The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever
Hello, bienvenue sur notre forum de Beacon forever. Ce forum est avant tout destiné à écrire et des lires des fan fictions, histoires reprises et corrigés par les fans des séries. Ici c'est en particulier consacré à Deacon et Bridget du soap Amour Gloire et Beauté, Top Model ou encore the Bold and the beautiful.
Soyez sympa, lorsque vous lisez un de nos chapitres de nous laisser un petit commentaire.
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The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever

fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe
 
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 chapitre 36

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Bridget Sharpe
Ange gardien de Bridget et Deacon
Ange gardien de Bridget et Deacon
Bridget Sharpe


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Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie
vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon
Date d'inscription : 25/09/2007

Feuille de couple
Your preferred couple: Bridget et Deacon
Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course

chapitre 36 Empty
MessageSujet: chapitre 36   chapitre 36 EmptyMar 3 Aoû - 0:01

- Tu te fiches de moi ? Tu me demandes de la mettre en veilleuse pendant quelques temps ? Alexeï, si mon plan avait fonctionné Deacon devrait déjà être mort à l’heure qu’il est et moi je serais une femme riche et tu serais enfin débarrassé de moi et tu me demande d’attendre encore ?
- Oui. Nancy, il est regrettable que ton plan n’est pas fonctionné mais ce qui est fait et fait. A présent il faut aller de l’avant.
- Et comment tu as un plan ?
- Oui et tu vas devoir faire exactement ce que je te dirai. A partir d’aujourd’hui c’est moi qui reprend les choses en main. Est-ce clair ?
- Très clair.
- Ok, maintenant écoute moi attentivement.

*

Cette journée là Deacon et Bridget la passèrent avec leurs enfants à rire et à jouer à des jeux sur la plage.
Le soir venu ils eurent la surprise de voir les jumelles faire leurs premiers pas. Bridget en eut les larmes aux yeux. Deacon, comme à son habitude la taquina quelque peu mais était au fond tout aussi ému, à fortiori lorsque l’une d’elle prononça le mot « maman » à l’encontre de Bridget.
Quand ils se retrouvèrent dans leur chambre il la serra dans ses bras en l’embrassant.
- Tu as entendu, notre fille m’a appelé « maman » Elle a enfin compris qui j’étais.
- C’est normal, nos enfants ont l’intelligence dans leurs veines, dit il en plaisantant.
- Sois sérieux, le rabroua t’elle mi larmes mi sourire.
Il la regarda avec des yeux langoureux.
- Je vous aime, Md Sharpe.
- Je t’aime aussi, Deacon.
Ils s’embrassèrent amoureusement puis Bridget le prit par la main et se dirigèrent vers le lit où elle s’allongea.
- Tu es tellement belle.


*

Nancy émit un rictus.
- C’est diabolique comme plan !
- Si tu le suis à la lettre, tu obtiendras ce que tu souhaites.
Nancy prit un moment de réflexion.
- Et toi, qu’as-tu à y gagner ?
- Je récupérai ce qui est à moi + 55 % des parts de ce dont tu hériteras.
- Tu te fiches de moi ?
- Pas du tout.
- Il n’en est pas question !
- C’est à prendre où à laisser.
- 55% c’est hors de question ! Cette société est à moi !
- Ce sont mes idées et c’est mon matériel qui te servira à arriver à tes fins.
- 10 %
- 50 % nous serons actionnaires à part égal.
- 20 % et tu pourras te servir de locaux à ta guise.
- 30 et j’utiliserai les locaux à ma guise.
- 25 % et j’utiliserai les locaux à ma guise.
- Marché conclu.

*

Les semaines et les mois s’écoulèrent : comme elle avait convenu avec Alexeï, Nancy se fit oublier.
Deacon se trouvait à son bureau : pensif.
- Dis mon vieux, j’ai pensé à un truc. Que dirais tu si … que t’arrive t’il ?
- Je viens d’avoir Wilson : ce n’est pas normal, Nancy sait parfaitement que je suis en vie et pourtant elle ne se montre pas ; cela ne présage rien de bon.
- Qu’en sais-tu ? Peut être a-t-elle quitté Hawaï tout simplement.
- Je crois au contraire que cela ne fait présager rien de bon. Je connais ma mère, Dante, et je crois qu’elle nous prépare un coup à sa manière.
- Comme quoi ?
- J’n’en sais rien.
- Est-ce Bridget partage tes craintes ?
- Je ne crois pas. Elle tellement heureuse d’être de retour à la maison avec les enfants, revoir Sharpe Design renaitre de ses cendres avec la préparation du défilé. Je n’ai pas l’impression qu’elle s’en rende compte.
- Lui en as-tu parlé ?
- Non.
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas l’inquiéter pour rien. Si cela ce trouve je m’inquiète pour rien.
- Tu penses vraiment ce que tu dis ?
Deacon marqua un temps d’arrêt.
- Non.
- Qu’en penses l’inspecteur Wilson ?
- Ce bon à rien ! Il n’a aucune trace d’elle. Même son amant semble se faire discret.
- Tu veux un conseil ? Concentre-toi sur le futur défilé. Est-ce les Forrester viendront ?
- Oui. Eric ne veut pas louper une occasion de se foutre de moi.


