Bridget Sharpe Ange gardien de Bridget et Deacon
Nombre de messages : 2746 Age : 54 Localisation : Quelque part chez Bridget & Deacon Vos perso preferés dans Top Model : Bridget, Deacon, Sheila, Becky, Morgan, Ambre, Taylor avant sa mort, Stephanie vos couples preferés dans Top Model : Bridget & Deacon Date d'inscription : 25/09/2007
Feuille de couple Your preferred couple: Bridget et Deacon Quel personage aimeriez vous jouer: Bridget of course
| Sujet: chapitre 7 Dim 29 Mar - 21:40 | |
| - Tu sais je suis passée voir Bridget aujourd’hui. C’est une chouette fille, je l’aime bien. Elle ma raconté sa première rencontre avec Deacon. Dante, elle aime tellement - Je sais, Deacon aussi est très amoureux de sa femme - Je ne pensais pas que l’on pouvait aimer autant dans la vie Le lendemain était le jour des visites à la prison. Comme chaque semaine, maintenant, Bridget rendit visite à Deacon. En la voyant il sourit et comme chaque fois la serra dans ses bras avant de l’embrasser - Comment vas-tu mon amour ? - C’est plutôt à moi de te poser cette question, tu as encore maigri comparé à la semaine dernière - On ne peut pas dire que cela soit la cuisine du Café Russe ici, dit t’il en plaisantant Bridget lui sourit - J’en suis arrivée au point de regretter ta cuisine, continua t’il sur le même ton - Je te remercie, ça fait plaisir, répondit t’elle en riant Tout deux éclatèrent de rire. Deacon la regarda avec des yeux enamourés - Je t’aime, ma chérie, tu me manques - Toi aussi tu me manques, mon amour. Quand ce cauchemar sera-t-il finit ? J’aimerais tellement te revoir chez nous - Chérie, continue tu à faire ce cauchemar ? - Celui où tu es exécuté ? - Oui - Oui, je continue à le faire Deacon la serra dans ses bras - Ça sera bientôt finit : je saurai bientôt de retour à la maison et toi et moi nous reprendrons notre vie là où elle en était restée avec en plus notre enfant : notre premier enfant mon amour : le premier d’une grande famille - Tu me le promets ? - Je te le promets - Je t’aime, Deacon, je t’aime tellement si tu étais exécuté je ne sais pas comment je pourrais survivre La voix de Bridget tremblait en prononçant ces mots. Elle posa sa tête sur l’épaule de son mari et les larmes commencèrent à couler - Chut, dit Deacon en l’embrassant sur sa tête, ne dit pas cela. Je vais m’en sortir, mon amour, je vais m’en sortir. Je t’aime - Moi aussi je t’aime et c’est pour cela que j’ai si peur. Nous aurions du nous enfuir lorsque il était encore temps - Non, mon amour, non. Je vais sortir d’ici mais libre, je leur montrerai à tous que je suis innocent et ainsi notre fils pourra être fier de son papa le moment voulu lorsque il sera grand nous lui parlerons de cette histoire et il saura que son papa n’a tué personne et n’est pas non plus un trafiquant de drogue. Nous en parlerons à tous nos enfants et nous leur raconterons que leur maman a toujours eu confiance en leur père même lorsque tout le monde était contre lui - Nous leur raconterons aussi notre première rencontre, comment tu m’as appris à jouer au billard ou plutôt comment tu as appris à Janet Rosensweig Deacon éclata de rire à l’évocation de ces instants : ces premiers instants de bonheur avec Bridget - J’aimerais tellement que tu sois là pour la naissance de notre bébé - Je le voudrai tant moi aussi - Je t’aime Deacon, j’ai envie de toi ça fait si longtemps - Je t’aime moi aussi, mon amour et moi aussi j’ai envie de toi et si je me retenais pas je te ferais l’amour séance tenante mais je te promets de rattraper le temps perdu lorsque je rentrerai à la maison. Je te ferai l’amour si souvent au point où tu en aura mare de moi, dit t’il en riant - J’n’en aurai jamais marre de toi, tu le sais bien - Je taquinais Il la regarda - Tu es tellement belle - Non c’est faux, je ressemble à une grosse vache - Non, ma chérie, tu te trompes. Tu es magnifique mon amour plus belle encore que cette jeune fille sur laquelle j’avais renversé une tasse de café sur sa robe neuve Bridget se mit à rire à l’évocation de leur première rencontre - Une robe toute neuve que je venais d’acheter et qui ma coûté une fortune en teinturier. J’étais furieuse après toi - Je sais et cela en valait la peine car si c’était à refaire je le referais sans hésiter Il l’embrassa - J’espère bien que tu le referas. Moi non plus je ne changerais rien à notre passé à