Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
Nombre de messages : 2746 Age : 54 Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon Date d'inscription : 25/09/2007
Feuille de couple Your preferred couple: Bridget et Deacon Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course
| Sujet: chapitre 1 Dim 1 Mar - 0:19 | |
| Ce soir là Eric Forrester était rentré de bonne heure du bureau : fatigué il avait décidé de se détendre. Il s’installa en compagnie de Stephanie et Bridget, devant la télévision qui diffusait un vieux western des années 50 lorsque soudain un flash d’information interrompit le programme. « Nous interrompons nos programme en cours afin de vous informer de cette nouvelle qui vient de nous parvenir par nos confrères de CNN à Philadelphie, Pennsylvanie. Deacon Sharpe, l’ex mari de Bridget Forrester ; fille d’Eric et Brooke Logan Forrester des Créations Forrester, vient d’être interpellé et mit en examen par la police de Philadelphie, où il réside, pour trafic de stupéfiant et assassinat d’une prostituée. Les forces de l’ordre ont trouvé dans sa voiture 9 Kg de stupéfiant en tout genre. Il a été jugé positif au test d’alcooltest avec 2 grammes d’alcool dans le sang. S’il est jugé coupable il encourt la peine capitale » - Oh mon Dieu, non ! Pas Deacon ce n’est pas possible il doit y avoir une erreur - Bridget, tu as entendu les informations : Deacon a été arrêté en possession de 9 kg de drogue. C’est un dealer ! - Deacon n’a jamais touché à la drogue de toute sa vie - Soit mais en attendant il en vend à des victimes innocentes, peut être même à des enfants ! - Stephanie a raison et de plus il a tué une femme Les yeux de Bridget fulminaient de colère - Que faites vous de la présomption d’innocence ? Je dois y aller - Bridget non ! Tu ne vas partir en Pennsylvanie ? - Deacon a besoin de moi, Stephanie, je ne le laisserai pas tomber - Tu n’iras nulle part ! Tu m’entends Bridget ? Tu n’iras nulle part je te l’interdis formellement ! - Tu me l’interdis ? Papa, je ne suis plus une enfant ! Deacon a besoin de moi, il est tout seul là bas - Deacon a l’habitude d’être seul ce n’est pas nouveau pour lui - C’est toi qui dis cela, Stephanie ? Toi qui parles tout le temps de la famille, qu’il faut s’entre aider, se soutenir les uns les autres etc. - Deacon n’est pas un membre de notre famille - Stephanie à raison, ce garçon n’est qu’un voyou et il nous a posé assez de problème comme ça. Laisse donc se débrouiller seul. Ce n’est pas notre affaire - Tient donc comme c’est curieux te voila d’accord avec Stephanie maintenant, « Maman » ? C’est une première Bridget insista fortement sur les guillemets. En effet elle en voulait à sa mère, celle-ci ayant été une très mauvaise mère, faisant toujours passé sa libido et ses intérêts personnels avant ses propres enfants. Elle détestait Deacon depuis le début car malgré tous les moyens qu’elle entreprit pour l’aguicher celui-ci resta de marbre et lui préféra Bridget. Ce qui rendu Brooke folle de jalousie contre sa propre fille. - Tu as horreur de Deacon n’est pas ? Car malgré tout tes atouts féminins il ma préféré à toi. Quand à vous deux, Papa et Stephanie, vous ne pouvez le voir en peinture pour la simple et unique raison qu’il ne vient pas de Beverly Hills. Mais je me fiche de tout ça. Je vais de ce pas faire mes bagages et je prendrai le premier vol pour Philadelphie. - Je t’interdis de sortir d’ici pour aller le rejoindre - Comptes tu m’enlever comme tu l’avais fait avec Kristen pour l’empêcher de se marier avec Tony ? - Bridget, si tu passes cette porte, tu n’es plus ma fille : je te déshérite ! - J’en ferai autant ! dit Brooke Bridget resta de marbre : son regard alla de son père à sa mère puis à Stephanie et tourna les talons et se dirigea vers la porte d’entrée. - Bridget revient immédiatement ! Hurla Eric Mais Bridget tourna la clé de contact de sa voiture et partie à vive allure. Durant le trajet elle téléphona à l’aéroport - Une réservation pour votre prochain vol pour Philadelphie : un aller simple s’il vous plait Pause - Première classe ou classe économique peut importe. Il est impératif que je parte aujourd’hui Pause - Parfait, je prendrai mon billet au comptoir à l’aéroport. Pause - Bridget Forr…Bridget Sharpe Arrivée chez elle, Bridget enfila pelle mêle quelques vêtements de première nécessité et fonça à l’aéroport. Elle arriva in extremis avant le décollage. Elle courut dans les couloirs pour atteindre son avion
Philadelphie, Pennsylvanie
A l’audience préliminaire, Deacon avait plaidé non coupable. Le juge avait estimé avoir assez d’éléments à charge pour poursuivre jusqu’au procès. Sa caution avait été fixé à deux millions de $ - Où voulez vous que je trouve une somme pareille ? Demanda t’il à son avocate - Vous pourriez demander à votre belle famille non ? Les Forrester ont largement les moyens de payer deux millions de $ - Je refuse de mêler les Forrester à tout ça - Vous préférez sans doute rester en prison jusqu'à la date du procès ? - Je n’ai pas d’autre solution - Comme vous voudrez ! - Avez-vous une idée de la date où le procès aura lieu ? - Il est trop tôt pour le dire : d’autant plus que les tribunaux sont surchargés et puisque vous avez eu la bêtise de plaider non coupable…pourquoi ne pas m’avoir écouté en plaidant coupable ? J’aurais passé un accord avec le procureur au mieux vous en auriez prit pour trente ans, au pire pour la perpétuité. Vous rendez vous compte que vous risquez la peine capitale ? - Je suis innocent, je n’ai pas tué cette femme et je ne suis pas non plus un trafiquant de drogue - Malheureusement les faits jouent contre vous et je ne sais comment établir votre défense. Garde ! - Raccompagner le prisonnier en cellule, dit l’un des gardes à son collègue Et c’est pieds et mains menottes que Deacon regagna sa cellule de 3m2.
