The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
Soyez sympa, lorsque vous lisez un de nos chapitres de nous laisser un petit commentaire.
Enjoy
The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
Soyez sympa, lorsque vous lisez un de nos chapitres de nous laisser un petit commentaire.
Enjoy
The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
AccueilPortailDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 chapitre 28

Aller en bas 
AuteurMessage
Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


Féminin
Nombre de messages : 2746
Age : 54
Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon
Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

chapitre 28 Empty
MessageSujet: chapitre 28   chapitre 28 EmptyLun 16 Nov - 1:09

- J’en étais sur : Deacon n’est qu’un minable escroc. Nous n’aurions jamais du l’accepter dans notre famille. Ah que ne l’ai-je assez déconseillé ce mariage à Bridget. Combien de fois l’ai je conseiller de divorcer. Mais non, elle ne voulu rien écouter et outre le fait d’être resté marié avec ce minable elle a également fait des enfants avec lui. Je dois appeler mon père pour l’avertir.
- Ridge, tu vas un petit vite en conclusion, je crois. Rien ne nous dit que Deacon était au courant.
- Taylor, tu plaisantes ? C’est écrit en toute lettre Nancy Collins est la mère de Deacon.
Sur ces mots, Ridge prit le téléphone et appela Eric.
- Papa, tu veux bien venir dans mon bureau ? J’ai des informations concernant Georges.
- J’arrive immédiatement.
En moins de temps qu’il faut pour le dire, Eric fut dans le bureau de Ridge.
- Qu’y a-t-il, Ridge ? Qu’as-tu découvert ?


A la maison de la plage le téléphone ne sonnait toujours pas. Deacon regarda la pendule.
- Ce n’est pas normal, il aurait déjà du appeler pour me fixer ses conditions. Pourquoi diable n’appelle t’il pas ? Qu’a-t-il bien pu inventer pour piéger Bridget.
Soudain il eu une idée.
- Stephanie, vous êtes bien une des principales actionnaires de l’hôpital Universitaire ?
- Oui. Pourquoi cette question ?
- Il me vint une idée. L’hôpital enregistre bien tous les appels n’est ce pas ?
- Il me semble, oui, pourquoi ?
- Bridget est partie en courant de l’hôpital après avoir reçu un appel. Je suis certain que Georges lui a tendu un piège. Si je peux entendre ce qui lui a dit cela me permettrais de comprendre comment il s’y prit pour la faire tomber dans un guet- apens.
- Et à quoi cela vous avancera de le savoir ?
- Peut être aurais je le moindre indice me permettant de le localiser et ainsi je retrouverai Bridget.
- Deacon, tout ceci est du ressort de la police. Non le votre.
- C’est ma femme, Stephanie. Vous ne pouvez pas savoir combien je l’aime. C’est à moi de la retrouver et à moi seul. Je le dois à ma femme ainsi qu’à mes enfants. Je vais devenir fou à continuer d’attendre ainsi que le téléphone sonne ; a mon avis il n’appellera pas. Il veut ma peau et pour cela il s’en prend à l’être qui m’est le plus cher. S’il vous plait, Stephanie, aidez moi. Vous seul avez le pouvoir de m’aider en leur demandant l’accès aux bandes téléphoniques. Si vous ne le faites pas pour moi, faites au moins pour Bridget et les enfants : qu’ils puissent retrouver leur mère.
- Bien sur, Deacon, je vous aiderai. J’appelle tout de suite le directeur de l’hôpital.

