The Bold and The Beautiful Bridget et Deacon forever fan fiction sur l'histoire d'amour de Bridget Forreter & Deacon Sharpe |
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| Chapitre 11 | |
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Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
Nombre de messages : 2746 Age : 54 Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon Date d'inscription : 25/09/2007
Feuille de couple Your preferred couple: Bridget et Deacon Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course
| Sujet: Chapitre 11 Mer 11 Fév - 16:09 | |
| Deacon mit le contact et prit la route aussi vite que lui permettait la limitation de vitesse. Son cœur battait à la chamade. Enfin, il savait où se trouver Bridget. Ils allaient enfin se retrouver. Cependant il se doutait que cela ne serait pas facile, il ressentait comme un nuage noir au dessus de sa tête. Non il ne devait pas perdre espoir, Bridget, « Sa Bridget » avait besoin de lui. Il n’aurait su dire pourquoi mais il le ressentait au plus profond de lui-même.
A l’aéroport
Rick et CJ étaient dans le jet des Forrester prêt à décoller lorsque le pilote vient leur parler - Mr Forrester, Mr Garisson, je suis désolé mais nous n’allons pas pouvoir décoller comme prévu - Pourquoi cela, demanda Rick - Il y’a une grève subite des aiguilleurs du ciel - Et combien de temps va-t-elle durer ? - Je l’ignore mais quoique il en soit cela ne sera pas pour aujourd’hui
Rick soupira
- Qu’allons nous faire ? - Je n’en sais rien - Bien puisque nous sommes contraint de rester encore ici quelques temps, profitons en pour visiter un peu le pays. De plus nous avons toujours où dormir - Mais j’espère être rentre à temps pour le dîner de fiançailles - Je croyais que tu n’aimais pas Nick ? - En effet mais ma sœur l’aime et c’est qu’il compte - En parlant de ta sœur, je me demande ce que fait Deacon en ce moment
La maison d’Oz
Deacon arriva enfin de la maison d’Oscar. C’était une grande maison typiquement dans le style danois. Il pénétra dans la propriété lorsque la sécurité l’arrêta - Halte là, ou allez vous comme cela, c’est une propriété privé ici dit l’un des agents de la sécurité Deacon rassembla tout son calme afin de ne pas montrer son anxiété - Excusez moi, je ne comprend le danois, je m’appelle… il se rappela le non qu’il avait inventé aux deux hommes assis au bar, Brian Dimera, je suis un ami du propriétaire, Oscar Marone. Je suis chargé par son oncle, Massimo Marone, de lui remettre un message - Quel preuve avons-nous de ce que vous prétendez ? - Le mot de passe est « Bridget » - Très bien passez !
Deacon pénétra à l’intérieur des terres. C’était immense
- Seigneur, je suis prêt du but, aidez moi à la retrouver saine et sauve
Enfin il atteignit la maison. Il coupa le contact et se dirigea vers la porte d’entrée. Il était prêt, prêt à se battre si il fallait pour sauver Bridget, car il en était persuadé qu’Oz la maintenait contre son gré. Il fit le tour du propriétaire lorsque il découvrit une porte latérale restée ouverte. Il pénétra à l’intérieur et fit le tour du propriétaire. La maison était immense presque aussi grande que le Manoir des Marone à Los Angeles. Elle était meublée dans le plus pur style danois. Soudain, une photo attira l’attention de Deacon, elle était posée sur le rebord d’une table basse : C’était une photo de Bridget et Oscar prise à l’occasion de leur dîner de fiançailles il y’a quelques années chez les Marone. Soudain des hurlements l’alertèrent
- Lâche moi, tu me fais mal ! Arête !
Puis il entendit des coups. Quelqu'un se faisait battre
- Ne me touche pas ! NON !!!!! Oh mon Dieu ! C’est Bridget, se dit t’il à lui-même. Son sang ne fit qu’un tour dans ses veines et il s’élança dans la maison guidée par les hurlements de terreur qu’il entendait.