- Que penses-tu de cette robe ?
- Hum, dit Bridget dubitative à la robe que lui montrait Lyndsy.
- Ok, et celle-ci ?
- Là c’est toi, dit elle en souriant.
- J’en étais sure.
- Et toi que vas-tu porter ?
- Tu me promets de ne rien dire à Deacon si je te la montre ?
- Parole de scout !
Bridget disparu quelques minutes avant de revenir avec une robe noire au décolleté plongeant assez prêt du corps.
- Bridget ! Tu vas faire sensation dans cette robe. Deacon ne pourra plus décoller ses yeux de toi de toute la soirée.
Bridget rit.
- C’est exactement ce que j’espère. Mon mari est entouré de jeunes mannequins du matin au soir, je ne voudrai pas qu’il m’oublie.
- Oh Bridget, tu n’as pas besoin de tous ces artifices pour que ton mari te regarde : on voit qu’il t’adore. Les mannequins ne sont à ses yeux que des simples éléments de travail : je ne l’ai jamais vu leur prêter la moindre attention en dehors de cela.
- Je sais. Je plaisantais. En réalité je fais ca c’est uniquement dans le seul but de lui faire oublier Nancy.
- Nancy ? A-t-elle fait parler d’elle récemment ?
- Non et c’est justement ce qui inquiète Deacon, même s’il n’en parle pas.
- En es tu sure ?
- Bien sur j’en suis sure, Lyndsy ! Je connais mon mari.
- Dans ce cas, lorsque Deacon te verra dans cette robe il oubliera tous ses soucis et n’aura d’yeux que pour toi.
Bridget sourit. Puis son sourire s’effaça.
- Que t’arrive-t-il ?
- J’ai un mauvais pressentiment, Lyndsy. Je sens comme un nuage noir au dessus de nous.
- Tout ce passera bien, tu verras. Deacon et toi avez fait un travail super et je suis certaine que les commandes vont affluer.
- Je vais rejoindre Deacon.

- Deacon ?
Deacon se retourna
- Chérie !
- Fin prêt ? dit-elle en passant ses mains autour sa taille.
- Ta famille est arrivée.
- Bien.
- Ils s’attendent à un fiasco.
- Eh bien ils vont être déçus. Cette nouvelle collection sera un succès comme l’on en aura rarement vu.
Deacon l’embrassa.
- Je vais me préparer.
Elle le quitta sur un rapide baiser.
Deacon lui tournait le dos lorsque Bridget sortit de derrière le paravent. Elle sourit.
- Deacon ?
Il se retourna. Il resta pantois face à sa femme. Sa robe noire au décolleté plongeant qui mettait en valeurs ses formes naturelles le laissa sans voix.
Il se dirigea vers elle, lui prit la main et la fit tourner sur elle-même.
- Whaoo !
Bridget rit.
- Whaoo !
- Cela te plait c’est vrai ? Tu ne trouves pas cela un peu trop hot ?
- Mon amour tu es magnifique, sublime… il n’existe aucun terme assez fort pour décrire ta beauté.
Bridget lui sourit et l’embrassa.
- Je t’aime et je voulais être resplendissante pour toi ce soir.
- Tu es magnifique comme toujours. Je t’aime.
Il plaqua ses lèvres sur les siennes et commença à la déshabiller.
- Je t’aime dit-elle, le souffle coupé par les baisers de Deacon.

- Whaoo ! Tu es incroyable lorsque tu te laisse aller.
- Merci. Tu es pas non plus dans ton genre quand tu veux, dit-elle en souriant.
- Pas mal ? dit-il, son orgueil piqué au vif.
Bridget rit.
Deacon se retourna, son torse nu tout contre la poitrine de la jeune femme. Il l’embrassa.
- Nous allons être en retard.
- En retard où ca ?
- Nulle part, dit-elle en répondant à ses baisers.
- Tant mieux car je ne vois pas du tout de quoi tu parles, dit il en l’embrassant.
- Ni moi non plus, dit elle en caressant son visage rasé de prés.
- Je vous aime, Md Sharpe
- Je t’aime moi aussi.
Lorsqu’il la sentit prête il plongea en elle.