Profitant d’une minute d’inattention de son geôlier, Bridget se saisit de la bouteille de bière posait sur un meuble, l’assomma et couru vers la sortie et se précipita dehors. Elle eu le temps d’atteindre une cabine téléphonique, fouilla dans les poches de son pantalon, en sortit quelques pièces de monnaie et composa le numéro de chez elle.
« Décroche, s’il te plait, décroche »
Des qu’il entendit le téléphone Deacon décrocha.
- Allo !
- Mon amour c’est moi, dit-elle la voix prise par l’émotion.
- Bridget ! Mon amour ! Ou es tu ?
- Georges a Kidnappé Eric.
- Eric? Non, Chérie, Eric va bien… Allo ? Chérie ?
Georges revenu à lui l’assomma alors qu’elle se débattait.
- Bridget ! Mon amour que ce passe t’il ?
Georges tendit Bridget à Nancy et s’empara du téléphone.
- Un autre coup comme celui-ci et tu ne reverras plus ta femme vivante.
- Espèce de salopard ! Si jamais tu touches à une seule mèche de ses cheveux c’est moi qui te tuerais. Je te tuerai, Georges, je te tuerai !
Georges raccrocha.
- Deacon que ce passe t’il ? C’était Bridget ? qu’a-t-elle dit ?
- Cette sale ordure lui a fait croire avoir enlevé Eric !
- Bridget vous as t’elle dit où elle se trouvait ?
- Elle n’en a pas eu le temps. Cette ordure l’en a empêché.
- Nous voila donc repartit à la case départ. Deacon vous devait prévenir la police.
- Non, Stephanie, je refuse de faire courir ce risque à Bridget. Si je prévenais la police Georges la tuerait en moins de temps qu’il faut pour le dire. Non, c’est à moi de régler cela et à moi seul !
- Que comptais vous faire ? Vous n’avez aucune piste, rien du tout. Vous ne savez même pas ce qu’il veut.
- C’est moi qu’il veut. Il n’a qu’une seule idée en tête : me faire le plus de mal possible.
- Peut être mais vous ignorait où elle se trouve.
- Plus maintenant : j’ai une piste.
- Ah oui et laquelle je vous prie ? Il y’a encore dix minutes vous ne saviez rien et à présent vous avez une piste ? dit t’elle sur un ton sarcastique.
- Le coup de téléphone de Bridget. Le numéro est apparu. Si je parviens à le localiser je saurais où se trouve ma femme.
- Et que ferez alors ? Tel un chevalier vous irez au secours de votre bien aimée ?
- C’est exactement cela, Stephanie
- Deacon, soyez réaliste. Nous ne sommes pas dans un film de conte de fée. Nous sommes dans la réalité, il n’y a ni cheval, ni armure…
- Bridget est ma femme, Stephanie ; ma femme ! Et je l’aime plus que tout au monde ! Je dois la sauver. Tout ceci ne serait jamais arrivé si elle ne m’avait jamais rencontré. Si je n’avais pas renversé cette foutu tasse de café sur sa robe ce jour là.
Stephanie fut surprise par la réaction du jeune homme. Pour la première fois depuis la rencontre de Deacon et Bridget, dix ans plus tôt, elle sembla prendre conscience des sentiments de Deacon à l’égard de Bridget.
- Vous semblez beaucoup tenir à elle.
- Tenir ? Non Stephanie, je ne tiens pas à Bridget. Mes sentiments pour elle vont bien au delà de cela. Je l’aime ! Stephanie, je l’aime comme un fou et la simple idée que je puisse la perdre m’est insupportable.
Ils furent interrompus par l’arrivée d’Elona.
- Papa ? Je sais que tu ma défendu de sortir de ma chambre mais j’ai entendu le téléphone. Est-ce c’était Zach ? Il ta dit où est Maman ?
- Oh ma puce, dit t’il en prenant sa fille dans les bras et en lui déposant un baiser sur sa joue, non ce n’était pas Zach, mentit t’il afin de protéger sa fille, mais une erreur de numéro.
- Oh. Dit t’elle déçue.
- Mais ne t’inquiète pas mon ange, je vais retrouver Maman et la ramener chez nous.
- C’est vrai ? Tu vas affronter le dragon, le vaincre et Maman rentrera chez nous, s’écria t’elle toute joyeuse.
- Bien sur ma puce, dit-t’il en l’embrassant derechef.
L’innocence de son jeune âge ne lui permettait de réaliser totalement le danger qui menaçait ses parents.
- Tu vas rester bien sagement ici avec Stephanie. Tu dois me promettre d’être sage et de faire tout ce que Grand-mère Stephanie te dira.
- Bien sur, Papa. Je peux le dire aux garçons que tu vas aller chercher Maman ?
- Si tu veux, chérie.
Il la reposa au sol et telle une fée elle disparu aussitôt afin d’annoncer la nouvelle à ses frères.
« Papa va aller chercher Maman » claironna t’elle dans toute la maison.
Deacon sourit en l’entendant puis il nota le numéro de téléphone d’où provenait l’appel et le localisa depuis son GPS.