- Je refuse, je refuse ! Pour rien au monde je ne veux avoir d’enfant avec toi. Je ne t’aime pas et ne t’aimerai jamais ! Oscar la gifla si fort qu’elle en perdit l’équilibre - Tu finiras par m’aimer mais avant tu vas me donner ce que je veux. Il commença à défaire son pantalon. Bridget eut la présence d’esprit de lui assener un coup de pied sur son pénis. Oscar se courba de douleur. Elle s’élança alors à l’extérieur de la chambre. Elle était dans un état second. Elle se cogna à Deacon qui arrivait par la direction opposée. Ce dernier la saisit. - Non lâchez moi, s’il vous plait lâchez moi, laissez moi sortir d’ici, criait elle tout en se débattant - Bridget, ma chérie, mon amour, c’est moi, c’est moi, c’est Deacon, c’est moi, mon amour, dit il les larmes aux yeux tout en la serrant contre lui. Bridget commença à revenir à elle et le regarda - Deacon, c’est toi, c’est bien toi ? - Oui, mon amour, c’est bien moi. Je suis là maintenant. C’est finit, tout est finit quoique cet ordure est pu te faire, il ne fera plus jamais de mal. C’est finit mon amour, tu n’as plus à avoir peur.
A travers leurs larmes, leurs lèvres trouvèrent le chemin l’une de l’autre et ils s’embrassèrent. Dans la chambre où il maintenait Bridget captive, Oscar commençait à reprendre ses esprits et se releva tant bien que mal
Retour sur Bridget et Deacon
- Il faut partir maintenant, mon amour, ma voiture est là, peut tu marcher ou préfère tu que je te porte - Ça ira Il la serra aussi fort que possible et l’embrassa sur ses lèvres - Je t’aime - Je t’aime, moi aussi, répondit t’elle - Allez vient, ma chérie, il faut partir à présent
Ils descendirent les marches aussi vite que possible, mais alors qu’ils arrivaient à la porte d’entrée, Oz qui s’était remis réussi à les rattraper en prenant un chemin parallèle et leur barra le passage.
- Vous n’irez nulle part tout les deux. Bridget est à moi, à moi seul et elle va le rester ! Quand à toi, Deacon, tu vas rester là jusqu'à la naissance de notre fils à Bridget et moi. Tu auras le plaisir de voir la femme que tu aimes donner naissance à un enfant à un autre homme. Ensuite, les vers de terre de mon jardin se feront un plaisir de déguster ce qui restera de ton corps lorsque je t’aurai tué - Non ! Hurla Bridget - Si tu lèves encore une fois tes sales pattes sur elle, c’est moi qui n’hésiterai pas à te tuer - C’est que l’on verra, dis Oz, en décrochant un fusil de chasse du placard - Sauve toi, ma chérie, sauve toi, ma voiture est devant l’entrée. Les portes ne sont pas fermées à clefs et tu trouvera un double dans la boite à gang - Non, mon amour, je n’irai nulle part sans toi ! - Fait moi confiance et fait ce que je te dis, dit t’il en l’embrassant sur ses lèvres - Comme c’est romantique ! Ma fiancée avec son ex mari et ex amant de sa mère, le père de sa demi-sœur, dit Oz sur tu ton ironique - Je ne suis pas ta fiancée, je ne t’aime pas, je ne t’ai jamais aimé. Deacon est l’unique amour de ma vie - Espèce de salle petite traînée, si tu crois que je vais te laisser partir c’est que tu as perdu la tête Il s’approcha d’elle dans le but de la taper mais Deacon à qui le feu était monté à la tête en entendant Oz traitait Bridget de « traînée » lui donna un coup de poing à la mâchoire, ce qui le fit saigner et le mis dans une rage folle. Il s’empara alors du fusil et le pointa vers Deacon - Sauve toi, mon amour, je t’en supplie fait ce que je te dis - Non, Oz, laisse en vie, c’est entendu je ferai ce que tu voudra mais laisse le s’en aller - Non, Bridget ! Je t’ai déjà perdu 2 fois, je ne veux pas te perdre une fois de plus. Ma chérie ma vie ne