Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
Nombre de messages : 2746 Age : 54 Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon Date d'inscription : 25/09/2007
Feuille de couple Your preferred couple: Bridget et Deacon Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course
| Sujet: chapitre 18 Lun 15 Déc - 20:28 | |
| - Quoi ? fit Bridget stupéfaite de la question - Est-ce Deacon te frappe avant de faire l’amour ? Réitéra Stephanie - Chérie, qui est ce ? Ah c’est vous, Stephanie. Brooke tu es là aussi ? C’est rare de vous voir ensemble toutes les deux Elles ne répondirent ni l’une ni l’autre. Bridget gardait le silence également - Ça ne va pas chérie ? - Tu n’as pas répondu à ma question, Bridget - Parce que elle est abjecte, écœurante, révoltante … - De quoi s’agit t’il ? - Dois je en conclure que c’est faux ? Elle n’eu pas le temps de répondre qu’Eric fit irruption dans la maison - Ah vous êtes là toutes les deux très bien. Bridget fait tes valises je te ramène chez toi auprès de ton fiancé, dépêche toi, le pasteur sera là pour 16 h 00 - Je suis chez moi avec l’homme que j’aime et qui m’aime et je n’irai nulle part avec toi ! - Bridget, arrête de faire l’enfant, tu n’as plus 19 ans, Oscar est prêt à t’épousé malgré tout ce que tu lui a fait subir, par 3 fois tu l’a repousser et malgré tout le pauvre garçon t’es resté fidèle et il est prêt à te pardonner - Le pauvre garçon ? Le mal qu’elle lui a fait, c’est l’hôpital qui se fout de la charité ma parole. Si ce sale type ose encore toucher à une mèche des cheveux de Bridget, je vous prévient je n’hésiterai pas à le tuer ! - Personne ne vous a rien demandé à vous, tout ceci ne vous regarde pas ! - Tout ce qui touche à Bridget me concerne - Elle n’est plus votre femme si tant est qu’elle jamais été après tout le mal que vous l’aviez fait - C’est de l’histoire ancienne et Bridget ma pardonné - Je ne fais pas allusion à ce qui c’est passé avec Brooke mais depuis le début de votre relation avec ma fille - Bon sang, j’aimais Bridget, j’étais incapable de m’en rendre compte parce que j’ignorais alors ce que l’amour signifiait - C’est pourquoi vous l’avez violé ? - Vous êtes sur de ne pas me confondre avec Oscar ? - Deacon ne ma jamais fait ce dont tu l’accuse, c’est Oscar qui ma violé, lui et non Deacon - Ça suffit, Bridget ! Cesse de protéger ce sale individu, nous tous ici savons comment il te traite avant de faire l’amour. Seulement quand c’est lui, tu n’a jamais crié au viol. Tu n’as dit à personne ce qu’il te faisait parce que venant de lui tu l’acceptais. Comment va tu faire maintenant qu’il n’est plus bon à rien… - La ferme, Papa ! Hurla t’elle tellement fort qu’a l’autre bout de la maison, le Petit Eric l’entendit et accouru - Maman, qu’est ce qui ce passe, je t’ai entendu crier - Rien qui te concerne, mon ange, je dois juste avoir une conversation avec ton grand père - Tu es sur que ça va ? - Puisque on te dit que ça va, fiche le camp d’ici ! - Je t’interdis de parler sur ce ton à mon fils ! Le petit prit peur et se mit à pleurer. Deacon consola immédiatement son fils, Bridget se joignit à lui - Hey, fiston, je suis là maintenant, c’est à moi de prendre soin de ta maman. Tu n’as plus à la protéger, c’est mon boulot - Papa a raison, mon cœur, c’est à moi de veiller sur toi et non le contraire. Tu t’en souviens je t’en avais déjà parlé après l’accident de Papa - Oui - Si tu allais jouer dans ta chambre, ta mère et moi nous passerons des que nous en aurons finit - D’accord. Je t’aime, Maman - Moi aussi, je t’aime mon ange, dit t’elle en l’étreignant Deacon sourit en voyant la femme qu’il aimait plus que tout au monde et son fils tendrement enlacé comme peut l’être une mère et son enfant. Lorsque il fut hors de vu, Bridget se retourna vers son père, les yeux rouge de colère - Tu es content maintenant, tu as fais pleurer un enfant innocent - Laisse cet enfant avec son père et toi suis moi - En quelle langue, faut t’il te le dire. JE N’IRAI NULLE PART, je suis ici chez moi avec ma famille. J’aime Deacon et c’est avec lui que je veux vivre - Moi vivant, jamais je ne te laisserai vivre avec un homme qui te bat - Je n’ai jamais levé la main sur une femme de ma vie et encore moins sur la femme que j’aime - Ah non, vous ne l’avez jamais battu, seulement avant de faire l’amour ou plutôt avant d’avoir des rapports sexuels avec ma fille - Comment ? dit t’il stupéfait - Inutile de le nier, je connais la vérité, Oscar ma tout racontait. Il ma dit qu’a cause de vous, Bridget refusait de faire l’amour sans avoir été battue auparavant, d’où la présence des hématomes puisque il était obligé de tapé toujours de plus en plus fort et toi, toi, oui toi, pendant ce temps là, tu criais à qui veut l’entendre qu’il t’avait violé et battu dans le seul but de cacher au monde tes pratiques perverses apprise par ce voyou - Ce n’est pas vrai ! Tout ceci n’est qu’un tissu de mensonge ! Deacon et moi n’avons jamais fait cela, jamais ! - Quel genre d’homme êtes vous donc ? Quel genre de père êtes vous donc ? Que vous me détestiez passe encore mais comment pouvez vous croire une chose pareille au sujet de Bridget ? Pour qui la prenez vous ? Une vulgaire prostituée ? Vous me dégoûtez à pouvoir penser des choses pareilles sur Bridget. Je n’ai jamais fais ce dont vous m’accusez avec aucune femme, pas même avec mes aventures d’un soir alors encore moins avec la femme dont je suis éperdument amoureux
Quelques heures plus tard
Bridget était assise sur le canapé du salon, les yeux hagards, Deacon s’approcha d’elle, il se souleva de la chaise roulante et s’installa sur le fauteuil à ses cotés, il prit ses mains dans les siennes - Ça va ma chérie ? Bridget secoua la tête - J’en sais rien. Comment ont t’ils pu croire à une chose pareille ? Je suis désolée, mon amour - Désolée de quoi ? - De tout ce que ma famille te fais endurer. Je ne suis pas certaine que tu ai fais une bonne affaire en tombant amoureux de moi, peut être aurais tu été plus heureux sans moi après tout - Bridget, tu es ce qui m’est arrivé de mieux dans la vie, avant toi je n’étais rien, tu as fais de moi un homme digne de ce nom. Je t’aime Bridget Il pencha sa tête vers elle et l’embrassa - Moi aussi, je t’aime Elle posa sa tête sur son épaule - Serre moi dans tes bras Deacon la serra au maximum de ses forces, il avait tellement envie de faire l’amour avec elle : il aimait tellement cette jeune femme mais rien, toute sa partie inférieure restée inerte. Bridget comprit sa frustration et l’embrassa - Ça va allé mon amour, il y’a mille moyens de faire l’amour. La nuit d’hier a été fabuleuse - Mais ça ne suffit pas, chérie, j’ai envie de toi, tout mon être te réclame, ma tête et mon cœur disent oui mais mes fonctions motrices ne répondent pas. Un soir où j’étais mal, j’ai cru reprendre espoir, j’ai entendu à la télé un homme, un médecin qui parlait des gens dans ma situation, par chance il se trouvait à Sacramento, je l’ai contacté mais cela n’a rien donné de bon. Ma situation est irréversible - Pardon, mon amour, si tu savais comme je m’en veux, tout ceci est arrivé à cause de moi, si je n’avais pas été là ce jour là, tout ceci ne serait jamais arrivé, je ne serais pas partie pour annoncer à Oscar que tout était finit entre lui et moi et toi tu n’aurais pas eu à me sauver la vie - Non, Bridget, mon amour je t’interdit de dire voir de penser une chose pareille, rien de ce qui est arrivé n’est de ta faute. Je t’aime et si c’était à refaire je le referais sans hésiter même en sachant ce qui arrivera - Moi aussi je t’aime
Quelques semaines plus tard, Hôpital Universitaire
Deacon était passé chercher Bridget ce soir là lorsque Mark passa dans les couloirs - Deacon, Bridget en a encore pour quelques minutes, elle termine avec un patient - Entendu - Deacon ? - Oui ? - Puisque vous êtes là, pouvez vous me suivre jusqu'à mon cabinet - Pourquoi ? - J’aimerais vous parler de quelque chose - J’ai promis à Bridget de l’attendre ici - Je vais la biper ne vous inquiétez pas, elle pourra vous retrouvez dans mon bureau
Cabinet de Mark
- J’ai bien cru voir un fantôme le jour du mariage Deacon se mit à rire - Oui, j’imagine - Deacon. J’ai eu accès à votre dossier médical, le Dr Cooper me la faxé étant donné que je fus votre premier médecin après votre accident, de plus Bridget est une de mes étudiantes, des plus douée, je dois dire Deacon sourit - La médecine est bien plus qu’un travail pour elle, c’est une vocation : aider son prochain c’est tout Bridget - J’ai bien étudié votre dossier, Deacon, il y’a peut être une possibilité pour que vous puissiez remarcher un jour - Non, c’est impossible, les médecins de Sacramento ont tous été unanime : jamais je ne remarcherai - Avec un traitement classique vous avez raison mais il existe un traitement encore au stade expérimental qui a donné d’excellents résultats en laboratoire sur des rats et des cochons - Un traitement expérimental ? - Si vous acceptez vous seriez le candidat idéal pour expérimenter cette nouvelle technique sur un être humain. Tenez tout est expliqué ici, dit t’il en lui tendant un dossier Deacon était abasourdi par la nouvelle : il y’avait donc un espoir de remarcher un jour ? Il n’en revenait pas - Je, je dois en parler à Bridget - Je comprends mais ne soyez pas trop long à prendre une décision, plus le temps passe moins l’opération aura de chance de réussite
Couloir de l’hôpital
- Chéri, pardon d’avoir été aussi longue, j’étais prise avec un patient Elle se pencha vers lui et l’embrassa, ce dernier lui sourit et l’embrassa en retour - Comment était t’il ? - Qui donc ? - Bien ton jeune malade qui ne voulait plus te lâcher, dit t’il en lui souriant - Jeune, beau et blond, répondit t’elle en s’amusant - Blond ? Elle éclata de rire et l’embrassa - Je t’aime - Je t’aime aussi - On rentre chez nous ? Attend je vais te pousser tu veux bien ?