Aux Créations Forrester, Ridge raconta à Eric sa découverte et lui exposa ses conclusions. Son mépris envers son gendre fit qu’Eric se rangea immédiatement à l’opinion de Ridge.
- J’ai bien fais de renvoyer cette sale petite ordure de ma société. A présent il ne me reste plus qu’à le bannir de notre famille. Quand je pense que j’ai même failli croire, un temps en ses sentiments pour Bridget et leurs enfants. Je vais avertir Jonathan afin qu’il établisse les papiers du divorce et l’obliger à renoncer à ses droits parentaux, y compris envers Eric !
- Quand je pense qu’il a profité du moment où Brooke était le plus vulnérable pour mettre son plan à exécution.
- Brooke vulnérable ? Pouffa Taylor
- Je t’en prie, Taylor, ce n’est pas le moment.
- Excuse-moi, Ridge, mais je n’arriverai jamais à la percevoir de la même façon que toi. Pour moi Brooke est tout sauf vulnérable.
Ridge voulu répliquer mais il fut interrompu par l’entrée de Rick et Ambre.
- Papa ! Meghann ma dit que je trouverai ici, je voulais te montrer les nouveaux croquis d’Ambre et avoir ton avis.
- Pas maintenant, Rick.
- Que ce passe t’il ? demanda t’il en voyant la tête de son père et Ridge.
- Rick, aurais-tu déjà rencontré le nouveau mari de ta mère ?
- Le brasseur d’affaire ? Désolé j’ai oublié son nom. Non, je ne l’ai jamais vu. Pourquoi ?
- Et ta sœur ? La t’elle rencontré ?
- Je ne pense pas mais pourquoi ces questions ?
- Je me faisais des soucis pour ta mère, dixit Ridge, j’ai donc décidé il y a plusieurs mois de mener une enquête au sujet de Charlie Brown et je découvris que non seulement cet homme n’a jamais existé, il a prit une fausse identité, en réalité il s’appelle Georges : Georges Colins.
En révélant ce nom Ridge fixa Ambre droit dans les yeux afin de voir son attitude mais celle-ci n’exprima rien de particulier alors il poursuivit. « Je découvrit aussi qu’il était marié »
- Marié ! s’écria Rick.
- Oui, Rick, marié.
- C’est un homme plusieurs fois condamné pour divers malfrats et voie de faits
- Bon sang est ce Maman est au courant ?
- Pas encore mais je ne vais pas tarder à la mettre au courant. La femme de Georges s’appelle Nancy. Ce nom ne vous dit rien, Ambre ?
- Non pourquoi cela devrait ?
- Deacon et vous êtes bien amis ?
- Oui. Pourquoi ? Qu’est ce Deacon à avoir dans tout cela ?
- Il a tout à y voir.
- Comment cela ?
- Parce que c’est lui qui a envoyé Georges à los Angeles afin de se venger de notre famille.
- Quoi ? S’exclama-t-elle ahurie. Ce que vous dites est absurde voyant. Je connais peu le passé de Deacon vu qu’il n’en parle jamais mais tout ce que je sais c’est que cet homme le battait, il n’a donc pu l’envoyer à Los Angeles. Tout ceci est ridicule.
- Les faits sont là pourtant. Georges vient à Los Angeles avec une fausse identité, séduit Brooke, l’épouse alors qu’il est déjà marié à la mère de Deacon.
- Cela ne prouve pas que Deacon fût au courant.
- Je suis d’accord avec Ambre ; tout ceci ne prouve absolument rien.
- Bon sang, Rick, que ta femme n’y voit rien cela s’explique ! Elle couvre son copain puisque ils sont de la même espèce, mais toi tu es un Forrester tu devrais y voir plus clair ! Ta mère et ta sœur sont les premières victimes de ce voyou !
- La dernière fois que je vis ma sœur elle me sembla parfaitement heureuse avec son mari ! Quand à ma mère, si elle est tombée dans un tel guet apens en se laissant séduire par le premier venu la responsabilité t’en incombe Ridge à toi et à toi seul ! Inutile de rejeter ta faute sur un autre. Tu la rejetas pour Taylor.
- Rick, je te rappelle que Ridge et moi avons trois enfants et nous nous aimons.
Rick regarda tour à tour Taylor puis Ridge.
- Dis moi, Taylor, penses tu toi aussi que Deacon est derrière tout cela ?
Taylor ne dit mot. Elle se souvint du coup de fil de Deacon hier à l’hôpital, la manière dont il ouvrit la porte, répondit au téléphone. Il semblait réellement inquiet. Cependant il s’entêta à ne pas vouloir prévenir la police de l’enlèvement, enlèvement dont la famille Forrester n’était toujours pas au courant. Etait t’il possible que cela fut une sordide mise en scène ?
Elle fut tirée de ses pensées par Ambre
- Taylor ? Vous allez bien ?
- Heu ? Oui. Excusez-moi, je réfléchissais à quelque chose.
- Tu n’as pas répondu à ma question, dit Rick. Penses tu toi aussi que Deacon est derrière tout cela ?
- J’en sais rien, Rick.
Rick resta pantois devant une telle réponse.
- J’avoue que je ne m’attendais pas une telle réponse venant de ta part.
- Je suis désolée, Rick, mais tu ma demandais ce que je pense, voici ma réponse.
- Bon et bien moi je vais de ce pas tiré cette affaire au clair en allant voir Deacon, dit Ambre.
- Je viens aussi, dit Rick.
- Quand à moi je m’en vais voir Brooke.
- Je t’accompagne, dit Taylor.


