voyez vous pas l’image de Becky en lui ? »
« Pour l’amour du Ciel, Taylor, arrêtez de me psychanalyser. Je ne sais pas si il ressemble à Becky ou bien à moi ou encore à nous deux. Tout ce que je sais c’est que c’est MON FILS, MON FILS ! Et pour tout vous dire, lorsque je pense à lui j’y pense comme étant notre enfant à Bridget et à moi. Si pour cela il faudra que je passe des années de thérapie dans votre cabinet et bien je suis prêt à le faire, mais pour le moment je dois aller avec SA mère récupérer notre enfant »
« Calmez vous, Deacon, si je vous ai posé toutes ces questions car c’est que pense votre fils. Il est persuadé que vous ne l’aimez plus que seul compte maintenant votre bébé. Il s’interdit même de t’appeler « maman » Bridget. Il pense que tu n’acceptera plus »
« Mais c’est faux. Il se trompe sur toute la longueur d’onde. Je l’aime autant qu’avant. Autant » dit t’elle en pleurant »
« Ça va aller mon cœur, ça va aller. Notre fils fait une énorme erreur et c’est à nous, ses parents de le lui faire comprendre. Allez vient, met ta veste et on y va »

Pendant ce temps là chez Ambre

« Ça suffit, Brooke, je ne marche plus ! »
« Ne soyez pas stupide, Ambre, c’est une opportunité unique qui ne se représentera pas une seconde fois »
« Ça m’est égale. Il est hors de question que je vous aide à briser le mariage de votre fille : elle aime Deacon et il l’aime et de plus que vous le vouliez ou non ils vont avoir un bébé »
« Ne vous préoccupez pas du bébé ; celui-ci est un Forrester et il sera élevé comme tel »
« Vous croyez que Deacon va vous laisser élever son enfant aussi facilement »
« Il n’aura pas le choix. Et de toute façon il n’aura pas le temps d’y songer tant il sera occupé à mener la grande vie. Imaginez, Ambre, avec l’argent que je compte vous donner, vous pourrez descendre tous les trois dans les plus grands hôtels du monde entier. Le Petit Eric pourra étudiez dans les plus grandes écoles de Suisse… »
« Allez au diable, Brooke ! Je n’ai pas l’intention de briser ni mon mariage ni celui de Deacon »

Créations Forrester, bureau d’Eric

« Il faut que je te parle papa »
« Oui, Ridge qui y’a-t-il »
« Voila, il m’est venu une idée pour développer les Créations Forrester à l’international. Bien sur nous avons nos bureaux à Paris, mais ce n’est pas suffisant. Aujourd’hui un nouveau marché très florissant arrive sur le marché. Je parle bien sur de Honk Kong »
« Ou veut tu en venir, Ridge ? »
« Je me suis dit que nous pourrions ouvrir des bureaux la bas »
« Et comment compte tu diriger cette filiale ? Nous ne connaissons personne de confiance en Asie »
« J’ai déjà réfléchi à cela. Aussitôt mon divorce avec Taylor officiellement prononcé, j’ai l’intention d’épouser Brooke… »
« Quel scoop ! dit Stephanie qui avait assisté à la conversation caché derrière le pot de fleur »
« Maman, depuis quand es tu rentré ? Je te croyais à Paris chez ta sœur »
« Je suis rentre plutôt que prévu et j’ai décidé de venir directement ici. Alors comme cela tu veux ouvrir une filiale en Asie ? »
« Oui la Chambre de Brooke rapporte beaucoup d’argent à l’entreprise. La belle lingerie est un marché porteuse d’avenir »
« Tu veux dire que le sexe est un marché porteur d’avenir »
« Stephanie, recommence pas avec cela. Ridge que disais tu avant que ta mère ne t’interrompre. Qui compte tu mettre à la direction de la filiale asiatique si jamais nous ouvrons la bas »
« Ce que j’étais sur le point de dire, c’est que j’avais l’intention d’épouser Brooke et que nous pourrions nous installer la bas et diriger nous même la filiale. Tient voici une étude de marché démontrant ce que je vient de te dire »
« En effet cela parait intéressant, dis Eric après avoir étudiez l’enquête marketing, que pense tu, Stephanie »
« Tu connais mon opinion sur la chambre de Brooke et je ne changerai pas d’avis la dessus. Mais ce que je voudrai savoir c’est comment compte tu voir tes enfants dans ces conditions ? »
Ridge poussa un soupir
« Thomas et les filles m’en veulent : ils ont dans l’idée que c’est moi qui est tout détruit avec leur mère. Sans parler du fait qu’ils m’en veulent aussi pour avoir essayer, de tuer leur « Oncle Deacon », selon eux Depuis ils ne veulent plus me voir »
« Et n’est ce pas la vérité ? »
« Que tu me crois ou non, je tenais à mon mariage avec Taylor : je l’aimais. J’avais renoncé à Brooke définitivement mais notre tentative pour débarrasser Bridget de ce minable que constitue Deacon Sharpe nous a rapproché mais malheureusement notre plan a échoué »
« Ce qui a échoué c’est TON MARIAGE ! Quand à ta sœur elle est très heureuse avec Deacon ALORS FICHE LUI LA PAIX ! »
« Ta mère a raison, Ridge : ta sœur est très heureuse avec Deacon. Je suis le premier à l’admettre et tu devrais en faire autant »
« Et puis quoi encore, l’admettre comme un membre de notre famille ! »
« Parfaitement. Deacon a toute sa place comme membre de notre famille : il la bien mérité, après tout ce qu’il a enduré il est reste malgré tout auprès de ta sœur et ils vont avoir un bébé »
« L’enfant que nous aurions du avoir Ridge et moi », dis Brooke qui venait d’arriver
« Arrêtez vos mensonges, Brooke, vous n’étiez même pas enceinte mais vous avez fait croire à Ridge que vous l’étiez uniquement pour lui mettre le grappin dessus vu que cela à échouer avec votre gendre ! Lui au moins n’as pas été assez stupide pour tomber dans votre toile d’araignée »
« Ça suffit, Stephanie, comment osez vous me traiter ainsi ! J’ai assez supporté vos mesquineries, votre médisance. Vous n’avez jamais pu me supporter car je suis la fille de Beth Logan ! »
« Ne dites pas n’importe quoi cela n’as rien a voir avec votre mère mais uniquement avec vous. Vous avez épousé mon mari et non contente de cela vous avez jeté votre dévolu sur mes deux fils. Dieu Soit Loué, Thorne a bien vite découvert votre véritable visage et a rapidement fait le nécessaire afin de mettre un terme à cette mascarade qu’était votre prétendu mariage »
« J’ai aimé Eric et j’ai aimé Thorne mais Ridge est mon âme sœur »
« Baliverne »
« Bon à présent ça suffit toutes les deux ! Revenons à notre conversation initiale : A savoir si oui ou non nous ouvrons une filiale en Asie. Je suggère que l’on réunisse le conseil d’administration pour avoir le vote de tous les actionnaires. Sur ce, la discussion est close »

Chez Ambre

On frappa à la porte, Ambre alla ouvrir

« Ambre, il faut que l’on parle tous les trois. Cette situation ne peut plus durer »