chapitre 29

Appartement du Lair

Bridget s’était levée de bonne heure ce matin la, elle se trouvait dans la cuisine entrain de préparer des pancakes pour sa famille. Deacon la rejoignit et lui donna un baiser sur la tête. Elle lui sourit

- Y’a longtemps que tu es réveillée ?
- Un petit moment
- Pourquoi ne ma tu pas réveillé ?
- Tu dormais si bien, je n’ai pas voulu te déranger
Deacon lui sourit et lui donna un baiser
- Ça sent drôlement bon en tout cas, tu as vraiment fait des progrès en cuisine depuis notre premier mariage
Bridget éclata de rire au souvenir de ses piètres résultats dans ce domaine autrefois
- J’ai eu la chance d’épouser un maître en la matière. Il ma appris les ficelles du métier
Deacon sourit
- Eric dort encore ?
- Oui, il doit être épuisé après toutes ces émotions d’hier
- Et toi comment va tu ?
- Je vais bien
- A d’autres veut tu, je te connais et je sais quand tu me mens. Bridget tu as très mal dormis cette nuit tu n’as pas arrête de te tourner dans tous les sens
- Je suis désolée si je t’ai empêché de dormir mais le bébé n’a pas arrêté de tourner lui aussi
- C’est vraiment la seule raison ?
- Que voudrais tu que ce soit d’autre ? Notre enfant doit sûrement aimer jouer au billard comme ses parents
Deacon éclata de rire. Bridget lui sourit et prit une de ses mains pour la poser sur son ventre. Un sourire illumina le visage de Deacon en sentant bouger son bébé. Il l’attira Bridget vers lui et l’embrassa un long moment sur ses lèvres. Bridget, je n’ai jamais été aussi heureux de toute ma vie et ce bonheur, ma chérie, je te le dois. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé personne de toute ma vie et c’est pour cela que je sais lorsque tu me caches quelque chose ou comme maintenant tu mens dans le seul but de me protéger
Bridget lui sourit et posa sa tête sur sa poitrine
- Mon amour, je ne veux pas que tu t’inquiète, aujourd’hui est un jour de fête : notre fils est enfin à la maison, notre bébé est en pleine croissance et nous sommes tout les deux réuni. Après toutes ces années nous sommes enfin ensemble. Que pourrais je vouloir de plus ?
Ils furent interrompus par l’arrivée du Petit Eric. Le visage de Bridget s’illumina en le voyant. Deacon sourit en voyant son fils
- Eh champion, tu as bien dormis, dit Deacon en le soulevant dans ses bras pour l’embrasser
- Oui, Papa, dit l’enfant en passant ses petits bras autour du cou de son père. On va habiter ici ?
- Pour le moment, oui, mais avec Bridget nous cherchons une maison plus grande
- Pourquoi ne pas habiter la maison ou viviez avant sur la plage ? Ou là ou tu habitais avec Coucou
- Non, chéri, on ne peut pas
- Pourquoi ?
- Mon ange, que dirais tu de venir manger. Je t’ai préparé des pancakes, je me souviens que tu adorais ça autrefois
- Merci, Bridget. Je suis content que Papa et toi soyez de nouveau ensemble
- Moi aussi, je suis contente, dit Bridget en souriant
- Allez mange avant que cela ne refroidisse, dit Deacon en souriant

Quelques heures plus tard

- Deacon
- Oui
- Kristen est d’accord pour garder le Petit Eric. Zende a hâte de revoir son cousin
- C’est très gentil à eux
Bridget s’éloigna pour aller chercher des vêtements du placard. Deacon s’avança vers elle, passa ses mains autour de sa taille et la fit lentement se retourner vers lui
- Ça va aller ?
- Mais oui, ne t’inquiète pas, dis t’elle en l’embrassant sur ses lèvres
- C’est la première fois que tu vas être confronté à cette imposture
- Je m’y suis déjà préparé, rassure toi
- Chérie, tu le me le dirais si quelque chose n’allait pas ?
- Mais oui, mon amour, bien sur que je te le dirais
Il l’embrassa un long moment sur ses lèvres. Ils s’apprêtaient à faire l’amour lorsque on sonna à la porte. Bridget sourit, Deacon sourit à son tour
- Ça doit être Kristen, je vais ouvrir
- Kristen, je te remercie d’avoir répondu présente
- Je t’en prie c’est tout à fait normal. Alors comme cela vous avez récupérez le Petit Eric
- Bonjour, Kristen
- Deacon, comment allez-vous ?
Deacon passa son bras autour du cou de Bridget
- Ça va Bridget ?
- Ça ira mieux lorsque tout sera terminé

Quelques heures plus tard

Tribunal de Los Angeles

Eric et Brooke ainsi que les Marone étaient déjà sur place lorsque Bridget et Deacon arrivèrent.
- Que venez vous faire ici, dit Brooke en colère en voyant Deacon et Bridget
- C’est vous qui devriez être à la place de ma fiancée
- Ne t’inquiète pas, Dominik, aussitôt Bridget libre, je m’occuperai de leur cas et ils paieront pour ce qu’ils ont fait
- Payer, Massimo ? Payer, mais c’est vous qui devriez payer pour tout le mal que vous, votre cher neveu et cette usurpatrice, avez fait à Deacon et moi. Vous avez poussé un alcoolique à l’alcool en le faisant boire à son insu, votre neveu ma retenu captive dans un pays étranger et ma battu et violer
- Vous mentez ! Jamais mon neveu ne fera de mal à une femme
- Vous n’êtes qu’une sale petite garce, dis Jackie en levant la main pour la gifler
- Si tu touche à un seul de ses cheveux je ne répond plus de rien, dit Deacon en lui empoignant son poignet, les yeux fulminant de colère

Quelques minutes plus tard l’audience commença

- Nous sommes ici afin de déterminer la possibilité si les éléments à charge sont suffisamment déterminant pour poursuivre la procédure et dans cette hypothèse fixée le montant de la caution.
- Accusée que plaidez vous ?
- Non coupable, votre Honneur
- Greffier, veuillez prendre note
- Votre Honneur, l’accusée ici présente s’est rendue coupable d’usurpation d’identité, de complicité d’enlèvement et séquestration. Les éléments à charge sont accablants
- Votre Honneur, ma cliente est victime d’un coup monté par les parties civiles
- Tout ceci est ridicule, votre Honneur. L’accusée n’est en rien une victime et nous pouvons le prouver
- Garder cela pour le procès, pour le moment il convient de fixer le montant de la caution
- Votre Honneur, nous nous opposons à cette libération sous caution, l’accusée étant une menace pour la communauté
- C’est complètement ridicule, votre Honneur, ma cliente n’est en rien une menace pour la communauté. C’est une personne respectable. C’est une Forrester votre Honneur
- C’est absolument faux ! Votre cliente est une usurpatrice
- Nous ne sommes pas encore au procès, uniquement à l’audience préliminaire et étant donné qu’il ne pas été fournit de preuve formelle visant à prouver que l’accusée est une menace pour la communauté, je fixe donc le montant de la caution à 500.00 $
- C’est une plaisanterie votre Honneur
- Ceci est ma décision, si vous continuez sur ce ton, Maître, je vous ferai juger pour outrage à magistrat
- Dans ce cas votre Honneur, je dépose une requête formelle visant à interdire à l’accusée de porter le nom de Bridget Forrester
- Objection, votre Honneur, ma cliente ne serait porter un autre que le sien
- Objection accordée. Jusqu'à preuve du contraire, le doute profitant à l’accusée, celle-ci aura droit le nom de porte le nom de son choix. L’audience est levée