The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 chapitre 19

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


Féminin
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Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon
Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

chapitre 19 Empty
MessageSujet: chapitre 19   chapitre 19 EmptyVen 16 Avr - 23:20

- Une quoi ?
- Une organisation criminelle, Papa, la mafia si tu préfère.
- Melanie, je comprends parfaitement que tu puisses ne pas porter Nancy dans ton cœur, mais de là à dire une chose pareille… Mel, on ne doit jamais dire des choses pareilles, c’est très grave.
- Mais c’est la vérité, maman !
- Ma chérie, la mafia est une organisation criminelle extrêmement dangereuse…
- Mais je sais, Maman, qu’est qui te prend de défendre Nancy ?
- Je ne la défends pas.
- Oh que si tu la défends !
- Melanie, change de ton avec ta mère !
- Papa, comment peut tu là laisser parler ainsi ? Elle défend la mère de ton meilleur ami. Elle semble oublier tout le mal que cette femme fit à son fils lorsque il n’était encore qu’un enfant et de plus elle se rendit complice d’enlèvement et tentative de meurtre sur ses petits enfants !
- Melanie, tout ceci ne regarde pas.
- Pardon ? Cela ne nous regarde pas ? Comment peux-tu dire cela ? Deacon est ton meilleur ami et c’est aussi le père d’Eric.
- Mel, ce que ton père veut dire est que tout cela sont des affaires de famille qui ne nous regarde pas.
Abasourdie Mel regarda un à un ses parents.
- Que vous arrive-t-il ? Je n’arrive plus à vous reconnaître ! Autrefois vous auriez fait n’importe quoi pour venir en aide à vos meilleurs amis mais depuis notre départ pour l’Italie tout à changé !
- La distance nous a permit de comprendre certaines choses, ma chérie, dit son père.
- Comme quoi ?
- Ce sont Deacon et Bridget eux même qui ont prit leurs distances avec nous. Ils ne se confiaient plus à nous, au travail nous n’avions presque plus rien à faire.
- Ce n’est tout de même pas leur faute si Gordon a volé les formules et qu’à cause de lui les affaires ont chutées.
- Si Deacon n’avait pas tout misé sur cette idée stupide de créer un parfum accompagné de chaque collection, il n’en serait jamais arrivé là et son entreprise tiendrait encore la route.
- Je n’en reviens pas que tu puisses dire une chose pareille ! Papa, Deacon est ton meilleur ami et aujourd’hui tu prends fait et cause pour Gordon !
- Je suis réaliste, ma chérie, c’est tout. Deacon a commit de terribles erreurs de jugement.
Horripilée Melanie quitta la pièce.



Sous le choc par les révélations de Deacon, Bridget ne dit mot.
- Tout ceci n’a pas de sens : ok, d’aussi loin que remonte ma mémoire elle ma toujours méprisée, elle laissa Georges se servir de moi comme punchiball mais faire partie d’une organisation criminelle internationale n’a aucun sens. Son monde s’est toujours limité à sa propre personne et celle de Georges. Le trafic de drogue, d’arme… elle s’en moque. L’unique chose qui l’intéresse c’est ce vengé de moi.
Les larmes aux yeux Bridget serra Deacon dans ses bras et l’embrassa.
Au cinquantième étage et dernier d’une tour de Los Angeles, Nancy entra dans un bureau dont les baies vitrées dominait toute la ville.
- Vous avez demandé à me voir, Monsieur ?
L’homme confortablement installé sur son fauteuil de cuir beige se retourna. Agé d’une cinquantaine d’année, les cheveux grisonnant, vêtu d’un costume sur mesure de fabrication française, fumant un cigare.
Son bureau ne comportait qu’un téléphone et un ordinateur.
- Ces cigares sont vraiment détestable, dit-il en les crachant vulgairement.
- Si vous le dites, monsieur.
- Inutile d’acquiescer à tous mes dires !
- Très bien, euh je veux dire…
- Vous ne voulez rien dire. Je ne vous ai pas appelé pour jouer mon chiot, si je voulais un chien je serais où aller le chercher !
- Le patron veut savoir où nous en sommes ?
- Tout est en place, Monsieur.
- Développez !
- Tout c’est passé comme prévu : les formules chimiques ont été transformées, la drogue est en route. Nous avons deux de nos meilleurs…
- Agents ! dit l’homme au cigare.
- Oui, agents, ils ont pu faire passer la drogue sans problème.
- Parfait !
- Quand aurais-je mon du ? J’ai respecté ma part du marché : je vous ai vendu les formules chimiques, au lieu d’un stupide parfum aujourd’hui grâce à elle nous avons une drogue d’excellente qualité qui va rapportée énormément d’argent à l’organisation mais j’attends toujours ce que vous me devez. Mon Georges n’a toujours pas été vengé !
L’homme au cigare fulmina.
- C’est au patron de déterminer quand la mort de votre Georges sera réparée !
- Je suis prête à tout pour accélérer le mouvement, je ferai tout ce que vous me demanderai, monsieur, vous ou le patron.
Elle s’approcha de l’homme, se pencha sur lui et commença à lui défaire sa cravate, frotta sa poitrine contre le torse de l’homme, retirer sa veste, chemise… avant de se dévêtir.
L’homme ne tarda pas à entrer en érection.