A la maison de la plage, la fillette annonça la nouvelle à ses frères avant de se tourner vers le parc de sa sœur.
- Tu as entendu, Anaëlle, Papa va aller chercher Maman. Papa est un héros !
- C’est Papa qui te la dit ? demanda Eric.
- Bien sur !
Eric sortit de la chambre en courant et alla droit au salon en se jetant dans les bras de son père.
- Papa ! Elona dit que tu vas aller chercher Maman. C’est vrai ?
- Oui, Eric.
- Alors je veux venir avec toi. Ce qui est arrivé à Maman est de ma faute. C’est moi qui ai laissé Zach entré dans notre famille. A cause de lui j’ai été méchant, très méchant avec Maman, Elona faillit mourir et maintenant c’est au tour de Maman et s’il t’arriverait quelque chose à toi aussi, je n’aurais plus personne et tout cela serait à cause de moi.
Stephanie regarda Eric émue. Deacon se mit à la hauteur de son fils, posa ses mains sur ses épaules et le regarda dans les yeux.
- Eric, non ne dit pas des choses pareilles. Chéri je ne veux pas t’entendre dire des choses pareilles : rien n’est ta faute ; rien du tout ! Je vais aller chercher Maman pour la ramener à la maison, Georges ira en prison et notre vie redeviendra comme avant.
- Papa, je ne suis pas Elona pour croire aux contes de fée. Je sais bien qu’il n’y a pas de dragon, pas d’épée magique ou de cheval qui vole : il n’y a rien de tout cela !
- Je sais mon ange que tu n’es pas ta sœur et que tu as passé l’âge de croire en tout ceci, même si dans ce genre de circonstances j’aurais aimé que tu puisses y croire encore. Il poussa un soupir. – Eric, chéri, écoute moi : si jamais le pire devait arriver et que ni ta mère ni moi ne revenions…Eric, chéri, il te restera toujours une famille avec la famille de ta mère. Je suis sur que Stephanie et Eric prendront soin de toi ainsi que de tous tes frères et sœurs. Tu peux le lui demander puisque elle est là.
Deacon leva des yeux interrogateurs vers Stephanie.
- Stephanie ?
- Bien sur, Deacon : ne vous faites aucun soucis. Eric fait partie intégrante de notre famille.
- Et moi ? demanda Julian que personne n’avait vu arriver.
- Toi aussi bien sur. Eric et toi vous êtes des Forrester.
- Merci, murmura Deacon du bout des lèvres.
- Si vous alliez jouer maintenant. Je dois parler à votre père avant qu’il ne s’en aille.
Les garçons obéir et quittèrent le salon.
- Stephanie, si le pire devait arriver et que Georges nous tue Bridget et moi, vous trouverez une copie de notre testament ainsi que l’adresse de notre avocat dans le premier tiroir de la commode de notre chambre à coucher. Ils sont dans un sous main.
Stephanie soupira.
- Entendu, Deacon. De toute manière nous n’aurions jamais laissé vos enfants livrés à eux même.
- Je n’avais aucun doute vous concernant et concernant Deacon jr, Elona et Anaëlle. En revanche Eric et Julian ne sont pas des Forrester.
- Deacon ! Eric et Julian sont autant mes petits enfants que Thomas, Phoebe ou Stephy, même si je ne suis pas biologiquement la mère de Bridget.
- Vous fûtes plus une mère pour elle que Brooke ne le sera jamais.
- Etes-vous sur de vouloir faire cela ?
- Oui.
- Deacon c’est de la folie.
- Je sais, mais l’amour est aussi une forme de folie et j’aime Bridget. Je l’aime plus que ma vie et il n’y a rien dont je ne sois capable pour elle.
- Il n’y a rien que je puisse dire ou faire pour vous convaincre de changer d’avis et d’avertir la police.
- J’avertirai la police, bien sur, mais une fois sur les lieux. Une fois Bridget sauvée et dans mes bras.
- Je vous souhaite bonne chance. N’hésitez pas à m’appeler si vous avez besoin de quoique ce soit. Et quand tout sera fini, lorsque Georges sera arrêté, appelez-moi également.
- Je vous le promets. J’aurais tant aimé que ma mère vous ressembla, Stephanie.
Stephanie sourit. Un sourire mêlé de tristesse
- Soyez prudent.
Deacon sourit avant de partir.

