Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
Nombre de messages : 2746 Age : 54 Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon Date d'inscription : 25/09/2007
Feuille de couple Your preferred couple: Bridget et Deacon Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course
| Sujet: chapitre 19 Mer 6 Mai - 23:44 | |
| - Rentrer en Californie ? Tu veux dire à Los Angeles ? - Oui - Tu es sérieux ? - Évidement je le suis si je te le propose - Pourquoi veut tu retourner là bas ? Est-ce à cause du climat ? - Du climat ? - Oui, les plages doivent te manquer Deacon se mit à rire - Bridget, chérie, je me moque pas mal du climat californien et de ses plages : ce n’est pas pour cette raison si je te propose de rentrer - Alors dans ce cas pourquoi ? Tu n’as même pas de travail dans cette ville - Bridget si je propose ça c’est parce que je sais à quel point ta famille te manques… - Ma famille ? Deacon, mais c’est toi ma famille ! Toi et notre fils et les autres que nous aurons si tu le veux bien - Bien sur je le veux, mon amour. C’est un de mes rêves les plus chers d’agrandir notre famille Deacon s’avança vers Bridget et la serra dans ses bras avant de l’embrasser - Je t’aime - Moi aussi je t’aime, d’où ma question. Mon amour j’ai conscience de tous les sacrifices que tu as fais pour moi… - Je n’ai fais aucun sacrifice ! Deacon je t’aime. Je t’ai toujours aimé des notre première rencontre. T’en souviens tu ? Deacon se mit à rire - Évidement je me souviens. Comment pourrais je oublier le jour qui a transformé ma vie à tout jamais Bridget lui sourit - Mais on s’écarte du sujet. Mon amour, pour une fois, pour une fois dans ta vie fais quelque chose pour toi et si tu veux rentrer à Los Angeles pour te réconcilier avec tes parents et le reste de ta famille…mon amour on plie bagage et on y’ va Bridget passa ses mains autour du cou de Deacon - Mon amour, les Forrester ne sont plus ma famille. Ils m’ont demandé de faire un choix et je l’ai fais. Je t’aime et ma vie, ma famille c’est toi, notre fils et les autres enfants que nous aurons un jour. Si du moins tu le veux - Si je le veux ? Bien sur je le veux ! Chérie : c’est mon rêve le plus cher d’avoir plein d’enfants avec toi. J’adorerais avoir une famille nombreuse. Deacon la saisit par sa taille et l’embrassa - Tu es une femme extraordinaire et je te dois la vie. Mon amour, je n’oublierai jamais ce que tu as fais pour moi, tu n’as pas hésité a faire face à ta famille en volant à mon secours alors que tu ignorais tout de l’affaire tu n’as jamais douté de mon innocence. Tu as toujours eu confiance en moi et tu t’es battu comme une tigresse pour prouver au monde entier mon innocence. Sans toi, sans ton amour, je ne serai plus de ce monde aujourd’hui. Bridget l’embrassa - Je t’aime, Deacon - Moi aussi, je t’aime Ils s’embrassèrent. Lorsque leurs lèvres se séparèrent Bridget reprit - Cependant, nous ne sommes pas obligés de rester à Philadelphie si tu ne le souhaites pas - Quitter Philadelphie ? Pour aller où ? - N’importe où ça m’est égal - Tu n’aimes pas Philadelphie ? Bridget poussa un profond soupir avant de répondre - Je n’ai rien contre cette ville et je serai heureuse n’importe où tant que nous serons ensemble - Y compris à Philadelphie ? - Bien sur mais je pensais qu’après tout ce qui c’est passé tu n’aimerais plus y vivre - Bridget. Chérie. Tu n’es pas sans savoir que je n’ai jamais vraiment eu un véritable foyer jusqu’au jour où nous sommes connu et marier. Ton amour a tout changé dans ma vie. Chérie, j’ai besoin d’une maison où je puisse me dire : « ici c’est chez moi » Je n’ai jamais connu cela dans mon enfance mais j’aimerais que notre fils et nos autres enfants puissent le dire. Chérie, j’aime beaucoup cette maison : c’est chez nous. Te souviens tu de notre réaction lorsque nous l’avons vu pour la première fois Bridget sourit tout en hochant de la tête d’un air affirmatif - Nous avons eu le coup de foudre - Exactement. C’est pourquoi je ne veux pas m’en aller d’ici. C’est notre maison. C’est l’endroit idéal pour élever des enfants et Philadelphie est une chouette ville non ? - Tu es sur que cela ne te rappellera pas des pénibles souvenirs ? - Non, chérie. Ces mauvais souvenirs appartiennent au passé. Je vais chaque jour de mieux en mieux - Je t’aime chéri - Moi aussi je t’aime Deacon l’attira vers lui et alla s’assoire sur le sofa. Sa main n’avait pas lâché celle de Bridget - Mon amour, j’ai pris une décision à propos d’un projet mûrement réfléchi : je ne voulais pas t’en parler avant d’e être tout a fait certain que c’était bien ce dont j’avais envie et si c’était réalisable. A présent les deux conditions sont réunies - De quoi s’agit t’il ? - Chérie, j’ai décidé de monter ma propre affaire - C’est vrai ? Deacon, je suis tellement fier de toi ! Elle l’embrassa - De quel genre d’affaire s’agirait t’il ? Deacon se mit à rire - Je me demandais si tu finirais par me poser la question Bridget rit - Allez va y dis moi, et surtout n’omet aucun détail je veux tout savoir - En fait il s’agirait d’une maison de couture mais contrairement aux Créations Forrester elle ne serait pas uniquement destinée aux femmes riches mais à toutes les couches de la société - Deacon, mon amour, mais c’est tout simplement merveilleux - Tu le penses réellement ? - Je ne te le dirais pas si ne le pensais pas. Je t’aime mon amour, je t’aime depuis notre première rencontre et cet amour a grandit et continue de grandir un peu plus tous les jours. Je sais à quel point avoir ta propre affaire a toujours été ton plus grand rêve - C’est vrai tu as raison avant notre divorce c’était le cas mais après les choses ont totalement changé et mon plus cher désir était d’avoir une seconde chance avec toi. Bridget, je t’aime tellement, je t’aime bien au delà des mots - Moi aussi, je t’aime Leurs lèvres s’unirent et ils s’embrassèrent un bon moment - J’aimerais tellement qu’on travaille ensemble mais je sais à quel point la médecine est importante pour toi - J’adorerais travailler avec toi - Jamais je ne te demanderai de renoncer à aucun de tes rêves… - Chéri, tu n’as pas entendu un mot de ce que je viens te dire. J’ai dit que j’adorerais travailler avec toi - Quoi ? Tu es sérieuse ? Bridget se mit à rire - Évidemment je le suis. Toi et moi collaborant ensemble j’adorerais cela Deacon la souleva du sol et la fit tournoyer avant de l’embrassais. Bridget éclata de rire - Tu ne croyais tout de même pas que j’allais te laisser seul en compagnie des plus jolies filles du pays qui tourneront autour de toi comme des abeilles autour du miel Ce fut au tour de Deacon d’éclater de rire. - Ma chérie, je suis marié à la plus belle créature de tout l’univers et mon cœur lui appartient à jamais Ils se regardèrent et leurs lèvres s’unirent. Soudain une ombre de tristesse traversa le visage de Bridget. Deacon s’en aperçu et la serra dans ses bras et lui caressa ses cheveux. - Je sais à quoi tu penses - Vraiment ? Du bout des doigts il lui caressa son visage - Tout cela doit te rappeler ta famille. Chérie, je te promets que jamais au grand jamais je ne ferai quoique ce soit qui risquerais de te blesser par conséquent je ne me livrerai jamais à une concurrence avec eux. Jamais ! Bridget lui sourit et l’embrassa - Ce n’est pas à cela que je pensais. De toute manière ils ne font plus partit de ma famille, ce sont des étrangers à présent. Ils ont tout fait pour détruire notre mariage le premier comme le second et de plus ils n’ont jamais cru à ton innocence - Dans ce cas pourquoi cette tristesse sur ton visage ? Qu’est qui t’inquiète ? - Rien. Laisse tomber. Je suis stupide de toute manière - Bridget, tu n’es pas stupide. Tu es même exactement le contraire. Alors dis moi ce qui te préoccupe ? - Nous ! Chéri - Nous ? - J’ai peur qui nous arrive ce qui est arrivé à mon pe…r…à Eric et Stephanie. Les Créations Forrester et Brooke ont eu raison de leur mariage. Je ne veux pas qu’il nous arrive la même chose. Chéri, je t’aime et je ne veux pas te perdre à nouveau - Plus jamais tu ne me perdras. Je t’aime moi aussi et je ne laisserai jamais rien ni personne se mettre entre nous. Je ne suis pas Eric, tu n’es pas Stephanie et aucune Brooke au monde ne pourra s’immiscer entre nous. Quand au travail…mon amour, je préférerais encore vendre des pizzas toute ma vie plutôt que sacrifier notre mariage au profit d’un travail. Toi et Deacon Jr êtes ce qui comptait le plus dans ma vie Ils se regardèrent un moment avant de s’embrasser - Je t’aime, Deacon - Je t’aime moi aussi Main dans la main ils montèrent dans la chambre de leur fils. Deacon Jr gazouillait dans son berceau. Il était âgé à présent de huit mois. Bridget prit place devant le berceau, Deacon se mit derrière elle et l’attrapa par la taille en lui donnant un baiser sur son temple. Bridget sourit - Il est magnifique n’est ce pas ? - Ça va de soi puisque il te ressemble - Tu veux dire qu’il nous ressemble Deacon rit - Oui, il nous ressemble - J’aimerais lui donner un petit frère ou une petite sœur - Quand tu veux ! Bridget sourit - J’aimerais tant avoir une famille nombreuse. Tu nous imagines tout les deux dans trente ou quarante ans entouré de toute notre famille : nos enfants, nos petits enfants et nos arrières petits enfants - J’adorerais. Je nous vois très bien toi sur ton fauteuil a bascule lisant ton journal, tes charentaises au pieds et moi te tricotant des chaussettes pour te réchauffer lors des longs hivers pennsylvaniens - Je connais un meilleur moyen de se réchauffer, dit t’il au creux de son oreille - Chéri, voyant pas devant le bébé, s’écria Bridget d’un air faussement contrarié Ils éclatèrent de rire. Deacon Jr gazouilla puis émit un sourire en direction de ses parents. Deacon prit son fils dans les bras et l’embrassa avant de se retourner vers Bridget - Merci, dit t’il à son encontre - De quoi me remercie tu ? - De tout cela, de cette vie, de tout ce bonheur que tu me donne chaque jour d’avantage. Sans toi, sans ton amour, aujourd’hui je ne serais pas ici à bercer mon enfant. Merci d’être celle que tu es Bridget l’embrassa - Merci à toi aussi d’être celui que tu es car moi non plus je n’aurais jamais eu cette vie si tu n’étais pas entré dans ma vie par un beau matin de mai pour ne plus jamais en sortir. Je t’aime, Deacon - Je t’aime moi aussi, Bridget Deacon remit son fils dans le berceau puis prit la main de Bridget et l’entraîna dans leur chambre et commença à l’embrasser avant de se diriger vers la commode et d’en sortir une enveloppe cadeau qui tendit à sa femme - Qu’est ce c’est ? - Un cadeau Bridget défit le paquet cadeau puis ouvrit des grands yeux d’étonnement - Deacon ! Deacon se mit à rire. Il attrapa par sa taille et l’embrassa - Mon amour, alors tu n’as pas oublié - Je t’en avais fais la promesse alors que j’ignorais encore si j’allais vivre ou bien mourir Des larmes coulèrent sur le visage de Bridget. Soudain elle se jeta au cou de Deacon et l’embrassa - Je t’aime, mon amour - Je t’aime moi aussi - L’Italie, j’avais moi même oublié. Après notre divorce j’avais rangé l’Italie dans un coin de ma tête comme tout le reste. Je ne pouvais imaginer partir dans ce pays sans toi Deacon la serra dans ses bras - Mais Deacon Jr : qui va le garder ? - Zende et sa petite amie sont d’accord pour le garder Les larmes de Bridget reprirent de plus belle. Deacon lui sourit et l’embrassa - Si tu savais comme je t’aime - Je t’aime moi aussi ma chérie Ils s’avancèrent main dans la main vers le lit, heureux du bonheur retrouver.
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