l’exception d’une seule chose - Laquelle ? - Jamais je ne demanderai le divorce si j’apprenais que tu m’as trompé, cette fois j’écouterais mon cœur et non mon orgueil - Chérie, ce n’était pas de l’orgueil, je t’avais blessé ta réaction était naturelle mais de toute façon si notre vie était a refaire, jamais je ne te tromperais et ce quelque soit la pression rencontrée par ta famille, ils pourront tous allé au diable jamais plus je ne te ferai du mal. J’ai fais beaucoup d’erreur dans ma vie mais celle-ci fut la pire - Nous en avons commis tous les deux, l’essentiel étant d’être de nouveau ensemble. C’est justement ce dont je parlais avec Lyndsy hier lorsque elle est passée me voir à la maison - Lyndsy est passée te voir ? - Oui, elle voulait en apprendre un peu plus sur toi, ta personnalité et qui mieux que ta femme pouvait y répondre Deacon lui sourit - Dante aussi est passé me voir pour avoir des réponses à certaines questions - Deacon ? Crois tu qu’on puisse leur faire confiance ? - Je crois que oui et toi qu’en penses tu ? - Je l’espère. Je vais faire des recherches sur internet pour voir si je trouve quelques éléments sur eux - Ok, mais promet moi de ne pas trop te surmener - C’est promit, Docteur Tout deux se mirent à rire et s’embrassèrent
Dans la chambre d’hôtel après avoir couché avec Donna Walsh Caleb se rhabilla comme d’habitude, Donna, elle était songeuse. - Faut t’il vraiment que je couche avec ce vieux trapu il n’y a pas d’autre solution ? - Poupée, crois tu vraiment que s’il en existait une je te demanderai de coucher ce vieux machin qui te répugne tant ? Tu me connais bien voyant, je suis ton Caleb, dit t’il en la déshabillant de nouveau. Nous n’avons pas le choix si nous voulons nous en sortir vainqueur - Je peux te poser une question ? - Dit toujours - Pourquoi cet homme, pourquoi lui ? Je veux dire que t’as t’il fait tu le connais ? Étiez vous en affaire lui et toi ? - Non, je ne le connaissais pas jusqu'à ce soir là - Dans ce cas pourquoi lui ? - Pourquoi pas ? Écoute, poupée, nous avons mieux à affaire que parler de lui tu ne crois pas ? - Je veux savoir, j’ai besoin de comprendre - Très bien. Ce mec se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment voila tout. Ce soir là j’avais envie de baiser cette fille et son mac me devait de l’argent. Or ce mec est arrivé il a arrête sa voiture et a demander combien, j’étais à peine a deux mettre derrière lui. Bob était là et ma vu mais il a ordonné à sa « fille » de monter avec ce type. J’ai réclamé à Bob mon argent mais il ma rit au nez alors j’ai décidé de me venger en tuant sa meilleure £¤¤$. Ce fut un jeux d’enfant, j’ai repéré la voiture de ce type et j’ai appelé mes gars afin de mettre un paquet de drogue dans sa voiture ensuite lorsque il sortit je suis rentré quelques secondes après lui en faisant bien attention que personne ne me voit. J’ai prévenu un de mes gars qui travaille chez les Policiers et le reste fut un jeu d’enfant pour l’arrêter vu qu’il était ivre. J’ai couché avec la fille puis mes hommes l’ont descendue - Mais au final ce Bob, il s’en fout puisque de toute manière il a d’autre filles et en aura encore donc en quoi a t’il payé ? - Pas comme cella oh non pas comme cella, il n’en trouvera jamais une autre comme elle ou du moins pas de si tôt - Qu’avait t’elle de si spécial ? - Si tu savais comme elle baisait bien, tous les mecs allaient chez elle et par conséquent chez Bob depuis plus personne ne va voir les filles de Bob et j’ai eu ma revanche - Mais dis moi tu es un vrai génie. Si tu me disais tout ce qu’elle te faisait je suis prête à te le faire - Plus tard, poulette, pour l’instant tu dois aller voir ce juge
Dante et Lyndsy passèrent voir Deacon à la prison - Bridget, vous êtes là aussi, parfait - Nous aimerions vous posez quelques questions sur le soir du meurtre. Vous aviez dit avoir choisi cette fille au hasard c’est bien ce que vous avez dit ? - Oui en effet : j’ai arrêté ma voiture elle est venue me voir son prix me convenait je l’ai suivi à son hôtel - Essayez de vous rappelez, vous n’avez vraiment remarqué personne de particulier - Comme je l’ai dit il y’avait un monde fou, des prostituées qui faisaient le trottoir, des clients, des passants… - Et leurs souteneurs ? Étaient t’ils présent eux aussi ? - Je ne saurais répondre c’est possible qu’il y’en ai eu oui : j’étais ivre, je n’avais qu’une envie couché avec une fille et en finir avec cette journée - Pourquoi vouliez vous en finir avec cette journée qu’avait t’elle de particulier ? Questionna Lyndsy - Je m’étais disputé avec mon chef il n’était, une fois de plus, pas content de mon travail de plus Bridget me manquait terriblement - Bridget et vous étiez divorcé depuis longtemps pourquoi vous manquait t’elle particulièrement ce jour là - Bridget me manquait tous les jours de ma vie depuis notre divorce mais ce jour là j’étais tombé sur un article parlant des Forrester, Bridget y était photographiée et elle était plus belle que jamais Bridget lui prit tendrement la main et la serra dans la sienne. Deacon et elle échangèrent un sourire - Comment s’appelle votre chef ? - Peter, Peter Holistair, pourquoi ? Vous croyez qu’il est mêlez au meurtre de cette femme ? - Nous n’en savons rien encore, Lyndsy et moi allons enquêté mais nous ne devons négliger aucune piste - Ne faudrait t’il pas mieux se concentrer sur l’avocate ? demanda Bridget - Ne craignait rien, répondit Dante en souriant, nous avons fait venir depuis Seattle notre meilleur détective privé mais revenant à la nuit du meurtre, Deacon essayez de vous rappeler c’est important êtes vous bien sur de n’avoir vu personne de particulier en dehors de cette fille ? - Je ne crois pas…Attendez…maintenant que j’y pense il s’est produit quelque chose d’anormal. Pourquoi ne m’en suis pas souvenu plus tôt ? Pendant que je discutais argent avec cette fille, un homme s’est approché d’elle et lui a ordonné de rentrer à l’hôtel…oh Seigneur comment ais je fais pour oublier ?- je n’ai jamais payé cette fille ! - Comment ? s’exclama Dante - Cet homme était probablement son proxénète, il ma sourit en me disant que c’était un cadeau de la maison - Un cadeau de la maison ? Vous aviez déjà rencontré cet homme auparavant ? - Non jamais ! - Alors comment expliquez vous qu’il vous fasse cadeau ? - Je me l’explique pas - Vous aviez déjà couché plusieurs fois avec « ses filles » ? questionna Lyndsy - Je n’en sais rien c’est possible, comme je vous l’ai dit depuis mon divorce avec Bridget je n’ai fais que cela coucher chaque fois avec une nouvelle fille. Maintenant appartenait t’elle toutes au même proxénète je ne saurais le dire - Cet homme, ce souteneur, seriez vous le décrire ? - Je peux essayer : bien sur il faisait nuit mais pour autant que je me souvienne il était grand, blond, la cinquantaine environ... Je ne saurais vous en dire d’avantage je suis désolé - Ce n’est pas grave, nous avons élément un élément nouveau qui me permettra je l’espère de faire annuler le jugement - Que ce passera t’il si le juge refuse ? demanda Bridget - Dans ce cas nous irons à la Cour suprême de Pennsylvanie et si cela ne suffit pas jusqu'à la Cour suprême des États-unis mais j’espère que nous n’en arriverons pas là et que le juge acceptera d’annuler le verdict
- Maître Walsh c’est une surprise de vous voir ici cependant si vous venez dans le seul but d’avoir des informations concernant le procès de John Smith, je vous préviens vous ne saurez rien du tout - Non, Votre Honneur, ce n’est pas la raison qui m’amène chez vous - Alors de quoi s’agit t’il ? - Je viens vous voir au sujet de l’affaire Deacon Sharpe - Deacon Sharpe ? Il n’est plus votre client il me semble - En effet, Votre Honneur - Dans ce cas que voulez vous savoir à sur lui ? - J’aurais aimé savoir quand il va être exécuté ? - Je regrette, je n’ai pas encore fixé de datte et combien même j’en aurais fixé une que vous ne seriez pas informée puisque il n’est plus votre client - Vous serez t’il possible d’en fixer une rapidement ? - Pourquoi cet empressement à voir cet homme mourir ? - Votre Honneur dois je vous rappelez qu’il a tué une femme - Vous n’avez rien à me rappelez ! - Oui, pardon, Votre Honneur, je vous prie de m’excuser - Vous n’avez toujours pas répondu à ma question : pourquoi êtes vous si pressée de voir cet homme qui fut votre client, dois je vous le rappeler, mourir ? - Je n’ai jamais voulu le défendre, Votre Honneur mais j’ai été commise d’office - Et vous avez fait votre travail d’avocate de la Défense mais cela ne répond toujours pas à ma question : Pourquoi cet empressement à voir cet homme mourir ? - Il ma fait des menaces de mort
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