Quelques minutes après le départ de Deacon, Rick et Ambre débarquèrent et se trouvèrent face à Stephanie qui leur ouvrit la porte.
- Stephanie ? Que fais-tu ici ?
- Je garde les enfants.
- J’en conclu que Deacon et Bridget ne sont pas là.
- En effet ils ne sont pas là.
Stephanie s’efforça de parler sur un ton aussi serein que possible malgré l’angoisse qui la tenaillait.
- A quelle heure vont-ils rentrer ?
- J’en sais rien, Rick.
- Il est indispensable que je parle à Deacon. Je vais l’attendre ici.
- Rick, j’ignore à quelle heure ils vont rentrer, il se pourrait que tu attendes longtemps.
- J’ai tout mon temps.
- Si vous le souhaitez, Stephanie, Rick et moi pouvons vous remplacer auprès des enfants. Vous pouvez rentrer chez vous.
- NON ! s’écria Eric, et s’élança dans les bras de Stephanie en passant ses petits bras autour de sa taille. Stephanie l’enlaça et se mit à sa hauteur pour lui parler.
- Calme toi, Eric, tu n’as rien craindre, Ambre ne te fera aucun mal, ni à toi ni à tes frères et sœurs.
- Je ne veux pas que tu t’en ailles.
- Je vais rester, ne t’inquiètes pas.
Ambre et Rick furent tous deux surpris par la réaction de l’enfant. Ils échangèrent un regard d’incompréhension.
- Que ce passe t’il ici, Stephanie ? Pourquoi Eric a si peur ?
Stephanie voulut répondre mais les autres enfants entrèrent dans la pièce. Etant donné le long séjour d’Ambre et Rick à l’étranger, les enfants de Bridget et Deacon ne les connaissaient pas très bien.
- Grand Mère, est-ce Papa a appelé ?
- Pas encore, Elona.
- Il va réussir, n’est ce pas ? Lui et Maman vont revenir, dit Deacon Jr.
Cette dernière phrase était une affirmation.
- Bien sur, il va réussir ! s’écria Elona. Papa est fort comme un roc, c’est Maman qui la dit.
- Tu n’en sais rien ! Papa n’est pas le héros des livres que Maman te lis tous les soirs et il peut être blessé ou même tué.
- C’est faux ! Tu es un menteur ! Tu recommence à mentir comme avant quand tu ne parlais plus à Maman et que Zach était ton meilleur ami.
- Je ne mens pas, Elona, et tout comme toi j’aimerais que nos parents reviennent mais tu sais comme moi à quel point Zach peut être dangereux. N’oublie pas qu’il faillit te tuer.
- Oui mais moi je ne suis qu’une enfant. Papa lui est un adulte.
- Elona, ce n’est pas parce que notre père est adulte qu’il ne risque rien. Maman aussi est adulte et pourtant elle est prisonnière chez Zach. Répondit Julian.
- Stephanie qu’y a-t-il ici ? Ou sont Deacon et Bridget ? De toute évidence ils ne sont pas sortit au cinéma ou diner au Café Russe.
Stephanie soupira et narra l’histoire.
- Bridget a été enlevé par Georges, le beau père de Deacon. Ce n’est pas la première fois qu’il s’en prend à leur famille : il travailla comme agent d’entretien à l’école où allaient les enfants sous une fausse identité. Il découvrit je ne sais trop comment qu’Eric n’était pas le fils biologique de Bridget et le manipula. Ensuite il s’en prit à Elona et manqua de la tuer. Ton père les plaça sous protection rapprochée durant des mois. Deacon et Bridget changèrent les enfants d’école et plus personne alors n’entendit parler de « Zach » c’est le nom qu’il s’était donné. Or il y’a il y a de cela quelques semaines, il ressurgit avec cette fois ci avec sa véritable identité et fit chanter Deacon. Deacon et Bridget ayant peur qu’il s’en prenne une nouvelle fois aux enfants à cause des actions Forrester décidèrent de s’en débarrasser. C’est pour cela que Deacon supplia ton père de les reprendre et non comme il le prétendit afin que les enfants ne soient pas pourris par l’argent puisque leur mère devait les gérer jusqu'à leur majorité. Hier, Bridget reçu un coup de téléphone à l’hôpital, abandonnant aussitôt ce qu’elle faisait elle se précipita dehors. Hier au soir, Georges téléphona à Deacon l’informant de l’enlèvement de Bridget. Aujourd’hui, je ne sais comment elle fit mais Bridget passa un coup de fil à Deacon. De toute évidence Georges lui aurait fait croire avoir enlevé Eric. C’est ainsi que Bridget tomba dans son piège. Ils n’eurent pas trop le temps de parler : la conversation fut interrompue. Cependant grâce au numéro de la cabine, Deacon put localiser Bridget.
- Ou est ce ?
Stephanie éloigna les enfants avant de répondre prévoyant la réaction de Rick et Ambre
- C’est à Watts.
- Watts ! s’écria Ambre.
- Seigneur ! Stephanie, c’est un coupe gorges !
- Je sais, Rick, c’est pourquoi je voulu que Deacon prévienne la police mais il a refusé.
- Quoi pourquoi ?
- Georges menaça de s’en prendre à Bridget si jamais il prévenait la police.
- Est-ce la seule raison pour laquelle il refuse d’après toi ?
- Que veux-tu dire ?
- Ridge a une théorie.
- Ridge ? Est t’il au courant du kidnapping ?
- Non, mais j’ai des informations que tu ne connais pas. Peut être Deacon n’est pas aussi clean qu’il n’y parait.


Deacon arriva à Watts. Il chercha un endroit où se garait. La rue grouillait prostituées, dealers et autres. Des images de son passé s’invitèrent à lui. Un passé qu’il cru à jamais derrière lui. Il se revit au milieu de toutes ces personnes lorsqu’il réussit à s’enfuir de chez ses bourreaux. Or voila que ces mêmes bourreaux refirent surface et le menaçait non seulement lui mais aussi sa famille.
Une voix derrière lui l’interpella.
- Eh beau gosse ! Ca te dirait un petit massage ?
Il se retourna, celle qui l’interpella n’était nulle autre qu’une prostituée dans l’attente d’un client. Il ignora et poursuivit son chemin à la recherche de la cabine téléphonique d’où Bridget lui passa un coup de téléphone. Il espérait… il ne savait pas au juste ce qu’il espérait y trouver. Un indice peut être le reliant à l’être aimé et qui le conduirait jusqu'à elle.