*


Deacon sourit à Bridget.
- Ca ira.
- Tu es sur ?
- Oui, dit-il en l’embrassant.
Apres une pause il reprit.
- Il va falloir prévenir les enfants.
Bridget acquiesça d’un hochement de tête.
- Je suis heureuse du retour de Lyndsy et Dante.
- Oui, moi aussi.
- Espérant seulement que ce nouveau chimiste arrive à mettre une formule au point avant le lancement de la nouvelle collection. C’est notre unique chance qui nous permettra de sortir la tête de l’eau.
Deacon marqua une autre pause puis sourit à Bridget.
- Je suis désolé, mon amour.
- Désolé de quoi ?
- Ta vie n’est pas celle qu’elle devrait être.
- Hey ! Je n’échangerais ma vie avec toi contre rien au monde.
Deacon lui sourit.
- Je t’aime tellement.
- Je t’aime moi aussi.
Ils s’embrassèrent.


Dante et Lyndsy entrèrent chez Deacon et Bridget.
- Ya quelqu'un ?
Deacon et Bridget sortirent du bureau enlacés.
- Salut ! dit Deacon
- Comment ca va tous les deux ? demanda Dante.
- Nous allons bien, répondit Deacon.
- Et les affaires ?
- Les affaires reprennent lentement.
- Vraiment ?
- Je t’assure.
- Nous avons un nouveau chimiste, dit Bridget. Bien sur il a trois fois d’expérience que Gordon mais nous en sommes contents.
- Un nouveau chimiste ? dit Lyndsy surprise. Je l’ignorai.
- Il n’est pas là depuis très longtemps.
- Tu aurais pu nous le dire.
- Les événements se sont tellement bousculés, nous n’avions plus pensé.
- Plus pensé ? Ne sommes nous pas vos meilleurs amis ? dit Lyndsy.
- Bien sur vous l’êtes, dit Bridget.
- Mais vous n’avez pas pensé à nous prévenir ?
Deacon fulmina.
- Mais en quoi étais ce si important de vous avertir que nous avions trouvé un nouveau chimiste ? Vous aviez démissionné pour aller travailler dans l’entreprise familiale en Italie !
- Deacon ! te rends tu compte que c’est à cause de tes fichus formules que la mafia est à tes trousses ? dit Dante.
Deacon blêmit.
- Comment es tu au courant ?
- Tes enfants ont en parlé à ma fille. Mais j’imagine que tu allais « oublier » de nous prévenir là-dessus aussi ?
- Mon Dieu, les enfants sont donc au courant.
- Oui, ils le sont. Vous n’avez pas répondu à ma question.
- Nous vous aurions averti si vous aviez l’intention de retravailler pour nous, dit Bridget.
- Et dans le cas contraire vous auriez gardé le silence ?
- Pourquoi l’aurions nous fait ? Vous aviez quitté l’entreprise et moins il y’a de personne au courant mieux c’est pour leur protection ! dit Deacon
- Je vois. Donc tu n’as toujours pas confiance en nous ? dit Dante
- Je te demande pardon ? Je viens te dire… mais enfin qu’avez-vous tous les deux ? Je ne vous reconnais plus.
- Pourquoi ? Parce que nous ne prosternons plus sous le sol que le grand Deacon Sharpe a foulé avec sa Princesse Bridget Forrester. Nous en avons assez d’être traité comme vos domestiques ; c’est finit ce temps là !
- Nos dom…domestiques ? Non mais vous n’êtes pas bien ! Quand nous avons vous traité ainsi ?
- N’en parlant plus, c’est du passé, dit Lyndsy
Bridget fulmina.
- Tu te fiches de nous ? Tu viens de nous dire que mon mari et moi vous avions traité comme des subalternes et maintenant tu nous demande d’oublier ? C’est hors de question ! Quand nous avons vous traité ainsi ? Nous avons toujours fait confiance vous étiez nos meilleurs amis, nous vous avons même confié nos enfants !
- Uniquement parce que cela vous arrangé bien de ne pas les avoir autour de vous à cause de cette histoire de mafia mais pas une seconde vous avez pensé à nous ! À Lyndsy, Melanie et moi, au risque que nous courions.
- Comment oses-tu ? Oui comment oses tu dire une chose pareille ! Ni Bridget ni moi n’étions au courant de cette satanée histoire ! Sans compter que Wilson nous a bien recommander de n’en parler à personne sauf si cela s’avérait vraiment nécessaire car selon lui moins il y aurait de personne au courant mieux ce serait pour leur sécurité. Cependant nous comptions vous le révélez afin de ne rien vous cacher car nous vous considérions comme nos meilleurs amis, mais vous osez venir chez nous et colporter de tels mensonges ! Sortez ! Fichez le camp de chez moi ! Et surtout ne revenez plus jamais !
Dante et Lyndsy sortirent de chez Deacon et Bridget. Deacon avait le visage blême quand à Bridget, elle resta silencieuse.


