chapitre 1

Fic corrigée par Mary

Chez Bridget et Deacon dans la maison de la plage : dans la chambre d’enfant


Eric avait de la fièvre, Bridget veillait sur lui, à l’embouchure de la porte Deacon regardait Bridget, qui lui tournait le dos occupé à contrôler la fièvre du petit, avec des yeux enamourés. Lorsque l’enfant s’endormit, Bridget se leva et se dirigea vers son mari en lui souriant. Ensemble ils prirent le chemin du salon.
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« Il va bien, lui dit elle, c’est juste un gros rhume demain cela ira mieux »
« Je n’en doute pas une minute si tu le dis, lui répond t’il en souriant »

Ils prirent place sur le sofa quand soudain Deacon pris la main de Bridget dans la sienne.

« Bridget, il faut que l’on parle tout les deux, ou plutôt il faut que je te parle »

Bridget a la fois surprise par ce geste inhabituel de son mari et inquiète de ce qui il allait lui annoncer. Elle savait que son mariage était en péril mais elle s’y raccrochait comme à une bouée de secours ne voulant pas perdre l’homme qu’elle aimait depuis leur première rencontre au Lair.

« Bridget, je sais que je n’ai pas toujours été sincère avec toi et je t’ai épousé pour des mauvaises raisons, uniquement dans le seul but d’ennuyer ta famille et récupérer mon fils mais aujourd’hui les choses sont différentes tout à changer, j’ai changé grâce à toi. Jamais je n’aurais imaginé qu’une femme comme toi puisse aimer un homme tel que moi, mais c’est le cas et c’est ce qui est arrivé, tu ne t’es pas arrêté aux apparences tu as vu en moi quelqu'un que je ne connaissais pas moi-même »

« Où veut tu en venir, qu’essaie tu de me dire, tu veux que l’on divorce c’est cela, lui demanda t’elle la gorge nouée par l’émotion. Si c’est cela ok je te l’accorde car je t’aime beaucoup trop pour te garder contre ton gré prisonnier d’un mariage dont tu ne veux pas »

Bridget se leva et se dirigea vers le patio les yeux remplis de larmes. Deacon la suivit et passa ses bras autour de sa taille. Il effleura son cou puis ses cheveux.

« Tu sent bon, lui dit t’il tout en lui donnant un rapide baiser en dessous de l’aube de son oreille droite »

Elle se retourna vers lui les larmes plein les yeux.
« Arrête, Deacon, pourquoi fait tu cela, n’essaie pas de ménager tu me fait encore plus de mal en rendant la situation plus difficile qu’elle ne l’est déjà. Je ne suis pas la femme avec qui tu veux vivre j’ai mis du temps mais j’ai enfin finit par accepté que notre mariage est voué à l’échec que tu ne m’aime pas, que tu ne ma jamais aimé (moment de silence) comment l’aurait tu pu d’ailleurs comment qu’un homme tel que toi ne pourra jamais aimé une femme aussi sotte et laide que moi dit elle en sanglotant.

Elle se détacha de lui et se mit à courir en direction de la plage. Deacon pris peur et couru derrière elle il la rattrapa juste au bord de l’eau et la saisit par son poignet.

« Tu n’as pas compris, tu ne ma pas laisser finir ma phrase. Écoute moi Bridget. Je ne veux pas demander le divorce c’est même tout le contraire, je t’aime et je veux sauver notre mariage. Je te demande, non, je te supplie de me laisser une seconde chance, de nous laissez une chance je suis sur que nous pourrions arriver »

Elle le regarda interloquée

« Tu veux sauver notre mariage, tu veux vivre avec moi ? »

Il lui sourit, la saisit par la taille et lui donna un rapide baiser sur les lèvres.

« C’est exactement ce que je veux, je t’aime ma chérie et je veux vivre avec toi jusqu'à la fin de notre vie et même au-delà. Je veux que tu deviennes la mère de mes enfants présent et à venir

« Deacon », murmura t’elle.

Il mit un genou à terre et lui saisit sa main gauche entre ses deux mains.

« Bridget Forester Sharp, je t’ai demandé une première fois en mariage pour des mauvaises raisons et tu as dit oui. Aujourd’hui c’est un homme amoureux qui se jette à tes pieds pour te demander de l’épouser»

Tout s’embrouillait dans la tête de Bridget, elle ne savait plus où elle en était. Il y’avait à peine quelques heures elle pensait que son mariage volait en éclat, sa mère, son père et puis Ridge n’avaient eu de cesse de lui dire, et lui répéter encore et encore que Deacon ne l’aimait pas, que jamais il ne l’aimera, qu’il était un homme a préféré les femmes plus mures qui avait de l’expérience sexuellement alors qu’elle était toujours vierge au moment de son mariage. Mais aujourd’hui le voila qui lui disait exactement le contraire, qu’il l’aime qu’il souhaite plus que tout vivre avec elle et qu’elle devienne la mère de ses enfants ; les enfants, les enfants de Deacon, son mari l’homme qu’elle aimait plus que tout au monde comment un tel miracle pouvait t’il se produire, qu’avait t’elle fait pour mériter cela.

« Tu es sérieux ? Es tu sur de vouloir que nous renouvelions nos vœux ?
« Je n’ai jamais été aussi sérieux ni aussi sur de toute ma vie, Bridget je t’aime, je t’aime bien au delà de ce que l’on peut exprimé avec des simples mots. Je t’aime plus que tout au monde plus que la vie elle-même »

« Oui, oui je veux t’épouser oui mon amour je le veux », dit t’elle avec un léger sourire et des larmes de joie coulant sur son visage.

Deacon sortit alors une petite boite de la poche de son pantalon et l’ouvrit. Un magnifique solitaire de 0,5 carat brillait de tout son éclat dans la nuit.

« Permettez moi madame Sharp de l’enfiler à votre doigt »

Elle sourit elle lui tendit sa main sur laquelle il enfila le diamant à son annuaire gauche.

Il se releva et la fit tourner dans ses bras tout en l’embrassant. Lorsque il la reposa au sol il la serra tout contre lui.


« Je ne veux plus jamais t’entendre me dire que tu ai laide, et sotte, tu es belle ma chérie, tu es non seulement belle et de plus très intelligente.

Bridget se blottit dans les bras de son mari, oh comme elle aimait cet homme ! Elle releva sa tête vers lui en lui souriant.

« Je t’aime », lui dit il en la portant dans leur lit où ils firent passionnément l’amour jusqu’au petit matin.