Aux Créations Forrester, Ridge trouva Brooke allongeait sur son lit, rêveuse. Elle le reçut avec un immense sourire.
- Tu dormais ?
- Non.
- Ca tombe bien car je dois te parler de quelque chose d’important.
- Si c’est au sujet de tes croquis pour la nouvelle collection je n’ai pas encore eu le temps d’y jeter un œil, mais je te fais confiance, Ridge, tu as toujours eu un gout exquis en ce qui concerne les femmes et leur habillement.
- Ce n’est pas de cela dont je veux t’entretenir.
- Ah ! Si tu viens pour m’annoncer qu’entre Taylor et toi tout est finit et que finalement c’est moi que tu désire, je te préviens ce n’en vaut pas la peine car j’ai enfin trouvé mon âme sœur avec Charlie. Il m’offre tout ce que j’ai si longtemps désiré chez un homme. Avec lui je me sens femme jusqu’au bout des ongles.
- Brooke, je ne sais pas comment te dire cela, il n’y a pas de bonne façon de le faire…
- Me dire quoi, Ridge ?
- Charlie n’est pas celui que tu crois.
- Explique toi que veux-tu dire ?
- J’ai mené ma petite enquête sur lui…
- Quoi ? Ridge de quel droit ? s’écria t’elle furieuse.
- Je m’inquiétais pour toi.
- Tu ? Tu ? T’inquiétais pour moi ? Bafouilla-t-elle.
- Oui, Brooke.
- Je vais très bien. Je te l’ai dis j’ai enfin trouvé mon âme sœur.
- Tu te trompes, Logan.
Les yeux de Brooke lancèrent des étincelles.
- De quel droit oses-tu m’appeler encre comme ca ? Ridge tu as fais ton choix en restant avec Taylor alors pourquoi me refuse tu le bonheur auquel j’ai droit ?
- Logan ! C’est homme te ment depuis le début. Il n’est pas celui que tu crois. Premièrement il ne s’appelle pas Charlie mais Georges. Ce n’est pas un brasseur d’affaire sauf si par affaire il entend trafic en tout genre. Il fut plusieurs fois condamné pour vol et recel de malfaiteur. Pour finir il est marié à une certaine Nancy…
- Nancy ? Non, non c’est une amie d’enfance qui est pasteur. C’est elle qui nous a marié Charlie et moi.
- Quoi ? s’exclama Ridge, cette famille est encore plus pourrie que je me l’étais imaginé. C’est elle qui vous a mariés ? Par conséquent elle est au courant que son mari est bigame !
- N’emploie pas ce mot, Ridge, je t’en prie.
- Je suis désolé, Logan mais c’est la vérité. J’ai des preuves. Ah ! J’avais raison de ne pas lui faire confiance. N’ais je pas assez prévenu Bridget ! Mais non, elle s’est entêtée à rester marié avec lui et avoir des enfants avec ce voyou.
- Bridget ? Qu’est que Bridget à avoir avec Charlie ? demanda Brooke qui ne comprenait plus rien.
- Charlie, enfin Georges est le beau père de Deacon.
- NON ! C’est impossible, tu dois te tromper. Charlie ne connaît pas Deacon, c’est impossible et il n’est pas marié non plus : ce n’est pas un truand : il m’aime, Ridge, entends tu ? Il m’aime !
Brooke éclata en sanglot dans les bras de Ridge qui la consola sous le regard blasé de Taylor qui les espionnait caché à travers l’embouchure de la porte.