Après près de huit de vol Bridget arriva enfin à l’aéroport de Philadelphie. A peine descendue de l’avion qu’elle loua une voiture et partit en direction de la prison d’État. Elle se précipita à l’intérieur du bâtiment et se rendit directement au bureau des libertés sous cautions - Bonjour, je m’appelle Bridget Forrester, j’aurais aimé savoir à combien s’élève la caution de Mr Deacon Sharpe à moins qu’elle n’ait été déjà payée - La caution de Mr Sharpe s’élève à deux millions de $ et elle n’a pas été réglée - Deux millions de $ fit Bridget abasourdie par la somme. Très bien je vais vous faire un chèque C’est ainsi que Bridget paya la caution de l’homme qu’elle n’avait, au fond, jamais cessé d’aimer. - Je vais donner les instructions afin de libérer Monsieur Sharpe mais cela risque de prendre du temps - J’ai tout mon temps - Très bien
Dans sa cellule, Deacon essayait tant bien que mal de se remémorer les événements qui avait précédés à son arrestation mais il avait tellement bu que tout étaient flou dans sa mémoire. Seuls quelques flashes lui revenaient de part et d’autre. Il se revoyait sortir de cet hôtel miteux où il avait passé la nuit avec une prostituée, prendre sa voiture puis c’était le trou noir jusqu’à ce que la police l’arrête. Il poussa un soupir et s’allongea sur « son lit » en essayant de dormir. Il se réveilla en sursaut par le bruit provoqué par son compagnon de cellule, un homme brun grand fort, baraqué et couvert de tatouage, qui fouillait dans ses affaires. - Que faites vous ? Qui vous a permit de toucher à mes affaires ? - Du calme l’ami, je voulais juste voir si tu n’avais pas une cigarette et comme tu dormais… - Je ne fume pas Soudain Deacon vit la photo de Bridget entre les mains de cet homme : son sang ne fit qu’un tour dans ses veines - Repose ça immédiatement ! - Plutôt pas mal la poupée - Rend moi immédiatement cette photo ! - Ta petite amie je suppose, tu as bon goût, je ferai bien mon petit quatre heures Deacon bouillonnait à l’intérieur : comment avez t’il pu être aussi stupide et n’avoir pas mieux mit en sécurité la photo de Bridget. Bridget, l’amour de sa vie, l’unique personne au monde à lui avoir donné son cœur sans condition. Comment avez t’il pu être aussi stupide pour l’avoir trompé avec cette fille si insipide. Soudain il revint à la réalité : il était en prison, accusé de deal et de meurtre et il y’avait cet homme si sale avec lequel il devrait cohabiter un certain temps qui avait en main la photo de Bridget. Il se devait de la récupérer : cette photo et ses souvenirs étaient tout ce qu’il lui restait de son bonheur passé. - Rend là moi tu m’entend et dorénavant je t’interdis de toucher à mes affaires ! L’homme éclata d’un rire sarcastique - Ah tu me l’interdis maintenant, tu te crois ou ? Chez toi ? Tu causes bien, d’où tu viens ? Apprend un truc, mon vieux, ici c’est moi le chef ! Tout le monde me connaît, ils savent de quoi je suis capable et tu l’apprendras très vite toi aussi. Tient reprend ta foutu photo à laquelle tu sembles tant tenir. Remarque si j’avais moi aussi un aussi joli brin de femme dans ma vie je tuerai celui qui voudra s’en approcher
Plusieurs heures s’écoulèrent avant qu’on ne vienne chercher Deacon - Deacon Sharpe, rassemblez vos affaires, votre caution a été payée, vous êtes libre de partir - Payer mais par qui ? Quand ? Comment ? - Tout ce qu’on ma dit c’est que votre caution est payée, tout le reste me ne regarde pas - C’est problème « ta princesse » qui a payée la caution Deacon le foudroya du regard et suivit la gardienne - Au plaisir de te revoir « l’ami » dit l’homme sur un ton ironique
Dans la salle d’attente Bridget attendait depuis plusieurs heures jusqu'à enfin elle vit Deacon accompagnée d’une des gardiennes. Son cœur fit un bon dans sa poitrine. Allez t’il se souvenir d’elle ? Lui pardonnera t’il d’avoir été si stupide pour avoir demander le divorce après son aventure ? Et surtout l’aimait t’il encore ? Y’avait t’il la moindre petite chance pour qu’ils se remettent ensemble ? Mais tout cela, pour le moment, n’avait pas d’importance. A l’heure actuelle tout ce qui comptait c’était d’établir l’innocence de Deacon.
- Puis je savoir qui a payé ma caution ? Je ne connais personne possédant une telle somme d’argent - Je regrette, nous ne sommes pas autorisés à communiquer ce genre d’information. Nous vous rappelons toutefois que vous n’êtes pas autorisé à quitter l’État de Pennsylvanie Deacon acquiesça d’un hochement de tête puis sortit du bureau et c’est là que soudain il aperçu Bridget. Il cru au départ à une hallucination tant son désir de la revoir était immense, puis, enfin, il réalisa que ce n’était pas un rêve ni une hallucination : Bridget était là et bien là devant lui et le regardait. N’y tenant plus ils se jetèrent dans les bras l’un de l’autre et s’embrassèrent amoureusement
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