Une fois chez eux Dante téléphona.
- Tout c’est passé comme prévu, Monsieur, ils ne se doutent de rien.
- Parfait. C’est vital si nous voulons que notre action réussisse.
- Ne vous inquiétez pas, Monsieur.
- Bien. Ne me retéléphonez plus ; c’est moi qui prendrai contact avec vous la prochaine fois.
L’homme raccrocha.
- A qui parlais-tu ? demanda Melanie qui venait d’entrer.
Lyndsy se retourna, surprise.
- Melanie, je ne t’ai pas entendue arriver.
- Normal, tu étais concentrée par la conversation entre Papa et cette mystérieuse personne au téléphone.
- Melanie, peut tu garder un secret ?
- Cela dépend, quel genre de secret ?
- Quelque chose dont il ne faudra parler à personne pas même à Eric.
- Cela concerne sa famille ?
- Oui.
- Maman et toi allez aider Deacon et Bridget à remettre à flot leur société ?
Dante sourit.
- C’est exactement cela, ma chérie.
Melanie bondit de joie.
- Oh, Papa, je t’adore ! Je savais que tu ne laisseras pas tomber ton meilleur ami !
Bien, j’ai pas mal de travail à faire, je vais monter dans ma chambre pour ne plus en bouger de toute la soirée.
Elle fut sur le point de quitter la pièce lorsqu’elle revint sur ses pas.
- Pourquoi ne rien dire à personne ? Pourquoi garder le secret ? Je ne comprends pas, Eric va bien savoir que tu travailles de nouveau pour son père.
- En réalité ma chérie, nous allons lui avancer de l’argent, beaucoup d’argent et tu connais Deacon, il a sa fierté : si jamais il apprenait que c’est ton père qui finance ses projets il arrêtera illico, or c’est justement ce que nous ne voulons pas.
Mel sourit.
- C’est entendu je ne dirai rien à personne et encore moins à Eric.
Une fois Mel hors de leur champ de vision, Lyndsy échangea un regard avec Dante.
- Je n’aime pas cela, Dante.
- Je n’aime pas cela plus que toi mais nous n’avons pas le choix !

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