A la maison de la plage Rick conta à Stephanie tous les soupçons de Ridge. Stephanie abasourdie s’asseya sur le fauteuil.
- Deacon serait complice de son beau père ?
- C’est l’idée de Ridge.
- Et toi qu’en penses-tu ? Deacon et toi êtes amis, crois-tu que Ridge être dans le vrai ?
- A dire vrai, je n’en sais rien, Stephanie. Qu’en pensez ? Au départ j’ai soutenu Deacon et c’est qui ma emmené ici mais après ce que tu viens de me révéler, je ne sais plus quoi en penser. Le fait de ne pas prévenir la police me semble plutôt étrange
- Et vous, Ambre ?
- Je… je ne sais plus quoi en penser. Je suis comme Rick : septique. Stephanie il y’a chose que vous n’êtes sans doute pas au courant. Lorsque nous sommes rentrés de Paris, vu le décalage horaire nous n’avions pas sommeil. Nous nous sommes donc rendus chez Deacon et Bridget ce soir là. Ils avaient l’air assez étrange tous les deux même s’ils s’efforcèrent de ne rien montrer faisant comme si tout allait bien mais la gêne était visible. Nous avons pensé qu’ils s’étaient disputés mais nous les avons interrogés séparément et l’un et l’autre ont juré que tout allé bien. J’ai cuisiné Deacon autant que j’ai pu pour l’obliger à me dire ce qui n’allait pas mais rien n’a filtré. Il est resté muet comme une carpe. En revanche lorsque je lui ai demandé s’il avait un problème avec Bridget : pour être exacte je lui ai demandé s’il l’aimait toujours.
- Qu’a-t-il répondu ?
- Il s’est pratiquement emporté à l’idée que je puisse poser cette question. Il ne l’avait pas vu venir, mais il répondit par l’affirmatif. Il ne comprit même pas comment je pouvais lui posais une telle question tant elle lui sembla aberrante. D’ailleurs lorsque je lui demandai ce qu’il n’allait pas, de ce confier à moi, il m’envoya valser sur les roses en me répliquant que je n’étais pas sa femme, que c’est à elle et à elle seule qui se confiera.
- D’ailleurs après notre départ nous les virent à travers la vitre dans les bras l’un de l’autre.
- Avez-vous jamais su ce qu’ils les préoccupèrent tant ce jour là ?
- Non, ils n’ont jamais rien dit.
- Si mes calculs sont exacts, le jour de votre retour correspond plus au moins au moment où Georges fit irruption dans leur vie. Rick, Ambre, il y’a certaines choses que vous ignorez…
A cet instant la porte vitrée s’ouvrit brutalement. Eric, hystérique, fit irruption dans la maison, faisant tressauté tout le monde.
- Où est-il ? Ou est ce minable ? Ce voyou ? Que je lui fasse payer le mal qu’il fait à ma fille et à sa mère !
- Eric, calme toi et écoute moi.
- Non ! Stephanie. Je ne me calmerai qu’une fois que j’aurais mis la main sur ce bâtard et l’expédie loin de ma fille et de notre famille !
- NON ! LAISSEZ MES PARENTS TRANQUILLES ! Laissez ma famille tranquille ! Qu’est vous avez tous à la fin après nous ? Pourquoi personne ne veut nous fichait la paix ? Papa aime Maman. Jamais il ne lui fera du mal : c’est pourquoi il est parti à sa recherche pour la sauver de…Zach ! dit Eric en pleurant. Papa est partit parce que il a peur que Zach fasse du mal à Maman comme il nous en a fait à Elona et moi.
Le courroux d’Eric Forrester se dissipa subitement en entendant les paroles de son petit fils.
- Zach ? Qu’est ce Zach vient faire au milieu de cette affaire ?
- Georges et Zach ne forment qu’un seul et même homme, répondit Stephanie.
- Comment ?
- Qui est Zach ? demanda Rick ?
Ambre voulu consoler celui que plus personne maintenant n’appelait « Petit Eric » mais ce dernier la repoussa pour aller se blottir contre Stephanie.
- Stephanie, tu sais toi que Papa n’a rien fait de mal à Maman. Dis-leur s’il te plait.
- Comment pouvez croire que notre père ferait un jour du mal à notre mère ? Il l’aime ! Vous devez aussi penser qu’il a faillit tuer notre sœur n’est ce pas ? Vous imaginez sans doute qu’il est allé voir Zach, cet homme qui lui fit tant de mal lorsqu’il était enfant pour lui demander d’aller tuer sa fille ? C’est cela que vous pensez Oncle Ridge, toi et Oncle Rick ? dit Deacon jr.
Elona et Julian tenant Anaëlle dans ses bras avaient rejoint leurs frères.
- Notre père nous aime et il aime Maman plus que tout au monde, c’est pourquoi il est allé la sauver au risque de sa vie. Au risque de sa vie. Sur ces derniers mots Elona se mit à pleurer. Son frère Deacon jr la serra dans ses bras rejoint par Eric et Julian. L’enfant éclata en sanglot.
- Je ne savais pas, Eric, je ne savais pas que Papa risquait sa vie en allant sauver Maman. Je te le jure. Je croyais qu’il était comme les héros des livres que Maman me lit le soir avant de m’endormir. Je suis désolée.
Eric serra sa sœur contre lui.
- Tu n’y es pour rien, Elona. Papa avait déjà prit sa décision parce que il aime notre mère plus que sa propre vie.
Sur ces mots il lança un regard acerbe à son grand père.
- T’inquiètes pas Elona, je suis certain que Papa va sauver Maman et ils rentreront tous les deux à la maison et si le pire devait se produire nous nous sommes là et nous resterons toujours ensemble tous les cinq ! Rien que nous cinq, souligna Deacon JR en appuyant sur le sens de chaque mot.
Stephanie voulu répondre mais la porte s’ouvrit. Ridge et Brooke entrèrent come des furies au point d’effrayer Anaëlle qui se mit à pleurer.
- Ou est-il ? Ou est ce bâtard que je lui règle son compte !
- CA SUFFIT ! hurla Elona. Qu’est vous avez tous après mon père ?!
Anaëlle pleura deux fois plus fort.
- Donne la moi, Julian, lui demanda sa sœur, je vais la tenir et lui chantait la berceuse de Maman.
- Je vais la prendre, dit Ambre en s’avançant les bras tendus vers la petite.
- NON ! S’exclamèrent d’une seule voix les enfants. C’est notre sœur et personne n’y touchera.
- Alors, personne ne va me dire où je peux le trouver ? Où ce lâche ce cache t’il ? demanda Ridge derechef.
Les enfants le toisèrent du regard.
- Ridge, je t’en prie ce n’est pas le moment, dixit Stephanie.
- Quoi ? Qu’ais je dis ? Je cherche simplement à mettre la main sur ce minable et le chasser une fois pour toute de notre famille.
- Notre père n’a rien d’un minable. Le minable ici c’est toi !
- Je constate que tu as langue aussi acerbe que ton père.
Elona le toisa du regard.
- Ridge ca suffit, ce n’est pas le moment.
- Maman, il y’a des choses que tu ignores à propos de Deacon…
- Non, Ridge, c’est toi qui ignore certains faits. Deacon est loin d’être l’homme que tu imagines.
- Oh non ne me dis pas qu’il ta eu toi aussi par ses boniments. Passe encore pour Bridget, elle était jeune au moment où il la séduit mais lorsque elle apprendra le mal qu’il fit à Brooke elle le laissera tomber et il retournera d’où il vint.
- Nos parents sont ensemble pour la vie, répondit Eric. Rien n’y personne ne les séparera jamais. Pas même toi.
- Tu es bien son fils, pas de doute la dessus, toi aussi tu en veux à la fortune des Forrester…
- Stop ! Ridge. Coupa Eric, d’un ton qui ne laissa aucune place à la discussion. Ca suffit à présent ! Ridge, il y a certains éléments que tu ignores. Il soupira. - Notre mépris pour Deacon nous induit en erreur. Il semblerait bien que tu te sois lourdement trompé à son sujet : Deacon n’est pas celui que nous pensions qu’il était. De toute évidence il aime sincèrement ta sœur.
- Quoi ? Papa ne me dis pas que tu es tombé dans son piège toi aussi ? Ou est t’il d’ailleurs que je lui règle son compte. Ou est ce minable ?
- Mon père n’a rien d’un minable ! Le minable c’est toi !
- Elona ! s’écria Stephanie, retire tout de suite ce que tu viens de dire et excuse toi auprès de ton oncle Ridge.
- Non, je ne le retirerai pas et je ne m’excuserai pas non plus. Il vient chez nous et insulte Papa alors qu’il n’est pas là. Alors non je ne m’excuserai pas. Jamais !
- Voila à quoi nous conduit cette mésalliance. Une Forrester insulte un autre Forrester. Je te préviens Elona, je compte parler de ton insolence à ta mère des qu’elle sera rentrée. Ou est-elle d’ailleurs ?
- Maman aime Papa plus que tout au monde, jamais elle me m’obligera à demander pardon d’avoir répondu à quelqu'un qui insulte Papa.
- J’aimerais bien comprendre ce que tu as à reprocher à notre père ? C’est un homme génial ! Je connais peu de gens qui aurait adopté un enfant de mon âge en le sauvant d’une mort programmée par ses parents biologiques. Je connais également peu d’homme qui n’aurait pas hésité à aller affronter son bourreau afin de sauver la femme qu’il aime. Voila quel homme est notre père.
- De quoi parles-tu ? Quel bourreau doit t’il affronter et pourquoi ?
- C’est que j’ai tenté de t’expliquer, dixit Stephanie, Deacon n’est pas là car il est allé affronter Georges qui a enlevé Bridget.
- Quoi ! s’écria Brooke, qui n’avait jusqu'à lors pas parler. Non, non c’est impossible, Charlie ne ferait jamais une chose pareille, pas mon Charlie c’est impossible.