rime à rien si tu n’es pas à mes cotés Bridget le regarda droit dans les yeux. Les larmes coulaient sur ses yeux. Deacon saisit ses mains dans les siennes - Je ne veux pas te perdre moi non plus mais si je ne fais rien il te tuera - La mort n’est pas pire que de savoir avec cette ordure, Deacon l’embrassa sur les lèvres, Je t’aime, dit t’il en l’embrassant de nouveau - Je t’aime, moi aussi. - Tout ce passera bien, dit Deacon tout bas à l’oreille de Bridget - Bon c’est bientôt finit ces roucoulements, tu fout le camp ou je te tue des maintenant ! Dis Oscar - Si tu imagines que je vais partir en laissant la femme que j’aime entre tes salles pattes c’est que tu rêves - Alors tu ne me laisses pas d’autre choix que de tuer - Si tu le tue alors tu moi également. Même la mort est préférable au fait d’être ta prisonnière et surtout de vivre sans Deacon - Tu pourrais ne plus être ma prisonnière. Il te suffirait de devenir ma femme - La mort est préférable - Jamais je ne te tuerai, je t’aime et je veux que tu sois ma femme - Tu ne m’aime pas, tu es incapable d’aimer qui que soit dans ta vie excepter toi. Tu veux me posséder et aussi que je devienne la génitrice de tes héritiers. Mais tu peux aller au diable, jamais au grand jamais je ne te donnerais ce que tu veux Pendant ce temps là, Deacon ne l’avait pas lâché d’un pouce, il la tenait par sa taille en la serrant fort contre lui - Ton comportement est celui d’un lâche : tout d’abord tu retient une femme contre son gré, tu abuse d’elle et la martyrise et a présent tu nous menace avec un fusil de chasse. Tu n’es même pas foutu de te battre d’homme à homme - Alors comme ça tu veux te battre avec moi à présent, mais si je refuse, dit Oscar en pointant son fusil sur Deacon Bridget pris peur mais Deacon la serra encore plus fort, puis soudain d’un coup de pied il fit tombe le fusil et l’envoya balader à l’autre bout de la pièce. Fou de rage, Oscar se jeta sur lui. Les deux hommes en virent aux mains. Bridget mourait de peur pour Deacon.
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| | | Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
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| Sujet: Re: Chapitre 11 Mer 11 Fév - 16:14 | |
| Retour sur Rick et CJ
- Le mieux est de lui téléphoner, dit CJ - Pas maintenant. Puisque nous sommes coincés ici autant en profiter et faire du tourisme autrement il va nous entraîner à la chasse aux fantômes CJ se mit à rire - Dans un sens j’aurais aimé qu’il ait raison. Je suis désolé d’avoir à répéter cela mais je n’aime pas du tout ce que Bridget est devenue - Moi non plus, mais que pouvons nous y faire. Ma sœur a changé c’est ainsi nous devons l’accepter. Si Deacon pouvait en faire autant et passé à autre chose - Et accepter qu’elle soit amoureuse de Nick ? Cela m’étonnerai. Il n’a jamais accepté sa relation avec Oz et tu voudrais qu’il accepte Nick ? Rick se mit à rire - Ouais tu as raison, et dire que je n’étais pas ravi lorsque ils étaient mariés je n’étais pas ravi de l’avoir pour beau frère. Si j’avais su ce qui m’attendait
Maison d’Oscar