Maison de Deacon et Bridget quelques heures plus tard
Après avoir finit de ranger la vaisselle, Bridget vint s’installer sur le fauteuil au coté de Deacon, Eric passait la nuit chez un copain d’école. Deacon, resté silencieux, Bridget s’en rendit compte - Ça ne pas, mon amour ? Tu n’as pas dit un seul mot depuis notre retour, pas même durant le dîner, tu n’as pas aimé ? - Si bien sur, c’était délicieux, tu es devenue une excellente cuisinière Bridget sourit et l’embrassa, Deacon l’embrassa en retour - Qu’est qui te tracasse, tu veux m’en parler ? - Pendant que je t’attendais, j’ai croisé Mark dans les couloirs - Ah oui ? - Il n’en revient toujours pas que je sois en vie Bridget se mit à rire - Oui, je sais, il faut dire que ton cas, mon chéri, relève tellement du miracle, nous t’avons cru mort - Je suis désolée, ma chérie de tout ce que tu dû endurer par ma faute - Mais non, mon amour, tu n’y es pour rien, tu ne pouvais pas savoir Ils s’embrassèrent - De quoi avez-vous parlé Mark et toi ? - De mon accident, de ma paralysie et… Deacon marqua une pause, d’un traitement expérimental qui me permettrait de retrouver l’usage de mes jambes. Tient chérie, lit ça, je n’ai pas tout compris mais j’aimerais avoir ton avis Il lui tendit le dossier, Bridget, intriguée, commença à le lire. Lorsque elle eu finit elle posa le dossier sur la table à coté du sofa et regarda Deacon - Tu ne vas pas accepter ? - Pas son ton accord, mais chérie, si ce traitement réussi je redeviendrai un homme, un vrai, un homme capable de te faire l’amour et te donner des enfants, sans parler de toutes les autres choses quotidienne qu’un homme normal peut faire - Nous faisons déjà l’amour, nous avons un merveilleux petit garçon et tu es un homme normal ! - Tu sais très bien ce que je veux dire. Bridget je t’aime, tu n’imagines pas à quel point c’est dur de m’endormir chaque nuit près de toi, de te sentir, de te toucher, de t’embrasser, te caresser sans pouvoir aller jusqu’au bout - Et sait tu a quel point ce fut dur de te croire mort, de me dire que je ne te reverrai jamais plus, plus jamais je n’entendrai le son de ta voix, plus jamais je ne pourrais te parler, de toucher, de te sentir près de moi, même lorsque nous n’étions pas dans la même pièce. Aujourd’hui je remercie chaque le Ciel de t’avoir rendu à la vie et d’avoir pu nous retrouver. Deacon, je ne veux pas te perdre encore une fois, je ne pourrais pas le supporter. Quand aux enfants, il existe une solution - Si tu vas encore me parler d’adoption la réponse est non ! Je veux des enfants avec toi et de toi - Moi aussi je veux des enfants de toi, mon amour, nous pouvons avoir recours à l’insémination artificielle. Tu ne sentiras rien, c’est absolument indolore et je serai enceinte - Concevoir notre enfant dans un laboratoire, c’est ça que tu veux ? J’ai conçu Eric dans une chambre d’hôtel avec Becky alors que nous n’étions pas amoureux et Hope, si toutefois c’est ma fille…. Bridget je refuse de concevoir notre enfant dans une éprouvette. As-tu vu les résultats ? Plus de 70 % des rats atteint par cette maladie sont guérit. Plus de 70 % Bridget - Mais tu n’es pas un rat ! Tu es un être humain et à ce jour aucun homme n’a encore été testé. - Il faut un début à tout - Deacon, je refuse de te voir servir de cobaye - Bon sang, Bridget, si je le fais c’est pour nous, pour toi, pour moi, pour Eric et pour nos futurs enfants - Non, Deacon, tu veux le faire pour toi à cause de ton orgueil démesuré, ce même orgueil pour lequel tu as préféré me mentir et me faire souffrir en prétendant être fou amoureux d’une autre femme plutôt de me dire la vérité - C’est faux ! J’ai agis ainsi pour te protéger - Protéger de qui, de toi ? - Je voulais plus que tout au monde te voir heureuse - Encore une fois on en revient toujours au même point, Deacon, je t’aime, toi et pas un autre et je ne serai jamais heureuse sans toi - Moi aussi, je t’aime et c’est pourquoi je veux tenter cette opération afin de pouvoir remarcher, courir, te prendre dans mes bras comme avant lorsque tu t’asseyais sur mes genoux, tu t’en souviens ? - Bien sur, je m’en souviens - Tu es donc d’accord pour que je subisse cette intervention - Non ! - Grand Dieu pourquoi ? Je croyais que tu avais compris - Compris ? Mais comprendre quoi ? Comprendre que l’homme que j’aime veut risquer sa vie une fois encore pour se prouvait qu’il est un homme ? - De la part d’un futur médecin, je m’attendais à plus d’encouragement, dit t’il furieux - Je ne suis pas ton médecin, Deacon, je suis ta femme ou du moins je l’étais et j’espérais l’être à nouveau - Et tu le seras - Quand ? - Des que je serai à nouveau sur pieds Bridget leva les yeux au ciel et quitta la pièce | |
|