Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
Nombre de messages : 2746 Age : 54 Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon Date d'inscription : 25/09/2007
Feuille de couple Your preferred couple: Bridget et Deacon Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course
| Sujet: Chapitre 15 Dim 21 Mar - 0:11 | |
| - Comment comptez-vous vous y prendre ? Avec un chimiste évaporé dans la nature qui prit avec lui les formules chimiques des parfums. - Gordon n’est pas le seul chimiste au monde. - Certes mais le temps d’en trouver un autre, le former… je ne voudrai pas vous paraître pessimiste mais nous perdons de l’argent chaque jour. Notre carnet de commande est vide et l’entreprise est trop récente pour avoir des fideles clientes. - J’en ai conscience, Emily, mais je suis persuadé qu’en retouchant nos manches nous pourrons y arriver. Ma femme est la preuve vivante que tout peut arriver. Les médecins réservaient leurs pronostics et aujourd’hui elle est là, elle se tient devant vous. Je dois avouer qu’elle est à l’origine de cette idée de remettre Sharpe Design sur pieds. - En admettant que vous trouviez un chimiste, il faudra des mois et des mois avant de tout remettre en route et qu’à nouveau de l’argent ne rentre. - Nous le savons, Carolyn, dit Bridget. - Si nous voulons faire des bénéfices alors vous devriez peut être songé à changer de cap en faisant autre chose que des lignes pour enfant. - La ligne Angel fut notre premier succès mais nous avons l’intention d’élargir à l’adolescence et à la femme et ainsi créer des parfums plus sophistiqués avec des prix abordables. - Ce n’est pas à cela que je pensai. Je regrette mais vous ne pouvez pas vous permettre ce luxe. Laissez de coté cendrillon et la belle au bois dormant, il est temps de passer à autre chose de plus compétitif. - Nous ne souhaitons pas faire des produits bas de gamme, ce n’est pas dans ce but que Bridget et moi avons crée cette entreprise. - Ce n’est pas ce Peter veut dire. Nous pouvons rester dans le haut de gamme mais en changeant complètement de registre et de clientèle. - Si vous songé à une clientèle de luxe, nous avons également. - Vous en aviez. Mais clientèle de luxe ou non, nous ne parlons de la même Peter et moi. - Alors expliquez-vous, que vous voulez vous dire ? - Vous ne voyez vraiment pas ? - Ecoutez, Carolyn, je n’ai guère le temps de jouer aux devinettes j’ai un travail monstre qui m’attend sur mon bureau. - Bridget, vous êtes bien la fille de Brooke Logan Forrester ? - Qu’est ce ma mère vient faire la dedans ? Carolyn soupira - Pourquoi ne pas suivre son exemple et créer de la lingerie féminine ? Allant du drap aux ports jarretelles ? Toutes les femmes se l’arracheront et les sex shop achèteront également notre marchandise. Ainsi l’argent rentrera de nouveau. - Et remplacer les fleurs par des produits de synthèse reviendraient aussi beaucoup moins cher, compléta Peter. Bridget fulmina. - Il n’en est pas question ! Jamais nous ne vendrons ce genre d’immondices. - Des immondices ? Vous ne croyez pas exagérer un peu ? Des tas de femmes mettent cela de nos jours. Votre mère la première a créé toute une ligne que je suis d’ailleurs très fière de porter. - Tant mieux pour vous, mais en ce qui nous concerne la réponse est non. En aucun cas nous ne produirons de la lingerie, aussi classe soit t’elle. Notre rêve à Bridget et moi et de créer des lignes que toute femme de toute classe sociale peut se permettre de porter tout en restant élégante et de pouvoir aussi vêtir leurs enfants de manière simple et raffinée. Sans oublier les adolescents qui pourront trouver chez nous une mode faite pour eux par des jeunes comme eux. Pour toutes ces raisons, nous ne vendrons pas de sexe ! - Les Créations Forrester… - Nous ne sommes pas les Créations Forrester. - Rien ne vous oblige à faire du bas de gamme. Oubliez les sex shop et misez une clientèle plus raffinée autant pour la lingerie que les parfums. Nous pourrions gagner énormément d’argent. Bien sur il sera difficile de combler le plus qu’apporte Brooke Logan chez Forrester… - Je viens de vous dire non ! Nous ne vendrons pas de lingerie ! Est ce clair ? - C’est suicidaire. Sharpe Design n’a pas les moyens de se payer ce luxe. - Nous arriverons. Avec du travail et de la persévérance nous y arriverons. - Je ne suis pas d’accord. Je refuse de rester travailler dans une société qui s’enfonce chaque jour dans du sable mouvant. Avec votre obstination ce n’est pas prêt de s’arranger. - Rien ne vous force à rester parmi nous, dit Bridget. - Parfait ! Vous trouverez ma démission sur votre bureau dans une heure. - La mienne aussi. Au fur et la mesure plus de la moitié du personnel quitta l’entreprise.
Bridget se trouvait sur la terrasse. Pensive. Deacon la serra dans ses bras. - On va y arriver. Bien sur cela ne sera pas facile mais nous y arriverons. Nous pouvons tout réussir tant que nous sommes ensemble. Bridget lui sourit en se blottissant dans ses bras. - Nous allons retrousser nos manches, nous travaillerons jour et nuit s’il le faut mais nous sauverons notre rêve, car c’est que Sharpe Design représente : notre rêve. Un jour cette maison reviendra à nos enfants. Notre personnel ne veut plus travailler pour nous ? Bon vent ! Nous en trouverons d’autre plus performant et dans les idéo correspondront aux nôtres. - J’adore ton enthousiasme. Tu as raison nous travaillerons 20 h /24 s’il le faut puisque les enfants ne sont pas là : nous réussirons. Nous ne laisserons pas Gordon et son acolyte l’emporter. Bridget l’embrassa.
Pendant les jours et les semaines, les mois qui suivirent, Deacon et Bridget recrutèrent un nouveau personnel à y comprit un chimiste. Les affaires refleurirent. Bridget et Deacon lancèrent une nouvelle ligne qui marcha encore mieux que la première. A l’exception des enfants qui s’attardaient en Italie, rien ne manquait à leur bonheur. Ils étaient arrivés au stade d’oublier la tentative de meurtre.
Ce jour là, Bridget était exténuée. - Ca va, chérie ? Tu n’as pas beaucoup dormi ces dernières semaines avec le lancment de notre nouvelle ligne. Bridget sourit. - Ca va aller. Je ne suis pas fatiguée. - Hum ? Vraiment ? Tu sais bien qu’il ne sert à rien de mentir : je le repère à mille lieux à la ronde.
Bridget pouffa. - C’est vrai, je suis un peu fatiguée. - Dans ce cas rentrons à la maison. - Ce n’est pas cela, en réalité les enfants me manquent. - Ils me manquent également. - J’aimerais tellement qu’ils rentrent à la maison. - Je le souhaite aussi mais nous nous ne pouvons pas courir ce risque tant que Nancy et son complice erreront dans la nature. - Je sais bien, dit tristement Bridget. - Hey ! Ils vont les retrouver et ensuite nous irons chercher nos enfants. Je te l’ai promis et je tiendrai ma promesse. Bridget l’embrassa. - En parlant d’elle, as-tu eu des nouvelles de l’inspecteur Wilson ? - Rien depuis plusieurs mois. - C’est curieux. - Je sais. Je comptais justement l’appeler. Mais pour le moment nous devrions rentrés à la maison. Tu m’a l’air fatiguée. - Nous avons encore du travail. - Le travail attendra, ta santé passe avant tout. D’ailleurs moi aussi je suis fatigué. Ils étaient sur le point de partir du bureau lorsque le téléphone sonna. - Je vais répondre. Attend moi un instant, dit Deacon. Allo ? - Comment ca va, Deacon ? Le visage de Deacon perdu son attitude sereine. - Nancy ! En entendant le nom de Nancy, Bridget entra au bureau et ferma la porte. - Comme c’est gentil de reconnaître sa maman. - Qu’est ce que tu veux, Nancy ? Ou es tu ? Nancy éclata de rire. - Tu t’imagines sans doute que je vais te dévoiler où je suis pour que tu me dénonce aux Policiers. - C’est toi qui es à l’origine de l’accident survenu à Bridget le mois dernier. Comment connais-tu Gordon ? - Tu deviens intelligent, je te félicite. - Qu’attends-tu de moi, Nancy ? - Que tu me rendes ma vie. - La justice t’a condamnée à la prison à perpétuité. Cela ne dépend pas de moi. - La justice ne m’aurait jamais condamné si tu avais fermé ta ******. - Tu as ce que tu méritais. Je n’ai aucun regret. - Tu joues le fier mais grâce à moi et Gordon tu as tout perdu. Tu ne peux plus jouer dans la cour des grands. Deacon commença à perdre patience. - Je réitère ma question, Nancy, qu’attends-tu de moi ? - Tu le sauras bien assez tôt. Nancy raccrocha. - Nancy! Nancy! Allo! Deacon raccrocha en soupirant. Bridget le regarda. - Que voulait-elle ? - Je n’en sais rien, elle n’a rien dit de très particulier. - Nous devrions avertir l’inspecteur Wilson. Deacon s’empara de son portable et appela l’inspecteur. Une heure plus tard l’inspecteur Wilson était sur les lieux. - Où en est l’enquête concernant la disparation des formules chimique et la tentative de meurtre dont nous fûmes victimes ma femme et moi. - Je dois reconnaître qu’elle est au point mort. L’enquête piétine. Nous avons perdu la trace de Gordon et de votre mère. - Et bien moi j’ai du nouveau : Nancy ma téléphoné il y a une heure environ. - Elle vous a appelé ? Pourquoi ne le disiez vous pas ? Que voulait-elle ? que vous a-t-elle dit ? - Rien de très particulier. Toujours les mêmes sarcasmes qu’après la mort de Georges. - D’où a-t-elle appelé ? Avez-vous vu le n° de téléphone. - Non, le numéro était crypté. - Elle ne vous a rien dit de particulier qui pourrait nous mener à elle ? - Nancy est loin d’être stupide. Elle sait très bien que la police est à sa recherche. - Bien je vais vous mètre sur écoute. Ainsi si elle vous rappelle encore : nous l’aurons. - Vous ne cessez de répéter cela depuis des mois or il semblerait qu’elle trouve toujours le moyen de vous échapper ! L’inspecteur garda le silence quelques minutes. - Il y’a quelque chose que vous ignorez. - De quoi s’agit-il ? - C’est à propos de Gordon j’ai fais des recherches à son sujet. J’ai découvert qu’il appartenait à une organisation criminelle, organisation à laquelle Nancy Brown a adhéré depuis la prison après sa rencontre avec Gordon.
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