Deacon avait pris le dessus et rué Oscar de coup. - Ça c’est pour l’avoir séquestrée pendant des années, celle-ci c’est pour avoir abuser d’elle ; et Deacon continua ainsi jusqu'à ce Bridget l’appela - Deacon, arrête, ça suffit, mon amour, je t’en prie ne te salit pas les mains pour lui il n’en vaut pas la peine Deacon s’arrêta et saisit Bridget dans ses bras et l’embrassa - Mais toi, tu en vaux la peine, tu mérites qu’un homme se batte pour toi, dit t’il en l’embrassant sur les lèvres Bridget le regarda de ses grands yeux bleus et l’embrassa - Je t’aime - Je t’aime moi aussi Leurs lèvres se rapprochèrent et se joignirent l’une à l’autre. Lorsque leurs lèvres se séparent, Deacon et Bridget regardèrent Oscar allongé au sol évanoui - Il va falloir prévenir la police, dit Deacon Bridget posa sa tête sur la poitrine de Deacon. Ce dernier lui donna un baiser à cet endroit. Elle sourit - Tu m’embrassais souvent ainsi lorsque nous étions mariés Il sourit à son tour et la serra encore plus fort contre lui. Ils restèrent ainsi pendant quelques minutes, trop peu à leur goût. Après toutes ces longues années de séparation ils avaient envie de rester dans les bras l’un de l’autre, mais Deacon pris son portable et le donna à Bridget qui composa le n° de la police. Quelques minutes plus tard la police était là - Je suis Bridget Forrester c’est moi qui vous ai téléphoné. Cet homme, coucher au sol, se nomme Oscar Marone. Il ma séquestré et violer pendant des années - Forrester dites vous ? - Oui, veuillez excuser mon mauvais danois mais je n’ai pas eu le temps d’apprendre votre langue - Aucun problème je parle très bien votre langue, dit l’agent dans un anglais parfait, êtes vous apparenté à Eric Forrester des Créations Forrester ? - En effet, c’est mon père - Votre père dites vous. Et vous dites que Mr Marone vous a séquestré pendant plusieurs années - Oui il ma maintenu captive dans une pièce de cette maison - Puis je voir cette pièce ? Bridget regarda Deacon afin qu’il lui montre le chemin car elle ne le connaissais pas. Lorsque Oscar l’avait enfermé dans cette pièce elle était évanouie car il l’avait battu en apprenant qu’elle voulait rompre. Depuis elle n’en était plus jamais ressortie jusqu'à aujourd’hui - Je vais vous montrer le chemin, dit Deacon - Puis savoir qui vous êtes ? - Mon nom est Deacon Sharpe, Bridget est ma fem…fiancée finit t’il par dire - A voir votre visage je suppose que vous vous êtes battus avec Mr Marone - Oui en effet. Oscar ne voulait pas nous laissez partir. Non content d’avoir séquestré mon épous je veux dire ma fiancée durant des années et l’avoir violée, il nous a ensuite menacé d’une arme que vous pouvez voir dans le salon - Mes hommes sont entrain de s’en occuper en recherchant des empreintes d’ADN. Puis je voir cette chambre dont vous me parliez Mlle Forrester - Mon fiancé va vous nous y conduire C’était un tel labyrinthe que Deacon eu du mal à retrouver le chemin. Lorsque enfin ils s’arrêtèrent devant la porte d’entrée restée ouverte depuis le matin. Bridget eu comme un malaise en se retrouvant dans cette pièce. Deacon qui n’avait pas quitté Bridget des yeux s’en rendit compte. - Ça va ma chérie ? Veux tu un verre d’eau ? - Non, tout ce que veux c’est que l’on en termine au plus vite et qu’on puisse enfin partir d’ici L’inspecteur jeta un regard à la pièce. Les murs étaient peints en blanc sans aucun tableau décoratif. Il y’avait un lit double, une armoire, une table, une chaise, un placard, une armoire. La chambre communiquait avec une salle de bain faisant également office de cabinet de toilette. Aux fenêtres étaient suspendu des voilages mais pas de doubles rideaux. Enfin l’attention de l’inspecteur fut retenue par les barreaux. Il essaya en vain d’ouvrir la fenêtre. - Oscar a fait installé un verrouillage électronique. Il n’y a que lui qui en possède le code - Je vois. Il alla inspecter la porte d’entrée et voulu la fermer - Attention, ne la fermez surtout pas sinon nous ne pourrons plus jamais sortir d’ici ! La porte était aussi blindée que celle d’une banque. L’inspecteur alla alors inspecter la salle de bain, mais celle-ci ne possédait qu’une toute petite lucarne que même un enfant de 5 ans ne pourrait passait. De plus elle avait elle aussi des barreaux. Deacon regarda Bridget et la serra dans ses bras en lui donnant un baiser sur la tête - Ça va aller mon amour, ce cauchemar sera bientôt derrière nous, des que nous en aurons finit avec la police, nous irons à mon hôtel et ensuite nous prendrons le premier vol pour Los Angeles Bridget lui sourit et leurs lèvres se rejoignirent - Quelque chose m’étonne, Mlle Forrester, si comme le prétendez Mr Marone vous a retenu prisonnière dans cette pièce durant des années, pourquoi votre famille n’as telle pas signalée votre disparition - Puis je répondre à cette question, Inspecteur, je ne pense pas que ma fiancée détienne la réponse a votre question - Alors que vous oui ? - Oui en effet, je connais la réponse - Eh bien allez y dites moi, je suis curieux de l’apprendre - Chérie, ce que je vais dire risque de te faire un choc et surtout de te blesser profondément - Je suis prête à tout entendre, je veux savoir moi aussi pourquoi ils n’ont jamais rien fait pour me sauver - Oscar a tout prévu. Il a envoyé une fille à Los Angeles se faisant passé pour toi. Ils ont inventé toute une histoire d’accident, de chirurgie esthétique afin d’expliquer ce nouveau physique - Et ils l’ont cru ? dit Bridget avec un nœud dans la gorge - Oui, chérie, ils l’ont cru - Alors pour une fois Oz n’avait pas mentit. Elle posa sa tête sur la poitrine de Deacon et éclata en sanglot. Deacon lui caressa ses cheveux comme il avait tendance à le faire à l’époque de leur mariage. Il l’aimait tellement fort. A cet instant précis il n’avait qu’une envie c’était de la prendre dans ses bras et la serrer aussi fort que possible afin d’apaiser son chagrin. Mais il savait que malheureusement il était impuissant. Ses abrutis de parents n’avaient pas fait la différence entre une usurpatrice et leur propre fille ! - Et vous, Mr Sharpe, pourquoi n’êtes vous pas venu plus tôt ? Vous semblez tenir énormément à Mlle Forrester - Non, inspecteur, je ne tient pas à Mlle Forrester, je l’aime c’est complètement différent. Et pour répondre à votre question, je serais venu plutôt bien plutôt croyez moi, si seulement j’avais su ce qui ce tramait et si j’avais pu. Pensez vous vraiment que j’aurais laisse la femme que j’aime plus que tout au monde se faire maltraiter par cette ordure d’Oscar Marone - Vous ne semblez pas beaucoup l’apprécier - Ne pas l’apprécier c’est un euphémisme. Oscar Marone fait partit du grand banditisme, c’est un mafieux - Avez-vous des preuves de vos allégations ? - Cherchez donc dans vos dossiers et vous verrez - Très bien, Mr Sharpe, cependant vous n’avez pas répondu à ma question. Puisque vous aimez tellement Mlle Forrester, pourquoi n’êtes vous pas venu plutôt, qu’est qui vous en a empêchez ? - Je suis alcoolique, inspecteur, mais j’avais arrêté de boire depuis très longtemps lorsque j’ai replongé Bridget qu’il tenait toujours contre lui releva sa tête et le regarda. Deacon l’attira un peu plus contre lui puis poursuivit - J’ai fait une cure de désintoxication, du moins c’est que je pensais avoir fait, mais j’avais toujours autant envie de boire sans que je sache pourquoi. Et puis un jour j’ai découvert la vérité. Une infirmière versait de l’alcool à mon insu dans mes médicaments - Une infirmière dites vous ? - En effet - Qu’avez-vous fait ensuite ? - Je me suis enfuis de la clinique et je suis retourné chez moi à Los Angeles dans l’espoir de retrouver Bridget et c’est là que Stephanie Forrester ma tout expliqué sur ce que vous ai raconté au sujet de la femme se faisant passé pour Bridget - Donc toute sa famille croit qu’elle va bien et qu’elle vit près d’eux - En effet - Et vous ? Qu’est qui vous a conduit jusqu’au Danemark en ce cas puisque pour tout le monde Bridget est à Los Angeles - Je vous l’ai dit, j’aime cette femme ici présente, je l’aime plus que tout au monde. Je donnerai ma vie pour elle si besoin est et j’ai immédiatement compris que ce n’était pas elle. J’ai donc entamé des recherches dans le but de la retrouver mais au moment où je touchais au but, que j’avais la preuve que je recherchais, j’ai été victime d’un accident de la route qui au final après enquête menait par mon beau frère et son ami, Mr Rick Forrester et CJ Garisson, il ne s’agissait pas d’un accident mais bel et bien d’une tentative d’assassinat. - Diligenter par Mr Marone j’imagine - Je n’ai aucune preuve mais qui à l’exception d’Oz aurait intérêt à me tenir éloigné de Bridget - Ce qui signifie qu’il a donc des complices - A commencer par cette fille, cette usurpatrice dont j’ignore tout jusqu’au nom - Entendu Mr Sharpe, je vous remercie pour tout. J’imagine que vous devez avoir hâte de vous retrouver seul avec Mlle Forrester. J’en ai terminé. Je vais transmettre tous ces renseignements à mon chef et je présume vu que vous êtes tous trois citoyens américains que cela sera transmit au FBI - Nous pouvons partir alors ? - Vous êtes libre de partir quand vous le voudrez. J’espère qu’un jour vous reviendrez, Mlle Forrester ainsi que vous Mr Sharpe, dans notre si beau pays dans des meilleures circonstances Deacon sourit, il l’enlaça Bridget par son cou et tous deux s’apprêtèrent à partir lorsque l’inspecteur les rappela - Encore une chose, Mr Sharpe, si j’étais de vous je prendrez bien soin d’elle autrement je serai le premier à tout faire pour qu’elle me regarde de la même manière qu’elle le fait avec vous Tout deux se mirent à rire - Vous n’avez aucune chance. Il n’y a aucun risque pour que cela arrive, dis Deacon en riant. Tu es prête mon amour ? Tu n’as besoin de rien ? - Je n’ai besoin que de toi Il l’embrassa sur les lèvres - Allons nous en. Je passe à l’hôtel récupérer mes affaires et on file à l’aéroport - Le passeport, chéri, je ne sais plus où il est, Oz a du le cacher quelque part - Ne vous inquiétez pas, je préviendrai la police des frontières de vous laissez passer - Merci, Inspecteur - Au revoir Md Sharpe et bon retour chez vous Un sourire illumina le visage de Bridget lorsque pour la première fois depuis si longtemps on l’appelait enfin « Md Sharpe » nom qu’elle n’aurait jamais voulu perdre Deacon sourit également en voyant le visage radieux de Bridget à l’énoncé de son nom - Allez, Madame Sharpe, votre carrosse vous attend, dit t’il en lui donnant un baiser Tous deux quittèrent ainsi la propriété d’Oscar Marone. Cette prison dorée.
A l’hôtel
Rick et CJ étaient rentré à leur hôtel. Rick n’ayant pas de trouver de place dans celui auquel sa famille descendait habituellement, du se rabattre sur celui-ci. - Deacon, finalement nous n’avons pas pu partir, une grève subite nous en a empêché - Apparemment nous sommes seuls, constata CJ, Deacon n’est pas encore rentré Rick soupira - Je me demande si un jour il lâchera l’affaire et qu’il se rendra compte qu’il n’y a rien à découvrir, personne a sauvée, Bridget va bien et prépare son mariage avec l’homme qu’elle aime : Nick Marone C’est à ce moment précis que Deacon franchis la porte, Bridget étant juste derrière lui - Ah enfin te voila, CJ et moi on est revenu car nous n’avons pas pu décoller a cause d’une grève… Rick aperçu Bridget | |
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