*

- Comment ca ce passe ? demanda t’il à Lyndsy.
- Vous n’avez pas suivi de votre bureau ?
- Disant que Bridget et moi avons eu une panne d’oreiller, dit il tout en enlaçant Bridget par sa taille qui souriait.
- Je vois, fit Lyndsy en souriant. Jugez en plutôt par vous-même.
Deacon et Bridget passèrent leur tête via le rideau des coulisses. A chaque passage les applaudissements fleurissaient. Vint enfin le clos final avec la robe de mariée.
La foule fit une standing ovation.
- Chéri, tu te dois à ton public.
- Tu viens avec moi !
Joignant le geste à la parole il l’entraina dans la salle.
- Merci ! Merci à tous !
Les spectateurs applaudirent derechef.
- Qu’est ce qui vous a donné l’idée d’une telle collection avec des tels tissus ? demanda un journaliste.
- Quelle fut votre inspiration ? demanda un autre.
- Ma source d’inspiration est ici devant vous : ma femme, Bridget ! Elle est celle sans qui rien de tout ceci ne serait arrivé.
- Parce que c’est la fille d’Eric Forrester ? Est-ce lui le styliste de cette collection ?
- Eric Forrester, n’a absolument rien à y voir. Mon mari est l’unique styliste.
- A d’autre, Melle Forrester.
- Md Sharpe !
- Md et Mr Sharpe : votre première collection connu un grand succès également mais ensuite tout a chaviré et pendant des mois tout le monde pensait que « Senteurs d’Hawaï » serait votre seule et unique collection et que vous étiez fini dans le métier. Par la suite vous avez disparu et tout le monde vous cru mort. Que c’est t’il passé ?
Deacon ne sut quoi dire.
- Cette question n’a rien à voir avec notre collection Waipio. Nous ne répondrons qu’aux questions concernant celle-ci et aucune autre.
- Qu’avez-vous donc à cacher, Md Sharpe ?
- Nous n’avons rien à cacher.
- Laisse, chérie, je vais répondre.
- Chéri, tu n’es pas obligé.
- Ca va aller.
Deacon prit une profonde inspiration avant de commencer son récit.
- Lorsque ma femme et moi sommes arrivés à Hawaï, nous avons voulu nous lancer dans un nouveau défit, encore jamais réalisé par personne. Créer une ligne de haute couture uniquement avec des tissus 100 % écologiques et une main d’œuvre locale. Et nous avons réussi notre pari ! Vous l’avez dit vous-même cette collection fut un succès ! Nous avions dans l’idée de créer un parfum accompagnant cette ligne. C’est pourquoi nous l’avions intitulé « Senteurs d’Hawaï ». Malheureusement pour nous, le chimiste que nous avions engagé s’est avéré être un malfrat.
- Qu’entendez-vous par « malfrat » ?
- C’était un criminel multi récidiviste et nous l’ignorions. Nous l’avions engagé à cause de ses compétences en chimie. Toutes les adresses, tous les numéros de téléphone qu’il nous avait fourni étaient bien entendue fictives.
- Vous voulez dire qu’il n’était pas chimiste ?
- Si. Mais au service du crime !
- Que voulez vous dire ?
- Cette conférence de presse est maintenant terminée. Merci à tous d’être venus.
- Que cherchez-vous à cacher, Md Sharpe ? Qui voulez vous protéger en vous taisant comme vous le faites.
Bridget fulmina.
- Je n’ai rien à cacher et encore moins quelqu'un à protéger si ce n’est ma famille de vos questions insidieuses !
- C’est moi que ma femme cherche à protéger.
La foule poussa des « Oh » de stupéfaction.
- Il s’avère que ce Gordon Thomson était ou est toujours, je n’en sais rien, l’amant de ma mère ! Une mère qui cherche à me détruire depuis que je suis enfant. Lorsque nous vivions encore à Los Angeles elle et son mari ont kidnappé nos enfants, ma femme et ont essayé de nous tuer.
- Pourquoi cela ?
- Pour l’argent bien sur, elle pensait que j’en avais vu que j’ai épousé une Forrester.
- Peut être mais de là à tuer son fils pour de l’argent ce n’est pas très fréquent.
- Ma mère ne ma jamais aimé. Elle s’était mariée à un homme alcoolique et violent qui s’en prenait à moi chaque fois qu’il le pouvait.
Deacon soupira.
- Il est mort. Je l’ai tué en état de légitime défense. Aucune charge n’avait été retenue contre moi.
Bridget et moi avons alors décidé de quitter Los Angeles et de recommencer une nouvelle vie, ici à Hawaï et de créer ce projet de ligne de vêtements accompagné de leur parfum. Or c’était sans compter sur la vengeance d’une femme remplie de haine envers moi, son propre fils, pour avoir osé me défendre en tuant l’homme qu’elle aimait.
- Mais votre mère n’a-t-elle pas été arrêtée pour ces crimes ?
- Si bien sur, mais en prison elle fit la connaissance de Gordon Thomson : ce chimiste que nous avions engagé ma femme et moi. Il travaille pour la mafia russe et il a volé nos formules chimiques afin de les transformer en drogue. Depuis ma mère est aussi devenu un membre de cette même mafia et a cherché à nous tuer.
- Les hommes de main de ma belle mère nous enlevèrent mon mari et moi un jour alors que nous sortions du bureau. Ils nous retinrent prisonniers, nous étions pieds et mains liés.
Nous avons réussi à nous échapper mais ils nous retrouvèrent et tentèrent de nouveau de nous tuer.
Nous ne devons la vie sauve qu’aux autochtones de la Valée Waipio. Ils nous ont non seulement sauvé la vie et nous ont transmit leur savoir ancestral. C’est pourquoi nous avons appelé cette nouvelle collection : « Waipio »

*
- Ca va chéri ?
- Oui, ne t’inquiète pas pour moi. Je vais bien.
- Je m’inquièterai toujours pour toi : tu es mon mari ne l’oublie pas.
Deacon rit et la serra dans ses bras.
- Je ne risque pas de l’oublier. Je t’aime.
- Je t’aime moi aussi.
Ils s’embrassèrent puis furent interrompu par Melanie.
- Pardonnez moi de vous interrompre mais tout le monde a adoré, les commandes commencent déjà à tomber par mail.
- C’est vrai ?
- Oui tenez regardé !
Des gens de tous les Etats-Unis passèrent des commandes, le téléphone sonnait constamment.
- Vous voyez ce que je vous disais, le public adore !
- Maman, Papa, les commandes affluent de toute part, je ne sais plus où donner de la tête.
- Ne t’inquiète pas, mon chéri, des demain nous engagerons du personnel pour nous aider.
- Sharpe Design va renaitre de ses cendres, dixit Melanie.
Eric sourit.
- Je suggère que nous levions nos verres à cette nouvelle, dit Lyndsy.
- Excellente idée, chérie !
- Deacon, voici pour toi, champagne sans alcool. Bridget, voici pour toi, Dante…
- A la renaissance de Sharpe Design !
- Tshin !
- Tshin !
- Et moi, je peux en avoir aussi ? dit de sa petite voix la petite Anaëlle.
Tout le monde se mit à rire.
- Oh mon petit ange, viens dans les bras de maman.
Bridget se pencha pour prendre sa fille dans les bras et l’embrassa.
- Si tu venais avec Papa prendre un grand verre de jus de fruit plutôt, dit il en prenant sa fille dans les bras tout en lui donnant un baiser.


*

- Tout le monde est parti ?
- Oui, je crois bien que oui. Les enfants sont rentrés avec Eric ou Dante. Liora s’est endormie alors j’ai suggère que nous la ramenions nous même.
- Bien. Si je comprends bien à l’exception de notre fille cela signifie que nous sommes seuls.
- Deacon Sharpe, puis je savoir ce que tu as dans la tête ?
- Tu ne vas pas tarder à le savoir, dit-il avec un regard malicieux.
Il posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa.
- Tu es prête à partir ?
- Oui. Je vais chercher Liora et je te rejoins à la voiture.
- Entendu.
- Je t’aime, dit-il sur un baiser.
Bridget sourit.
- Je t’aime aussi.
Deacon sorti du bureau et se dirigea vers l’ascenseur.
Il sortit du parking et une fois dehors attendit sa femme et sa fille à l’extérieur de la voiture.
- Deacon !
Deacon se retourna vers la voix qui l’interpelait.
- Stephanie ? Vous m’avez fais une de ces peur. J’ignorais que vous étiez encore ici, je vous croyais parti depuis longtemps.
- Nous avons eu un problème technique qui nous a empêchés de décoller. J’ai téléphoné chez vous mais on ma dit que vous étiez encore ici. Où est Bridget ?
- La haut, elle ne va plus tarder à descendre, elle habillait Liora.
- C’est un beau succès que vous avez eu là. Je vous en félicite.
- Merci, Stephanie. Cela me touche beaucoup venant de vous.
- Mais la carrière d’un styliste ne ce juge pas à une seule collection.
- J’en ai conscience et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin. Bridget et moi avons tout un tas d’idée pour notre entreprise.
- Bridget et vous ? Vous allez continuer à travailler main dans la main.
- C’est ce que vous avez fait avec Eric non ?
- Jusqu'à ce Brooke vienne tout gâcher.
- Peut être mais je ne suis pas Eric. J’aime ma femme plus que tout au monde. Ce que nous avons construit tout les deux et je ne parle pas que de cette entreprise mais avant tout de notre famille représente tout pour moi.
- Je ne demande qu’à vous croire, Deacon mais vu l’homme que vous êtes…
- Que j’étais, Stephanie, que j’étais. Ce voyou n’existe plus. L’amour de Bridget ma transformé. Que fais t’elle d’ailleurs, elle devrait déjà être là depuis longtemps.

Bridget finissait d’habiller sa fille lorsque elle entendit des applaudissements venant de derrière. Elle sursauta.
- Bravo, bravo, belle représentation de cirque que vous nous avez fourni Deacon et vous.
Bridget blêmit mais prit sur elle pour ne rien laisser paraitre.
- Nancy ? Que faites vous ici comment êtes vous rentrer ?
- Mais par la porte de devant, ma chère, comme tous les invités.
- Vous n’étiez pas sur la liste des invités.
Nancy rit d’un rire sarcastique.
- Vous croyez que c’est cela qui va m’arrêter ?
Bridget s’appuya sur son bureau et posa la main en dessous de la table afin d’actionner l’alarme de sécurité.
Nancy rit de plus belle.
- Ce que vous êtes naïve. Vous croyez vraiment que votre stupide alarme va fonctionner ? Je n’ai jamais compris ce que mon imbécile de fils pouvait vous trouver. Au départ j’ai tout d’abord cru qu’il vous avez épousé pour l’argent mais cet idiot s’est entiché de vous comme un adolescent amoureux.
Bridget paniquait mais faisait son possible de ne rien laisser paraître afin de ne pas réveiller sa fille qui dormait toujours.
- Deacon n’est pas stupide ! C’est un homme formidable au contraire, et il est fort dommage que vous ne vous en rendiez pas compte. Vous savez, ma mère ne fut pas une bonne mère, elle fit toujours passé son intérêt personnel avant celui de mon frère et moi. Mais vous le savez puisque vous êtes toutes deux mariées au même homme : cette crapule de Georges. Vous aviez même présidé à leur mariage en vous faisant passer pour un pasteur. Pourtant, elle ne vous arrive pas à la cheville, car en dépit de tout elle ne serait jamais restée avec un homme qui nous aurait battus comme Georges battait Deacon. Vous êtes une mère indigne !
- Arrêtez vous allez me faire pleurer.
- Que voulez vous, Nancy ? Si c’est de l’argent que vous voulez…
Nancy pouffa.
- De l’argent ? Vous m’avez bien regardé ? Même votre père ne pourrait pas vous offrir tout ce qu’Alekseï me donne et encore moins votre abruti de mari.
- Allez-vous enfin cessé d’insulter mon mari ?
Le téléphone du bureau sonna : c’était Deacon. Bridget voulu répondre mais Nancy l’empêcha. Il tenta alors de la joindre sur son portable : en vain.
- Ca ne répond pas, je tombe sur la messagerie autant au bureau que son portable.
La peur de Bridget se transforma en colère et elle fulmina.
- Que voulez vous, Nancy ? Vous avez plus d’argent que vous ne pourriez en dépenser dans toute votre vie, alors qu’attendez-vous de moi ?
- Vous allez mourir, Bridget et j’aurai enfin obtenu ma revanche : Deacon verra mourir l’être qu’il aime le plus au monde.
Bridget commença à sentir une drôle d’odeur.
- Mais qu’est ce qu’en sent ?
Elle n’obtint pas de réponse. Nancy s’était envolée en claquant la porte du bureau en prenant soin de jeter la clé.


- Peut être est elle dans l’ascenseur alors.
- Oui, peut être. Mais je ferai mieux d’aller voir ce qui ce passe… Oh mon Dieu ! Bridget !
Dans la nuit noire soudain eut lieu une grande éclaircie. Au dernier étage de la Tour, tout était éclairait par un immense incendie.

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