A Watts, Deacon continua de marcher au hasard des rues à la recherche de la geôle de Bridget. Soudain les battements de son cœur s’accélérèrent. Il trouva enfin la cabine téléphonique d’où provenait l’appel. Le combiné était encore décroché, ce qui pouvait vouloir dire que peut être personne n’en s’en était servit après le coup de fil de Bridget. Pour s’en assurer il entreprit de rappeler le dernier numéro composé quand soudain quelque chose attira son attention. Il se pencha et ramassa l’objet en question. Il s’agissait d’une boucle d’oreille en argent.
« Mon Dieu ! C’est à Bridget !»
Il se souvint du jour où il le lui offrit.

Ils ne connaissaient pas encore Julian en ce temps là, les enfants étaient à l’école. Deacon entra et vit sa femme dormir. Il sourit en la voyant.
« Mon Dieu ce que je peux l’aimer » pensa t’il
Il entra silencieusement et lui donna un baiser sur ses lèvres ce qui la réveilla. Bridget sourit, et embrassa son mari. Il l’embrassa passionnément.
- Que fais tu à la maison de si bonheur ?
- Je n’avais pas grand-chose à faire au bureau alors j’eus soudain envie de rentrer et de profiter de mon épouse adoré avant que le troupeau ne revienne de l’école.

Bridget rit. Ils s’embrassèrent derechef.
- Je t’aime tellement.
- Pas tant que moi, lui dit t’il tout en l’embrassant.
- Tu veux parier ? dit-elle en riant.
- Non ! J’aime mieux t’embrasser.
- Tu as peur de perdre et découvrir que je t’aime plus que tu m’aime
. Dit-elle en riant.
- Exactement, répondit-il sur le même ton tout en continuant de l’embrasser.
Bridget éclata de rire. Deacon continua à l’embrasser, à la caresser lorsque discrètement il sortit une petite boite de sa poche, l’ouvrit d’une seule main, saisit l’objet et l’enfila à son oreille.
- Deacon ? Qu’est que… c’est ? dit-t’elle en portant la main à son oreille tout en baissant les yeux elle vit l’écrin avec la seconde boucle d’oreille.
- Oh Deacon ! Mon amour. Elles sont absolument sublimes !
- Des que je les vis j’ai pensé à toi. Bien sur ce n’est pas le genre de bijoux auxquelles ta famille ta habituais mais je te promets, mon amour…
- Chut ! dit-elle en posant son index sur ses lèvres. Deacon, mon amour, je les adore et je t’aime encore plus.
- Je t’aime moi aussi.
Il posa ses lèvres et sur les siennes et ne tardèrent pas à faire l’amour.



« Bridget, mon amour je le jure, chérie, je te retrouverai ! »


Dans sa geôle, Bridget s’éveilla après avoir été assommé lança un regard acerbe à Georges et Nancy.
- Finalement, SA MAJESTE s’est réveillée, dixit Georges en éclatant de rire : un rire narquois.
Revenir en haut Aller en bas
https://beaconforever.forumsactifs.com
 
chapitre 28
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Chapitre 12
» chapitre 28
» Chapitre 44
» chapitre 7
» Chapitre 24

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever :: Fan fiction de Mary & Bridget/ Mary fan fiction and Bridget :: Un retour du passé-
Sauter vers: